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Auteur Message
   Trier par date croissante
Henry
Posté le:
27/1/2023 09:40
Sujet du message:
Proposition d'autres accessoires
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Email:
annidise@gmail.com
 
Bonjour,
Tout est bien décrit jusqu'au moinde détail. J'apprécie la manière dont vous avez décrit votre expérience, j'aime quand quelqu'un n'hésite pas décrire le côté un peu tabou de la vie que les autres n'osent même pas aborder malgré el fait qu'ils (elles) le vivent. Mais ce qui m'intéresse c'est de savoir quel est votre vision sur la mode en général, vos articles de mode fétiches à part les habits sexys... Qu'en pensez-vous du sac à main vintage qui fait objet de discussion sur le blog de sacatoi? Y a-t-il des sacs sexys ou de chaussures sexys qu'il faudra privilégier?
 

rubbyboots
France
Posté le:
12/10/2003 06:25
Sujet du message:
Les séances latex de rubbyboots
Répondre            
Email:
rubbyboots@yahoo.fr
 
Rubbyboots, esclave du caoutchouc :

Partie 01 :
- Comme tous les soirs, je m'appretais à sortir pour m'exiber en femelle caoutchouc, comme d'habitude, en premier lieu c'est munie de gants mappa, que je me postais à cheval au dessus de la cuvette des toilettes afin de m'envoyer un super lavement, aprés m'etre enfonçée trés prodondément une partie du long tuyau relié à l'énorme poire en caoutchouc remplie d'eau tiède et huileuse, je me mis à appuyer de mes deux mains pour injecter avec force tout le liquide dans mon cul, la superbe sensation de chaleur qui envahissait tout mon bas-ventre était un de mes pèchés mignons depuis de nombreuses années, je ne cherchais pas à garder longtemps le liquide, c'était plus une mesure d'hygiène que je pratiquais quotidiennement avant chaque sodomie, puis assise sur le bidet j'évacuais dans la cuvette le lavement sans tirer la chasse; une fois mon petit cul avide de sodo bien propre, je commençais mon travestissement, assouvissant sans complexes ma dévorante et quotidienne passion à etre entièrement revetue de latex féminins, j'avais commençée par enlever mes gants mappa pour enfiler mes longs gants en latex noir qui m'arrivaient jusqu'aux aisselles, j'enfilais mon body en latex de couleur noire avec ouverture anale et faux-seins sertis qui me donnait une superbe poitrine qui n'avait rien de naturelle, prenant ensuite mon slip latex fétiche qui avait un god anal plein d'une grosseur hors du commun, c'était le plus gros et le plus long que j'avais pu trouver dans les innombrables sex-shops parisiens que je visitais régilièrement, aprés l'avoir ajusté juste au dessus de mes fesses, je titillais frénétiquement ma raie culière avec le bout du monstrueux god en caoutchouc bien dur pour dilater mon anus déjà mouillé de désir, puis résolument je m'empalais à fond sur le god yper lubrifié, j'en suffoquais de bonheur tellement la pénétration était intense, depuis l'age de 13-14 ans, j'adorais sentir à tout moments de la journée mon cul rempli, aussi bien quand je marchais dans la rue, ou quand je vacquais à mes occupations quotidiennes, j'adorais surtout quand la nuit, me faisant enculer dans des fourrés je devais auparavant oter mon slip god devant les regards ébahis de mon amant d'un soir et des voyeurs planqués dans les buissons, aprés m'etre trémoussée comme une folle sur le tabouret pour mieux ancrer l'énorme god caoutchouté dans mon cul, j'enfilais mes bas en latex noirs retenus par un porte-jarretelle en latex transparent, j'ajustais avec les pinces du body et du porte-jarettelles mes longs bas, comme je tenais à ce que mon cul soit accessible trés façilement je passais ma jupe en latex rouge mi longue mais la remontais pour que le bas qui normalement m'arrivait aux genoux n'arrive qu'à mi-cuisses, aprés m'etre maquillée, ne lésinant pas sur le fond de teint, je mis ma perruque blonde avec cheveux mi-longs qui avec le maquillage me donnait un indéniable air de pute, je parachevais ma transformation en huilant l'intérieur de ma toute nouvelle chemise en latex assez épais avec des boutons à pression fermant jusqu'au col, et des manches longues serrées aux poignets, j'adorais depuis longtemps porter plusieurs couches de latex avec entre, des matières graisseuses, mouillées, mais surtout huilées, le body et la chemise glissaient incroyablement entre eux et c'était à chaque fois un indescriptible plaisir, des sensations épidermiques torrides, cette chemise que je venais d'acquérir je l'avais choisie moulante et pas trop longue afin que je puisse la glisser façilement dans ma jupe latex, pour que l'huile et la sueur descendent bien dans la jupe et non dessus, puis vint mon moment préfèré, me chausser pour assouvir mon amour immodèré pour les bottes en caoutchouc pour dames, c'était ma prinçipale et obçèdante passion que je vivais intensément et pratiquement quotidiennement depuis mes 11 ans, age ou j'avais commençée ma 1ère collection de bottes, et au cours de ces années j'eus par moments plus de 30 paires de bottes en caoutchouc, exclusivement féminines, j'en étais une grande collectionneuse, de toutes tailles, hauteurs et coloris, il suffisait que je vois une paire de bottes neuves et brillantes, dans une vitrine pour que je rentre dans le magasin pour les essayer (souvent devant clientes et vendeuses médusées, intriguées de voir un jeune homme portant déjà de hautes bottes en caoutchouc pour dames en essayer des neuves, suivant le coloris je ressortais du magasin avec de superbes bottes luisantes, les ançiennes dans un sac, depuis mes 11 ans et demi j'adorais plus que tout parader devant la gente féminine, quelque soit son age, mais les dames bottées d'un certain age avaient quand meme ma préfèrence car elles portaient souvent de superbes cirés assortis à leurs bottes, dans les grands magasins j'épiais les rayons de chaussures pour repèrer les femmes qui venaient en essayer, ou dans les rues de paris je suivais celles qui portaient les plus beaux modèles de bottes, parfois je les abordais juste pour qu'elles voient les miennes, je prétextais un renseignement en leur demandant ou elles avaient achetées les leurs, avec le secret espoir de les voir porter des bottes par pur plaisir et fantasme, mais pour toutes ces femmes dont la majorité avaient entre 40 et 65 ans, c'était par neçessité, ainsi grace à certaines de ces femmes non farouches, je connaissais pas mal de magasins de chaussures sur paris et sa banlieue qui en vendaient...quelques trés rares fois, je réussis meme à inviter des jeunes femmes à boire un café, mais je ne pu jamais concrétiser avec une vraie amatrice de bottes, j'étais bien sortit quelques fois avec des filles de mon age, leur avouant que ça serait un plus sexuel si elles portaient des bottes, au début ça les amusaient, mais mes relations avec ces jeunes filles ne furent que des passades sans lendemain car j'avais un besoin impérieux d'assouvir mon désir de sodos avec de vrais queues..depuis toujours je ressentais mille fois plus de plaisir à me faire enculer par des hommes qu'à faire l'amour "à la papa" à une femme, pourtant c'était elles qui me faisait fantasmer car depuis mon adolescence je voulais leur ressembler, etre traitée comme elles, à savoir pénètrées, ramonées, baisées, limées..etc.....

Les années 75 - 85, furent une période faste, les jours de pluie dans les rues de paris, je rencontrais des dizaines de femmes en bottes, de tous âges et condition, beaucoup d'entre elles portaient des modèles à la mode de la marque "aigle" qui s'appelaient "tonia", je pris d'ailleurs ce nom de travesti dés l'age de 17 ans, me faisant ensuite appeler "rubbyboots" (diminutif de rubber boots)...
- J'adorais les longues périodes pluvieuses car je pouvais sortir dans paris en pleine journée, travestie en latex, long ciré et bottes de caoutchouc luisantes, quand je ne travaillais pas je pouvais rester 24h sur 24 en bottes, certaines n'avaient plus de toile intérieur tellement elles avaient reçues de sueur, eau boueuse, et autres liquides insolites.... pour celles que je ne voulais pas user prématurément je les changeais plusieurs fois par jour ou je portais des bas latex et une combinaison intégrale pour empècher la sueur de dégouliner dans les tiges...mon studio sous les combles des toits était une vraie caoutchoutière, j'y entassais 16 paires de bottes en caoutchouc pour dames de pratiquement tous les coloris, dont 4 paires avec des talons de 8cm, ainsi qu'une paire de cuissardes de pêche vertes et des waders noires, une douzaine de cirés en plastique, pvc et vynil, et mes innombrables vetements latex à 80% féminins (bas, jupes de toutes longueurs, gants, cagoules, bodys, porte-jarretelles, combi intégrale, masques à gaz, des dizaines de tuyaux et accessoires sm (poires à lavements, liens élastiques découpés dans les chambres à air, martinets, etc...), la si bonne et entêtante odeur de caoutchouc sentait jusque sur le palier, heureusement que mon studio était au dernier étage car mes voisins meme s'ils connaissaient ma dévorante passion et me voyaient trés souvent en bottes et ciré dans les escaliers n'appréçiaient pas vraiment...
- Donc une fois apprêtée, j'enfilais avec volupté mes bottes en caoutchouc rouges vernies dont les tiges étaient entièrement recouvertes de myriades de trainées blanchatres qui avaient dégoulinées et sèchées, c'était le sperme de tous mes amants dont je me faisais un devoir de récupèrer la moindre goutte soit en ramassant au milieu des buissons dans les lieux homos et rendez-vous de putes, les capotes remplies de foutre frais pour les retourner sur mes tiges ou quand je me faisais enculer et jouir dans le cul il me suffisais de m'accroupir pour que le foutre chaud dégouline de mon cul ruisselant juste sur mes bottes, enfin je m'étais envellopée d'un trés long ciré en pvc gris avec capuche dont j'avais otée toute la toile intérieur afin que mes latex soient directement en contact avec le pvc, ainsi enlatexée et encaoutchoutée je mis dans mes poches une quantité non négligeable de capotes, un tube de crème lubrifiante, et mes papiers en cas de controle de police car je trainais surtout dans les endroits les plus "chauds" de la capitale et je m'étais faites "controler" plusieurs fois, puis retournant dans les toilettes je me mis à asperger et tamponner savamment les tiges de mes bottes rouges avec une éponge que je trempais dans la cuvette ou j'avais évacuée mon lavement dix mn auparavant, aprés avoir essuyée mes gants latex mouillés et satisfaite de voir mes bottes souillées et luisantes je m'apprêtais en me regardant une dernière fois dans le miroir....

j'envoie la suite (ou je rencontre mon maitre latex trés pervers) à ceux qui me le demanderont par mail (avec mes photos)...
merci de laisser votre avis sur ce forum...latexophilement votre..rubbyboots
 

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