Je n’ais pas plus écris ceci, que je n’ais pense a le
faire, qui est malgré moi une partie de moi même, a demi
cache de ce moi indéfectible ; ou du moins la résurrection
d’une époque révolue, ou je chargeais ma plume pour courir
derrière les énigmes et les termes de significations
occultes hausses pour la cause de la raison. Au mot de ce
bref rappel de souvenir qui n’est même pas en pouvoir de
périr des lors qu’une ambivalence ou même un dilemme
m’accule a des rêves déraisonnable au point d’être
forcené, mais j’avais gain de la raison avec ce romantisme
qui s’est inculquer dans mon esprit, et cet amour pour
cette fille que je disais du soleil et que j’assimilais
tout le temps a une sirène, sa beauté, sa façon d’agir, de
me regarder ainsi que de me comprendre bien avant
d’articuler ce que je veux dire et la réponse m’est
parvenue ; c’est elle oui, quant je lui pleurais elle
sanglotais, quant je l’offensais elle me comblais de
confessions, je ne me suis attendu en aucun cas a ce
qu’elle fais irruption dans ma vie, s’ete un jeu qui allais
prendre une autre dimension, ou peut etre un coup de foudre
qui s’est abattu sur moi, j’ai voulu etre tout a ses yeux,
j’ete sorti vainqueur, ses sentiments pour moi exacerbée au
point de l’extase, mais au delà du mieux il y a le pire, le
médiocre et l’incommensurable chagrin… et puis je tourne
la page au crépuscule… quant les choses perdent leurs
doubles avant de disparaître dans le nocturne….
De ces vestiges jailli aussi une sensation de bien vouloir
bâtir un songe tangible, ou la révolte côtoie la tendresse
et la haine engendre la fleur, récurer ce monde de sa
pègre sans scrupule, essuyer ces yeux embuées, et ces
épaules affaissées, ces cœur tisonnes, ces âmes frissonnes
tel ces feuilles d’automne obeillissant a ces vents qui
gémissent dans les bois frémissant ces cœurs tendres de
passion de bien vouloir etres du bon cote de la chose,
ignorant ainsi ces rivaux qui étaient a leurs collimateurs,
pour ternir leurs jours, anéantir leurs raisons, atténuer
leurs espérance, en fin leurs affliger un sort, tel
l’araignée recroquevillée sur elle même avant d’éclipser a
jamais, en épuisant tout leurs savoir pour aboutir au point
de relance de l’instant qui toute fois je pense est
bestiale, car a l’homme l’intelligence !ce terme digne de
longer ces facultés fictives pour être a l’apogée du sens..
Quelle sacrée et sublime idée générée par la pudeur, ou le
vouloir de s’imposer ou même l’art de métamorphoser le cas
pour engendrer un peu de ce qui est et qui sera malgré tout
la perspective d’une rétive conscience ; cette insolence
résiduelle, cette pensée outrée, ces outrages insolites du
jour au lendemain, malgré ca l’échec est superflus, l’écho
ne résonne plus et l’hirondelle ne fais pas le printemps.
Qu’importe désormais la volonté de remanier le sort de la
providence, l’entrave est paradoxale, les tumultes du
désarroi suffisent de faire rugir et s’engouer de la raison
engloutie par le néant, au moment de ce terme, le compte
est rendu, mais le spectacle s’est achevé
Qui veux persister qu’il admire, les amarres sont larguées,
qui veut admirer qu’il ferme les yeux, l’oiseau s’est
envolé, et qui veut fermer les yeux qu’il s’endorme, le
moment est propice, le délai et borne, mais la carte a
disparue...
Ne dit on pas que le comble de l'incredulite c'est de
comprendre la foie?
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