je souffre d'un TOC trés mineur car la souffrance est finalement supportable qui réside dans l'obsession de fermeture (ce qui est trés classique) principalement dans le service ou je travaille. Le fait que je n'en souffre pas de manière insupportable m'amène à une conclusion que je crois importante.
Il faut dire et répèter que tous nous sommes potentiellement "toqués", ce qui doit nous inciter à une vrai compassion envers ceux dont la souffrance est importante
En reprennat ce que disais judith Rappoport: le TOC est un hoquet de l'esprit,en ce sens elle fait partie de notre quotidien mais n'entraîne pas de dysfonction physique ou mentale rédhibitoire
je crois que contrairement à d'autre on n'enguérit pas totalement mais aussi qu'on a plus de force morale contre elle que contre d'autre maladies puisqu'elle présente une syptômatique de défence
contre l'angoisse et mobilise d'emblée l'individu contre cette angoisse quoisue de manière " byzarre"
contrairement donc à ce que epnsent les anglosaxons (et Judith Rappoport) le problème biologioque et génétique n'est pas à l'origine du TOC
Pour ma part, je n'ai senti les ateintes du TOC qu'a 33 ans !
Je perçoit en outre trés bien son origine dans des conduites rituelles de l'adolescence.Il est vrai que je ne suis pas trés atteint
Et peut-être que mon interprétation en est un peu faussée ?
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