Je viens de finir ce beau roman.Il est beaucoup plus léger à lire que 'je bande'.
J'ai passé mon dimanche, la fenêtre ouverte sur le soleil de ma Belgique natale, dans mon lit; mon zizi a voyagé entre érection et flaccitude sous ma courtepointe à fleurs.
Il faut dire que j'avis pris un comprimé de viagra bio la veille, souvenir de vacances espagnoles.
Je me suis rappelé les bizutages de mes études.
Le bizutage consiste en un parcours, à poil, qui vous fait parcourir plusieurs stands. Le spectacle est vu par les étudiants bizutés dans une orgie de bière.
Il y avait un stand ou l'on devait sucer une bite de taureau - la bite était séparée du corps de la bête, restée à l'abbatoir. Le bizuteur du stand a eu du mal a me faire arrèter la pipe quand je suis passé.
Un autre stand, qui est un classique est la baignoire de sang. on s'y couche à deux, les jambes se touchent. Il faut aller croquer un oeil de boeuf ou de porc qui traine au fond. Pour les derniers à passer, il n'en reste souvent plus!
il y a aussi des crasses à manger, style filet américain au choco, ail et poireau cru émincé. Les recettes restent secrètes.
Tout cela se passe dans une odeur délétère.
Je passe pour mémoire les stands vers à farine, hélicoptère-zizi, annanas sur bite, rameur, les longues séances à genoux, le front par terre (à trois cm, en fait) et les mains dans le dos, le tampax anus, la danse à poil sur table, les bières cul blanc, qui sont hors propos.
J'ai aimé mon bizutage, surtout la deuxième fois.
Un psychologue devrait trouver des raisons reptiliennes à cette institution et à ces us. Je trahit d'ailleurs un secret quasi maçonnique en racontant.
Les cadres belges sont humbles, c'en est, je crois, une des raisons.
Tu devrais édulcorer un peu le texte et le faire publier, toutes les semaines dans un magazine comme "détective", magazine que l'on trouve à côté de "point de vue" dans ma librairie préferée.
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