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   Trier par date décroissante
rubbyboots
France
Posté le:
18/10/2003 05:54
Sujet du message:
2ème par: "roman "Les séançes Latex rub
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Email:
rubbyboots@yahoo.fr
 
Partie 02..suite du roman de rubbyboots :

- Ainsi parée je sortis de mon immeuble sous une pluie fine, ma large capuche de ciré rabattue sur ma perruque, j'avais bien serrée le laçet sur mes joues tout en faisant attention que les boucles de mes faux cheveux blonds restent bien visibles, je m'arretais systhématiquement devant chaque vitrines de magasin qui avaient des miroirs, juste pour admirer ma tenue de pluie et mes bottes caoutchouc souillées et mouillées, les néons et enseignes lumineuses renvoyaient sur mes bottes et mon ciré mille reflets luisants de pluie, le god bien ancré dans mon cul, ma chemise latex glissant superbement sur mon body huilé, je me dirigeais toute émoustillée vers le quartier de pigalle, haut lieu de drague des nuits parisiènnes ou régnaient les sex-shops, cinémas x, mais surtout des hommes ésseulés et trés amateurs de travestis, cela faisait des mois que chaque nuit j'errais dans les petites rues de pigalle et de barbès et je m'étais vite faite une réputation de bon petit cul à prendre vis à vis des nombreux habitués, par bonheur j'avais trouvée un studio dans le quartier de barbès, parce qu'à pied çe n'était pas loin de pigalle, mais surtout, c'était l'endroit à paris ou vivait le plus grand nombre d'arabes, et immigrés qui étaient mes amants favoris depuis l'age de 15 ans, car ceux à qui je plaisais le plus n'hésitaient pas à porter cirés et bottes lors de nos séances, mes amants étaient d'ailleurs les seules personnes que j'invitais dans ma caoutchoutière odorante, parfois quand je ramenais 2 ou 3 arabes dans mon antre, il me fallait attendre le milieu de la nuit pour que mes voisins ne voient pas les nombreux mecs qui venaient délirer dans des orgies démentes de caoutchouc, de foutre, et parfois d'uro...lors de mes exibs je n'avais absolument aucun mal à draguer et me faire aborder par tous ces immigrés ésseullés, en manque de femme, j'étais un des rares français à écumer chaque nuit certaines petites rues de barbès, je paradais dans les ruelles sombres totalement encaoutchoutée et bottée, savourant déliçieusement les regards emprunts de désirs, les arabes que je n'emmenais pas chez moi, je les "entreprenais" sous des porches et arrières-cours sombres, fréquentant assiduement ces endroits de débauche j'étais connue par beaucoup d'entre eux, je les provoquais en adoptant, entre deux voitures, des poses féminines, parfois obçènes et sans équivoque sur ma nature de salope en bottes obçèdée de sodos démesurées et répètées..mais ce soir pluvieux mes bottes en caoutchouc rouges me guidèrent vers pigalle, je voulais écumer mes sex-shops préfèrés pour voir s'il n'y avait pas de nouveautés dans les rayons latex, car mon pèché mignon était de me faire offrir par mes amants toujours plus de latex, de bottes en caoutchouc, cirés féminins, et accessoires sm...j'évitais donc les ruelles de barbès, empruntant le grand boulevard presque désert à cause de la pluie qui tombait drue, quelques voitures ralentissaient en me doublant, je voyais avec amusement et exitation que les conducteurs qui se penchaient vers moi me prenaient pour une femme, aux feux rouges je me faisais héler par des jeunes qui me traitaient comme une pute, beaucoup de mecs seuls se retournaient sur mon passage, je ne les laissais pas insensible avec mon accoutrement tout caoutchouc, et je n'avais pas mon pareil pour remarquer aussitot ceux qui me suivaient discrètement tout en n'osant pas m'aborder, si le mec me plaisait je ralentissais le pas, me retournant souvent en trémoussant du cul pour l'inçiter à s'approcher, à chaque fois c'est moi qui devait engager la conversation, ma phrase fétiche étant "tu viens chéri? je ne prends pas d'argent, je le fais uniquement pour le plaisir"... je choisissais mes amants en fonction de leur gabarit persuadée qu'ils devaient avoir un membre plus en rapport avec leur physique, si le mec me suivait, je me dépèchais de rejoindre des arrières-cour sombres ou le 1er square venu, me jetant littéralement sur lui pour tater sa pine à travers son pantalon, le complimentant si je la sentais grosse en l'implorant de me défonçer le cul...
- Mais il n'y avait pas grand monde sous cette pluie battante, il y avait une fete foraine sur le terre-plein central du boulevard qui conduisait à pigalle, je m'amusais à patauger dans chaque flaque d'eau que je voyais, allant jusqu'à faire des détours pour mouiller mes bottes en caoutchouc dans les plus profondes, les couches de sperme qui maculaient mes tiges étaient si nombreuses que meme les éclaboussures d'eau boueuse des flaques ne pouvaient pas les faire partir, en passant devant les autos-tamponneuses je remarquais un groupe d'hommes qui discutaient tout en se mettant à l'abri, je passais devant eux en faisant trainer mes bottes dans l'énorme flaque qu'il y avait, ce qui bien sur attira leur attention..j'entendis avec plaisir leurs allusions sexistes, me demandant si je voulais m'amuser avec eux, malgré mon envie je ne relevais pas leurs avances car ils étaient six, si ils avaient été trois ou quatre j'aurais acceptée sans hésitation car je n'avais absolument aucuns scrupules à me faire prendre à la chaine tout en suçant de belles pines...je continuais donc mon chemin sous les quolibets de dépits des hommes, tortillant éxagérément du cul pour mieux sentir mon god anal qui me remplissait l'anus, la pluie redoublait de violence et j'étais bien la seule à ne pas courrir pour me mettre à l'abri, je continuais à patauger allègrement dans les flaques et cent metres plus loin mon coeur se mit à battre à tout rompre, j'eus une montée d'adrénaline en voyant de l'autre coté de la rue un homme qui sortait d'un sex-shop; cela faisait des mois que j'arpentais les rues en revant de tomber sur ce type d'homme et là il était devant moi, bien réel, il sortait d'un sex-shop, était revetu d'un long ciré noir et sa capuche n'était pas rabattue sur sa tête mais je flaschais surtout sur ses bottes en caoutchouc noires yper brillantes, restant sur le terre-plein central, j'accélèrais résolument le pas afin de vite me retrouver à sa hauteur, l'homme s'arretait devant chaque entrée de sex-shops, malheureusement il ne regardait pas de mon coté et aprés une brève hésitation il s'engouffra dans un autre sex-shop, j'étais trés exitée par la vision de cet homme caoutchouc, et c'est comme attirée par un aimant que je traversais la rue pour me retrouver devant l'entrée, mes mains gantées de latex dans les poches de mon ciré je m'engouffrais moi aussi dans la boutique, quelques hommes musardaient entre les rayons et il se retournèrent sur mon apparition pour me mater de la capuche aux bottes, en d'autres temps j'aurais tout fait pour me faire draguer mais là j'avais un vrai amateur de caoutchouc en vue, je ne vis pas tout de suite l'homme de mes désirs, il était tout au fond du magasin, vers les rayons latex comme je m'en doutais, je m'en approchais résolument tout en adoptant une attitude que je voulais féminine, mon coeur battit un peu plus fort quand l'homme m'aperçut alors qu'il s'appretait à prendre en main un slip latex avec god anal, il se figea dans son élan, hésitant visiblement sur la conduite à tenir, je m'étais approchée de lui avec un grand sourire engageant, j'avais toujours ma capuche rabattue sur ma tete, quelques boucles de ma perruque sortaient de la capuche serrée sur mon visage, l'homme me dévisageait avec dans le regard des étinçelles de désir, je me dirigeais résolument vers lui en tortillant éxagérément du cul, persuadée que je lui faisait de l'effet, puis sortant théatralement une main gantée de ma poche je me mis à tater le god du slip en latex que l'homme tenait toujours entre ses mains, faisant une petite moue dubitative je lui dit que je connaissais trés bien les slips latex avec des gods, et tout de go je lui avouais que j'étais engodée avec le plus gros slip god que j'avais trouvée en sex-shop, arguant que j'en faisais moi aussi la collection et que j'en avais une bonne dizaine... enfin l'homme se déçida à sortir de son immobilisme mais semblait subjugué par l'apparition de ce travesti latex qui visiblement lui faisait des avances, sa main frôla mon gant latex qui jouait avec le god, il baffouilla quelques mots d'admiration à propos du ciré gris et des bottes rouges dans lesquelles je rayonnais sous les néons crus de la boutique, il s'était enfin enhardi et caressait maintenant plus mes doigts gantés que le god, son regard était rivé sur mes bottes en caoutchouc rouges, j'étais sure qu'il venait de remarquer les innombrables traces de sperme sèché sur les tiges, je ne lui laissais pas le temps de tergiverser, lui chuchottant que j'avais flaschée sur sa tenue quand je l'avais vue sortir du sex-shop avec ses bottes en caoutchouc brillantes et son long ciré, l'homme subjugué d'avoir devant lui une femelle travesti, enlatexée et bottée qui sans gene lui faisait des avances me répondit qu'il était trés intrigué de me voir moi aussi avec de superbes bottes en caoutchouc toutes souillées, avec des trémolos dans la voix qui trahissaient son intense émotion, il me demanda si les traçes blanchatres qu'il voyait étaient bien du sperme, j'acquièssais avec un sourire en spéçifiant que j'adorais recevoir sur mes bottes en caoutchouc le foutre gluant de mes amants mais que j'adorais tout autant l'avaler en grande quantité, l'homme me regardait avec interet, son désir se lisait sur son visage et il aurait suffit que je sois seule avec lui pour qu'il me viole sur le champ j'en étais persuadée, je fis frotter mes bottes trempées de pluie et souillées l'une contre l'autre comme pour mieux montrer à cet homme que j'étais trés motivée pour approfondir notre relation naissante, nous restâmes ainsi pendant quelques secondes devant le rayon latex, puis il me proposa d'aller voir les accessoires sm, l'homme qui se présenta comme robert reposa le slip-god pour prendre ma main gantée et nous nous dirigâmes comme un couple vers le rayon des articles sm, la salope en bottes obçèdée de sexe que j'étais lui chuchota que j'aimais etre soumise et que je connaissais tous les sex-shops les mieux équipés pour les jeux sm latex, il n'en fallu pas plus à robert pour me dire qu'il était lui meme un dominateur mais qu'il ne trouvait pas d'esclave à dresser qui veuillent etre emprisonnés longuement dans du caoutchouc et du latex... j'étais maintenant sûre d'etre tombée sur la perle rare, je venais de rencontrer par hasard un homme qui visiblement rêvait de dominer une esclave latex, je lui dit que c'était mon reve d'etre la soumise d'un vrai maitre encaoutchouté, et en m'approchant du rayon ou tronait divers ustensiles de contention et de bondage je lui demandais comment il s'y prendrait si il devait m'attacher dans le harnais de contention qui était devant nous, robert me dit qu'il en possèdait déjà un et il me débita avec une émotion grandissante comment il pourrait me bondager, je l'écoutais attentivement tout en m'imaginant la scène, j'étais convaincue qu'il pratiquait le bondage depuis longtemps quand il décrivit dans le détail les différentes façons d'immobiliser un sujet et les erreurs à ne pas commetre, il préçisa qu'il tenait à ce que je l'appele Maitre Rubber, en un instant le ton de ma voix changea, je venais en une seconde de me transformer en esclave et tout en chuchotant je me mis à vouvoyer Robert alias Maitre Rubber d'un ton respectueux, " vous semblez etre trés professionnel dans la description du scénario que vous pourriez m'infliger mais accepteriez vous de dresser et punir une esclave qui vous vénère déjà, mon maitre?, grâce à mes nombreux amants j'ai une belle garde-robe latex, et si vous le désirez Maitre Rubber je vous invite dans ma caoutchoutière, j'ai des tas de tenues de soubrette toute en latex, combinaisons intégrales, une douzaine de cirés, 16 paires de bottes en caoutchouc pour dames..etc..
Maitre Rubber tout d'abord surpris par l'apparente façilité que j'avais à me mettre dans la peau d'une esclave caoutchouc secoua énergiquement la tete en signe d'assentiment, il me proposa de mettre en pratique tout de suite mon éducation dans son appartement ou une pièce disait-il était totalement dédiée au sm latex, comme nous étions un vendredi soir, veille de week-end prolongé, il m'invita à rester ensemble durant ces trois jours à venir, je ne tenais plus en place, j'avais hâte d'etre enfin seule avec un vrai maitre enlatexé et botté, mais il semblait s'amuser de me voir aussi exitée et prête à tout....

Je vous remerçie tous de me lire, je tiens à préçiser que c'est un roman, les scènes sm latex hards qui vont suivre sont sortis de mon imaginaire, (quoique je rêverai bien surde pouvoir en vivre quelques unes...
Je compte aussi sur vous pour que vous laissiez vos avis sur les forums de" francelatex" et "groupe yahoo bottescaoutchouc"...

Je ne pourrai mettre la suite en ligne pour raisons de bienséance, j'envois donc à raison d'un épisode chaque semaine à ceux me maillent, (le roman est trés long)
Vu le trés grand nombre de demandes et afin d'éviter des oublis d'envois je vous conseille de m'envoyer chaque samedi un p'tit mail avec vos impressions, et peut-etre vos textes? @+ .
Rubbyboots@yahoo.fr
 

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