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   Trier par date décroissante
said mohamed
France
Posté le:
10/11/2005 10:59
Sujet du message:
Une femme égorgée et scalpée à Moroni
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saidali1@free.fr
 
Voici l'article parru suite au drame montrueux d'un Marocain, connu au nom d'Andoul Anziz, qui a marié une femme comorienne et qu'il l'a égorgée et scalpée. Ce couple s'est formé depuis au Maroc où la femme, Faouzia faisait ses études. Ils avaient 6 enfants dont le petit à avait mois. Celui-ci était entre les bras de sa maman lorsque le monstre d'Abdoul Anziz égorgeait sa maman. Ce meurtre prémédité à eu lieu hier au coulée, Moroni.



GRANDE-COMORE


Faits divers




Une femme égorgée et scalpée à Moroni




Faouzia Taynamor, une commerçante de 35 ans environ, a été tuée dans sa maison, hier en début d'après-midi. Selon les premiers témoins, son mari, un Marocain qualifié d'associal et de jaloux, l'aurait égorgée et scalpée avant de prendre la fuite et d'être arrêté par les gendarmes.

Quartier de la Coulée à Moroni, hier, vers 15 h 15. Des cris. Un homme appelle au secours. Il vient de découvrir le corps inanimé de Faouzia Taynamor.

La victime, une commerçante de Caltex âgée d'environ 35 ans, très connue des Moroniens, sœur du grand commerçant Doudou Taynamor, a été égorgée et scalpée. Ses mains ont également été coupées à coups de couteau. Le coupable présumé n'est autre que son mari, un Marocain avec qui elle avait eu trois enfants, dont le dernier voici deux mois. Après être monté dans les hauteurs de la capitale, ce dernier a été arrêté par la police. Au moment de son arrestation, il se serait planté un couteau dans le ventre. Hier soir, il se trouvait à la santé militaire, entre les mains de la gendarmerie et des médecins.

Le premier témoin arrivé sur les lieux, un chauffeur de taxi, raconte : "Je sortais de la mosquée des Anjouanais. J'ai vu le Marocain. Il est connu dans le quartier. Les gens ont peur de lui. Il était assis devant chez lui. Tout d'un coup, je l'ai vu se lever et partir. Comme j'ai trouvé son comportement bizarre, j'ai essayé de le suivre. Il partait vers la forêt. Puis je suis revenu sur mes pas. J'ai vu le plus grand garçon de la victime. Il m'a demandé de le prendre en voiture. Je l'ai pris, puis il a voulu retourner à la maison. On y est allé. C'est là qu'il a dit que sa maman avait été égorgée". Le chauffeur se rend alors dans la maison de Faouzia Taynamor. "Il y avait du sang partout, par terre, au plafond. J'ai suivi la trace jusqu'au salon. C'est là que j'ai trouvé le corps. Elle avait été tailladée à la gorge et sur la! tête. Les bras aussi étaient coupés jusqu'aux os". Comble de l'horreur : le bébé de deux mois était coincé dans les bras de sa mère. Immédiatement, le chauffeur fait sortir les trois enfants de la maison et appelle à l'aide. La gendarmerie arrivera et se mettra à la poursuite du mari, qu'un autre homme avait vu monter dans la forêt.



"Il était très jaloux"



Selon le voisinage, le "Marocain", comme tout le monde l'appelle, était discret. "Il ne parlait avec personne. Je ne l'ai jamais vu à la mosquée", dit un voisin. "Il allait boire son café chez Nassib, mais ne causait pas", ajoute un autre. "Ils s'étaient rencontré au Maroc, quand Faouzia y faisait ses études", explique une sage-femme qui a aidé la victime à accoucher. "Il ne parlait à personne. Il était très jaloux. Il surveillait sans cesse sa femme". Selon elle, il aurait fait deux tentatives de suicide auparavant.

Un autre voisin confirme que "c'était un homme très jaloux. Il passait au magasin de sa femme pour la surveiller. Des fois, il restait des heures devant la maison à l'observer".

Hier soir, le quartier de la Coulée bruissait de ces réflexions qui suivent immanquablement ce genre de drame, tout le monde essayant de comprendre les raisons d'une telle folie.

RC

Source: Le Canal (en ligne) , No. 25, 10 novembre 2005






Said BAKAR HAMADI,
P.O.Box 104
Mitsamiouli
Grande Comores
 

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