je vais essayer de rassembler certains des textes ou Remès, Dustan parlent de leurs parents ou grands parents... Les portraits sont féroces, élogieux, osés, etc... La révolte est cruelle contre les parents. Ils font bien plus que tomber de leur piedestal... Moi, je donnerais un peu dans le genre ( j'ai décidé de vivre ma vie, et puisque vous nous avez si mal défendus, vous mourrez sans moi...) je t'adore maman, mais tu as échoué à garder intacte mon estime... à moins que ce ne soit, ma pauvre mère, je pleure de t'avoir rendu si malheureuse, tu es si faible pour peser contre la destinée
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................... Ils me jugèrent à pendre, comme c'est dur à entendre, A pendre ou étrangler sur la place du, vous m'entendez, A pendre ou étrangler sur la place du marché
Monté sur la potence, je regardais la France, Je vis mes compagnons cachés sous les, vous m'entendez, Je vis mes compagnons cachés sous les buissons " Compagnons de misère, vous direz à ma mère, Quelle ne m'reverra plus, ch'uis un enfant vous m'entendez, Quelle ne m'reverra plus, chuis un enfant perdu. **********************
Le tout dernier couplet de la complainte de Mandrin me fait adulte l'effet des "roses blanches" quand j'avais 5ans.... A qui la dernière pensée de haine, à qui la dernière pensée d'amour ?
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