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ghrib Pays-Bas |
Posté le: 10/4/2007 21:18 | Sujet du message: el khobza! | |
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11h à peu pres l'hiver,les pantalons courts qu'on portaient souvent n'etaient pas de taille pour proteger les genoux!Enfin les temps etaient durs! Cela fesait une trotte pour arriver chez le boulanger qui se situait à l'angle de l'entrée de la route de sisi lkbir en longeant la route de kahwet el assrkri et qui vendait ce qu'on appelait""khoubz etriciti""dont la taille et la longueur surtout etait imposante mais d'une legereté qui laissait du creux!(comparé à khobz el fogasse 3 fois moins grand et pesant deux fois plus) Apres que ma mere ne m'ai refilé 1 fr(Le prix du pain etait 65 cm à peu pres) je m'appretait à braver le froid,pour ensuite alleger le fameux CREUX... à mi chemin je restais figé apres avoir constaté la perte du franc j'etais figé,même pas indecis quant-a rebrousser chemin ou continuer. mon instinc me conseilla de ne pas revenir à la maison sans cette baguette qui etait presque aussi haute que moi! le boulanger remarqua ma longue presence et me demanda! he ben mon ptit quoi! A mis voie peinant à tirer les paroles,je lui fis part de ma mesaventure,et surtout la peur que je suscitait,je ne lui etait pas inconnu ce pain là on le connaissait déjà un moment iniya ke lui ki le vend! avec un soupir que je ne pût deviner la raison,il me tenda le pain le visage presque indifferent,je sentais qu'il n'etait pas faché en un moment pareil c lhamdoulileh yaaaaaa rabi! le retour je ne sentait pas le froid au contraire toutes ces emotions ca chauffe sans n'oublier le pain chaud accoler sue les frels habits,cette fois ci je ne pensait pas à la qualité du pain pour moi il etait precieux,et comment! wach chaddak ya wled t'es resté preque une heure,khelitni mkhemem! Pas d'issue faut bien que je raconte du moment que je n'avait pas la monnaie du franc! ma mére sentit ma peur,mes coudes etaient dejà preparé à proteger ma tête et me suis courbé pour comme d'habitude ne sentir presque rien parceque même sans protection yemak c yemak(allah yarham menhoum el hayine ou lmoutta)ca ne fait jamais mal,c'etait se faire riducule qui fesait mal..Rien de tt ca ma mere me pris contre sa poitrine haya hanouni(typiquement expression blideene),le thee* est dejà pres!dnas moi même je me disais saha ya yemma je n'ai pas froid mais la poitrine d'une mere à cette âge toujours meilleure source de chaleur... apres avoir mangé ma mere me dis nzid nche9ik wlidi repart chez le boulanger voilà encore 1 franc tâche de ne pas le perdre mon enfant paye le et revient,ma tebtach!!! wach a wlidi me demanda le boulanger,cette fois si c'etait plus facile de lui explquer la cause de ma presence...Je voyais ses joues se redresser sans ne completemnt sourire il avait encore 1 ou 2 clients qu'il servit puis pris son dûe me renda la monnaie et m'offra une kokaun de mes preferés ah!ya cette coka**richement remplie de bonne sauce tomate...hak a wlidi hak assied toi mon enfant et mange! je regrettes monsieur mais j'ai promis de rentrer le plus vite possible! la coka fût finalement coupé à la main en plusieurs morceaux et tt le monde en goutta! hadha eddoro hadha eddih wlidi techri bih halwa! *Le thee que l'on nous servait provenait de la 2em bouillette un thée leger en somme c'etait de même pour le café(charbate)les boissons forts sont mauvais pour les petits mes enfants,melange de verité et de besoin.. **la fameuse coca se vendait aussi à la rue tyrman un peu plus haut de l'ecole(notre chere ecole)devant le photographe. Il fesait bon de vivre à douirette en tant qu'enfant du moins. |
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Sid-Ali Canada |
Posté le: 10/4/2007 21:51 | Sujet du message: RE: el khobza! | |
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la fameuse Koka dont tu parles sur la rue Tirman, à côté du photographe Djelloul Takarli fut reprise pas Ammi Mohamed Nigri Allah yerhmou, on faisait toujours une halte chez lui, en ce qui concerne la période l'école Tirman je ne me rappelle pas si c'est lui qui y était, on se contentait du petit cornet de pois-chiches bel kemoune "malah ou bnine" parfois qu'on écrasait au milieu de 2 sfendjates qu'on achetait chez le Tounsi pas loin de l'école. Mais après l'indépendance il y avait la Koka de ammi Mohamed le très sympatique Allah yerhmou, et je me rappelle que comme il était très bon ami à mon grand frère Allah yerhmou, 1 fois sur 3 c'était gratos (goubba). Tu m'as aussi rappelé khoubzet fletache (65 centimes), mais qui se rappelle du pain Boumsiyah (koul ou riyah) ? j'en ai trouvé à Blida en 2005 sur la rue du Bey pendant le Ramadhan. Salutations blidéennes.
----- Message d'origine ----- 11h à peu pres l'hiver,les pantalons courts qu'on portaient souvent n'etaient pas de taille pour proteger les genoux!Enfin les temps etaient durs! Cela fesait une trotte pour arriver chez le boulanger qui se situait à l'angle de l'entrée de la route de sisi lkbir en longeant la route de kahwet el assrkri et qui vendait ce qu'on appelait""khoubz etriciti""dont la taille et la longueur surtout etait imposante mais d'une legereté qui laissait du creux!(comparé à khobz el fogasse 3 fois moins grand et pesant deux fois plus) Apres que ma mere ne m'ai refilé 1 fr(Le prix du pain etait 65 cm à peu pres) je m'appretait à braver le froid,pour ensuite alleger le fameux CREUX... à mi chemin je restais figé apres avoir constaté la perte du franc j'etais figé,même pas indecis quant-a rebrousser chemin ou continuer. mon instinc me conseilla de ne pas revenir à la maison sans cette baguette qui etait presque aussi haute que moi! le boulanger remarqua ma longue presence et me demanda! he ben mon ptit quoi! A mis voie peinant à tirer les paroles,je lui fis part de ma mesaventure,et surtout la peur que je suscitait,je ne lui etait pas inconnu ce pain là on le connaissait déjà un moment iniya ke lui ki le vend! avec un soupir que je ne pût deviner la raison,il me tenda le pain le visage presque indifferent,je sentais qu'il n'etait pas faché en un moment pareil c lhamdoulileh yaaaaaa rabi! le retour je ne sentait pas le froid au contraire toutes ces emotions ca chauffe sans n'oublier le pain chaud accoler sue les frels habits,cette fois ci je ne pensait pas à la qualité du pain pour moi il etait precieux,et comment! wach chaddak ya wled t'es resté preque une heure,khelitni mkhemem! Pas d'issue faut bien que je raconte du moment que je n'avait pas la monnaie du franc! ma mére sentit ma peur,mes coudes etaient dejà preparé à proteger ma tête et me suis courbé pour comme d'habitude ne sentir presque rien parceque même sans protection yemak c yemak(allah yarham menhoum el hayine ou lmoutta)ca ne fait jamais mal,c'etait se faire riducule qui fesait mal..Rien de tt ca ma mere me pris contre sa poitrine haya hanouni(typiquement expression blideene),le thee* est dejà pres!dnas moi même je me disais saha ya yemma je n'ai pas froid mais la poitrine d'une mere à cette âge toujours meilleure source de chaleur... apres avoir mangé ma mere me dis nzid nche9ik wlidi repart chez le boulanger voilà encore 1 franc tâche de ne pas le perdre mon enfant paye le et revient,ma tebtach!!! wach a wlidi me demanda le boulanger,cette fois si c'etait plus facile de lui explquer la cause de ma presence...Je voyais ses joues se redresser sans ne completemnt sourire il avait encore 1 ou 2 clients qu'il servit puis pris son dûe me renda la monnaie et m'offra une kokaun de mes preferés ah!ya cette coka**richement remplie de bonne sauce tomate...hak a wlidi hak assied toi mon enfant et mange! je regrettes monsieur mais j'ai promis de rentrer le plus vite possible! la coka fût finalement coupé à la main en plusieurs morceaux et tt le monde en goutta! hadha eddoro hadha eddih wlidi techri bih halwa! *Le thee que l'on nous servait provenait de la 2em bouillette un thée leger en somme c'etait de même pour le café(charbate)les boissons forts sont mauvais pour les petits mes enfants,melange de verité et de besoin.. **la fameuse coca se vendait aussi à la rue tyrman un peu plus haut de l'ecole(notre chere ecole)devant le photographe. Il fesait bon de vivre à douirette en tant qu'enfant du moins.
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ghrib Pays-Bas |
Posté le: 10/4/2007 22:26 | Sujet du message: RE: el khobza! | |
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Bonjour ou bonsoir sid-ali oui juste devant takarli en 62 on ete deja partis de douirette alors les annees 62 j'y revenais à douirette occasion mais à 10 ans souvent accompagné,au fait de khobz bou mssiyah koul ou riyah,j'ai l'impression que je l'ai mangé sans ne me rendre compte..on n'utilisait pas cette expression esaiment je crois. Tu sais un ancien de tirman vend encore du bon pain de ch3ir il se met à côté de ami mohamed moul el kemiate 9elbelouz ba9lawa etc...a la rue du bey... twenssa les deux y sont encore celui de tirman et de la rue d'alger je prends habba 9alalouz de temps à autre quand je suis à blida! et sid ali echrachere de chrea et la chiffa y abondent mazalete el baraka mon ami! en ce qui nous concerne et surtout le manque,...rappelle toi fadhila allah yarhamha qui disait(et que je sens resonner à mes oreilles) asbar 3ala lemhaane hata iferedj allah! ou bien ya ghorbati ya ghorbati etc... ah tout ca est moins pesant lyoum el hamdoulileh on a la tele sattelite,le telephone,l'internet,et même un vol direct du canada! salam a tt le monde!
----- Message d'origine ----- la fameuse Koka dont tu parles sur la rue Tirman, à côté du photographe Djelloul Takarli fut reprise pas Ammi Mohamed Nigri Allah yerhmou, on faisait toujours une halte chez lui, en ce qui concerne la période l'école Tirman je ne me rappelle pas si c'est lui qui y était, on se contentait du petit cornet de pois-chiches bel kemoune "malah ou bnine" parfois qu'on écrasait au milieu de 2 sfendjates qu'on achetait chez le Tounsi pas loin de l'école. Mais après l'indépendance il y avait la Koka de ammi Mohamed le très sympatique Allah yerhmou, et je me rappelle que comme il était très bon ami à mon grand frère Allah yerhmou, 1 fois sur 3 c'était gratos (goubba). Tu m'as aussi rappelé khoubzet fletache (65 centimes), mais qui se rappelle du pain Boumsiyah (koul ou riyah) ? j'en ai trouvé à Blida en 2005 sur la rue du Bey pendant le Ramadhan. Salutations blidéennes.
----- Message d'origine ----- 11h à peu pres l'hiver,les pantalons courts qu'on portaient souvent n'etaient pas de taille pour proteger les genoux!Enfin les temps etaient durs! Cela fesait une trotte pour arriver chez le boulanger qui se situait à l'angle de l'entrée de la route de sisi lkbir en longeant la route de kahwet el assrkri et qui vendait ce qu'on appelait""khoubz etriciti""dont la taille et la longueur surtout etait imposante mais d'une legereté qui laissait du creux!(comparé à khobz el fogasse 3 fois moins grand et pesant deux fois plus) Apres que ma mere ne m'ai refilé 1 fr(Le prix du pain etait 65 cm à peu pres) je m'appretait à braver le froid,pour ensuite alleger le fameux CREUX... à mi chemin je restais figé apres avoir constaté la perte du franc j'etais figé,même pas indecis quant-a rebrousser chemin ou continuer. mon instinc me conseilla de ne pas revenir à la maison sans cette baguette qui etait presque aussi haute que moi! le boulanger remarqua ma longue presence et me demanda! he ben mon ptit quoi! A mis voie peinant à tirer les paroles,je lui fis part de ma mesaventure,et surtout la peur que je suscitait,je ne lui etait pas inconnu ce pain là on le connaissait déjà un moment iniya ke lui ki le vend! avec un soupir que je ne pût deviner la raison,il me tenda le pain le visage presque indifferent,je sentais qu'il n'etait pas faché en un moment pareil c lhamdoulileh yaaaaaa rabi! le retour je ne sentait pas le froid au contraire toutes ces emotions ca chauffe sans n'oublier le pain chaud accoler sue les frels habits,cette fois ci je ne pensait pas à la qualité du pain pour moi il etait precieux,et comment! wach chaddak ya wled t'es resté preque une heure,khelitni mkhemem! Pas d'issue faut bien que je raconte du moment que je n'avait pas la monnaie du franc! ma mére sentit ma peur,mes coudes etaient dejà preparé à proteger ma tête et me suis courbé pour comme d'habitude ne sentir presque rien parceque même sans protection yemak c yemak(allah yarham menhoum el hayine ou lmoutta)ca ne fait jamais mal,c'etait se faire riducule qui fesait mal..Rien de tt ca ma mere me pris contre sa poitrine haya hanouni(typiquement expression blideene),le thee* est dejà pres!dnas moi même je me disais saha ya yemma je n'ai pas froid mais la poitrine d'une mere à cette âge toujours meilleure source de chaleur... apres avoir mangé ma mere me dis nzid nche9ik wlidi repart chez le boulanger voilà encore 1 franc tâche de ne pas le perdre mon enfant paye le et revient,ma tebtach!!! wach a wlidi me demanda le boulanger,cette fois si c'etait plus facile de lui explquer la cause de ma presence...Je voyais ses joues se redresser sans ne completemnt sourire il avait encore 1 ou 2 clients qu'il servit puis pris son dûe me renda la monnaie et m'offra une kokaun de mes preferés ah!ya cette coka**richement remplie de bonne sauce tomate...hak a wlidi hak assied toi mon enfant et mange! je regrettes monsieur mais j'ai promis de rentrer le plus vite possible! la coka fût finalement coupé à la main en plusieurs morceaux et tt le monde en goutta! hadha eddoro hadha eddih wlidi techri bih halwa! *Le thee que l'on nous servait provenait de la 2em bouillette un thée leger en somme c'etait de même pour le café(charbate)les boissons forts sont mauvais pour les petits mes enfants,melange de verité et de besoin.. **la fameuse coca se vendait aussi à la rue tyrman un peu plus haut de l'ecole(notre chere ecole)devant le photographe. Il fesait bon de vivre à douirette en tant qu'enfant du moins.
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