| Auteur |
Message |
| | Trier par date croissante |
| Mhamed |
|
|
Bonjour,
J'aimerais apporter une petite précision: la boutique qui était mitoyenne au magasin Rendja était occupée à une certaine époque par notre ami le défunt Hacine, qui nous a quitté il y a peu de temps. La boutique s'appelait "Carina".
Dont acte.
Fraternellement.
 |
|
|
| Tchipernem |
Posté le:
22/10/2012 14:47 | Sujet du message:
RE: RE: la fin de l'ecole buisoniere | |
| |
|
| "Ghrib" a écrit: | |
j'ai fréquenté la rue Saâdi à l'époque ou je travaillais à l'IHB (l'école d'hydrotechnique et de bonification) situé à la place de la caserne Blandan. L'entrée de l'institut se trouvait juste en face de la rue Saâdi. J'y ai ravaillais de 1973 à 1980 avant d'intégrer en 1980 (le lendemain du tremblement de terre)la CASORAL à Zenket-Ennouar (à la clinique Allouche).
En 74/75 lorsque je quittais mon travail je retrouvai souvent un ami Rabah qui travaillait chez Mourad Bengherbia le bijoutier. C'est ainsi que j'ai fini par connaitre et sympatiser avec quasiment tous les habitants de la rue Saâdi.
Au milieu des années 80 je me suis marié dans le quartier ou ma belle famille a encore la maison au n°1.
Mes amis les plus proches du quartier furent Ahcene Saâdi (Allah yarhmou), Nasreddine Tchoutchane, Badrani Ahmed, Mourad, Hellali, L'houari, les frères Cheletta et Sayah Chemseddine entre autre. La liste est très longue. J'ai connu tous les commerçants du quartier évidemment (du marchand de meubles jusqu'à la couturière et Boumaâza (la royale: qui appartenait à mon beau père, Allah yarhmou).
Sid-Ali si tu connais quelques personnes parmi celles que je viens de citer, tu dois certainement me reconnaitre.
Pour ce qui est du lyçée j'étais camarade de classe de Tayeb Lazar en 2°S1 en 70/71. En Seconde S2, il y'avait le fils à Foufa et en Seconde S3 Akli Nasser, si ma mémoire est encore fraîche.
Voila, mon chèr Sid-Ali quelques indications concernant mon vécu à la rue Saâdi.
Reçoit mes sincères salutations.
Djamel |
La bibliothèque de l'IHB avait une vue imprenable sur le balcon d'en face, juste au-dessus de la boulangerie La Royale  Et ce qui devait arriver arriva: il se marièrent et eurent beaucoup d'enfant?
Comment vas-tu Djamel B.? En tout cas, cela fait plaisir d'avoir de tes nouvelles.
|
|
|
Sid-Ali
Canada |
Posté le:
15/5/2007 18:24 | Sujet du message:
RE: la fin de l'ecole buisoniere | |
| |
|
Ya khouya on plane tous.
Blida nous a vu naitre, comment peut-on l'oublier, les pieds-noirs n'ont jamais pu l'oublier, alors nous!
Une fois j'ai rencontré un pied-noir installé ici à Montréal depuis son exil d'Algérie, et au fur et à mesure de la discussion j'ai compris que c'est un ancien de l'OAS. Il a reconnu ses erreurs (il était un ami intime à Pierre Lagaillarde le chef de l'OAS et originaire de Blida, et lui l'appelait Pierrot), il est resté nostalgique, pas de l'Algérie française, mais juste de l'Algérie qu'il sait qu'il ne pourra plus jamais visiter. Alors je lui en ai mis encore, des tas d'histoires pour le torturer, je lui ai aussi indiqué certains sites où il pouvait trouver des photos de Blida, il m'a envoyé un message pour me remercier et me dire qu'il avait fait une sorte de pélérinage en restant 3 ou 4 heures devant son écran, j'ai compris tous ses regrets et son désespoir.
Comment peut-on ne pas avoir mal au coeur lorsqu'on voit ces changements, tous négatifs, par rapport à ce qu'on y a vécu, longtemps dans une misère qui nous rendait encore plus fiers, de Douirette (où je suis né) à Zenket Enouar (où j'ai passé la majeure partie de mon enfance), de Tirman à Ibnou-Rouchd, de Chréa (à pied) à Azur-Plage (en vélo ou mobylette), d'Alger (où j'ai vécu 17 ans sans jamais me sentir à l'aise) à Montréal, je me sens encore plus blidéen, rien n'a changé dans mes habitudes, la cuisine, la façon de raisonner, l'accent par lequel on reconnait facilement, je dis encore Labeh, ihaou, je mage de la hammama, de la batata befliou, ma femme fait encore de la tbiykha, surtout en ce printemps, et puis le osbane, la salade typiquement blidéenne (frites, felfel, batendjal meklia, oignon) que l'on fait en été (tous ceux qui y ont goûté ont adoré), dans mon jardin j'ai des rosiers mais aussi 3 Mnigchates, 1 Mahmoud, 2 Fellates qui parfument tout le jardin, il ne manque que Mesk-Ellil (le galant de minuit comme l'appellent les français) et le Khdaouedj. Il y a un boulanger algérien à Montréal qui fait le pain de toutes sortes, et un spécialement que j'adore parcequ'il ressemble au "Boumsiyah" (koul ou riyah) qu'on achetait sur le souk ou alors pas loin de Kamarize (mes dernières années en Algérie), j'ai aussi trouvé un tunisien qui fait du sfendj, j'ai re-vécu cette histoire de hmissa-bel-kemoune au milieu de 2 sfendjates, les algérois le font avec 2 sfendj et une kalb-ellouz au milieu et je trouve cela insensé, lorsqu'il y a du bakour, je le mange avec la chorba, tradition blidéenne oblige (elle a ses raisons), je suis donc resté BLIDEEN dans l'âme, ni les buildings de l'amérique du nord, ni sa grandeur ni son faste, ni sa neige ni ses lacs, ni rien au monde ne me fera oublier la perle de la Mitidja avec tout son savoir-vivre.
Fraternellement, le blidéen du boût du monde.
----- Message d'origine -----
Salut Sid-Ali
Votre magasin face a Âmi Mustapha et à la rue Saâdi faisait du prêt à porter. Je m'en souviens très bien. L'ancien propriétaire de "la Royale" n'est autre que mon beau-père dcd en 80 Allah yarhmou.
Tu as raison de citer Djamel un autre frère à Farouk et un quatrième qui était consul en France à la fin des années 70.
Pour les Benzina, c'est vrai qu'ils ne sont pas très ancien dans le quartier, parceque entre 59 et 62 ils ont habité la cité cherry et El-Hadi a été en classe avec moi à la cité musulmane ou Perriquet en 59/60 ou 61/62 si ma mémoire est bonne. Je ne suis pas très sur de ces dates mais il est certain qu'ils sont passés par mon quartier avant de monter en ville. Les benzina tout comme les Chellita et Madame Athmani (la couturière) je les ai connu à l'époque ou ils habitaient la cité Cherry et la cité Wrida.
La troupe Nedjma s'exerce toujours dans cette cave. Son maitre Rachid Tobal était très charismatique et jouissait d'un réputation à la hauteur de son art. Je l'ai vu la dernière fois la veille de son décès. Il avait ouvert une boutique de cadeaux et de petit électroménager. j'étais à Blida pour une semaine. Je me suis arrêté pour discuter un petit peu avec lui, Abdelkader el blond et Brakni. Ils savaient que je vivais en France. Le soir il a animé un mariage à Alger et le lendemain en sortant de la maison je trouve son fils devant la boutique en larme. Je me suis rapproché de lui pour lui demander ce qu'il avait. Et là,il m'annonce la mort de son père dans la nuit, alors qu'il animait une soirée. Cela m'a glacé, car on venait de prendre un maitre du chaâbi et de la musique Andalouse. C'est lui qui a formé une génération de mélomanes dont Nassima, que tu dois connaitre Sid-Ali. Bref. Je rentre rarement en Algèrie et chaque fois j'y vais. J'apprends la disparition d'une figure emblématique de notre très chère ville, qui ne comptait que 50 à 60 mille habitants en 62. On se connaissait presque tous, et on avait presque tous des liens les uns avec les autres. Ce qui n'est malheureusement plus le cas aujourd'hui. Blida est complètement défigurée, lapidée, et martyrisée par ceux qui l'ont envahi et se l'ont approprié. Ses gens n'ont jamais connu les senteurs de l'Yasmine, de Mesk-Ellil et du Soltane el-Ghaba. Pour me réconforter, je fais un plongeon dans mes souvenirs olfactives et je me revois faire une ballade le long des boulevards de Blida en passant de Bab-edzair à bab-errahba par bab-ezzaouia, bab-essebt, sidi-yakoub et jardin bizou puis place-ettout et redescendre le boulevard Abdellah el Aichi.
Ces promenades je l'ai faisais réellement chaque jour avec des potes. C'était un bonheur. Excuses-moi Sid-Ali mais je suis en train de planer. C'est vraiment l'extase.
Au plaisir de te lire.
Salutations à tous les Blidèens du monde qui aime Blida.
A très bientôt
----- Message d'origine -----
Bonjour Djamel.
La boutique juste au dessus des Rendja c'est quoi ? au dessu il y avait le marchand d'articles ménagers Berkhissa, puis Nicette (Bouamra Allah yerhmou), ensuite il y a Mohamed le tailleur. En face il y avait d'un côté la bijouterie de Ferradj, le coiffeur puis le magasin de Soussen qu'il a cédé aux Boudjakdji, et de l'autre côté le magasin de meubles de amek Mustapha elli kane ihabha. Mais juste en face c'est nous, au début des années 63-65 on vendait des disques, puis depuis 67 on y vend du prêt à porter féminin jusqu'à aujourd'hui.
Les anciens propriétaires de la patisserie que tu cites, c'était le vieux Lordjane à l'époque, je connais bien-sûr AEK Bedjaoui, on a fait une classe ensemble, excellent joueur de foot, Farouk n'avait-il pas un frère Djamel? ou je me trompe?
Je suis désolé pour le frère de Saadi je ne le savais pas, et aussi pour Abdelkader blond que je connaissais bien. Les Benzina ne sont pas vraiment des anciens de la rue, avant 62 ils habitaient Douirette où ils ont débarqué de El-Khemis (sans être méchant), à cette époque El-Hadi était à la même classe que moi (60-61 école Tirman).
Dans la petite impasse il y avait une ancienne cave de vin et la troupe Nedjma s'y exerçait presque chaque soir, je crois que je connais trop bien ce quartier au point d'être angoissé que tout ce beau monde soit parti, Allah yerhamhoum koulhoum.
Salutations du blidéen du boût du monde.
----- Message d'origine -----
Saha khouya Sid-Ali
Je vois qu'on a connu le quartier avec un tout petit décalage. C'est toi qui m'a précédé, il n'y a pas de doute. Tu m'as rectifié en parlant de Mohamed Saâdi Allah yarhmou. C'était aussi un ami à moi presque un proche, mais ce matin, j'ai évoqué son frère Ahcène "le rouquin" allah yarhmou (il était un champion de gymnastique) et c'était mon copain intime. Il est mort en Novembre 81 alors qu'il était en mission en Allemagne pour la Sonatrach. Mohamed, je l'ai vu en 99 pour la dernière fois, il était déjà très amaigri et mal au point. Ami Salem avait transformé en partie le Palace en magasin de chaussures et c'est Kamel leur plus jeune frère qui le gérait. Sid-Ali je ne vois exactement de quel commerce tu parles en face de la rus Saâdi. Il y'avait Rendja et il y est encore me semble t-il un peu plus haut Mohamed El-tailleur mais entre les deux deux je ne sais plus quelle sorte de commerce il y avait. Rabah n'a pas quitté les lieux il au bout de la rue. Il tient un magasin d'articles de Paris et de jouets. Il était une bijoutier dans cette même boutique. Il a comme voisin de droite un tailleur (Brakni de la cité des Palmiers) qui a transformé d'ailleurs sa boutique en pizzeriaet sur sa gauche Âmi Sayah qui un transformé son garage en un local multimédia. Quand à ses voisins d'en face il y a la Royâle, la maison de ma belle famille et kader Bedjaoui que tu dois connaitre le plus dans le quartier, puisqu'il a porté les couleurs de l'USMB. Lui aussi a transformé une partie de son habitation en épicerie fine. Sid-Ali tu dois connaitre Farouk Erraâche (cousin à kader ainsi que son frère Nasreddine (medecin). Il prérarait une spécialité au tout début des années 80. Abdelkader le disquaire est effectivement décédé depuis un moment tout comme Âmi Terki (la kamentch), et Abdelder el blond (Kebaili) et Serradj père et fils (les Dinandiers) et les Tchoutchan Mostapha puis Mohamed le plus jeune et Abdelwahab (l'ainé). Tout comme Morad Bengherbia semble t-il. C'est mon beau-frère qui me l'a annoncé il y a quelques jours. Des anciens de la rue Saâdi il ne reste plus beaucoup de monde. Il y a encore les Benzina les Bayri, Sayah, les Terki et la famille Bedjaoui. De nouveaux venus ont investi la quartier qui a perdu son charme d'antan.
Je m'arrête là, Sid-Ali. J'ai les larmes aux yeux en me souvenant de tous ces amis et proches qui ont disparu ou quitté le quartier et de la transformation de notre ville ou on passe aujourd'hui pour des débarqués ou des inconnus.
Salutation bien fraternelles
Djamel
----- Message d'origine -----
Saha khouya Djamel.
Je connais la plupart des personnes que tu as cité, ainsi que tous les commerçants du quartier. Lorsque tu parles de Saadi je crois que tu veux dire Mohamed Allah yerhmou, le fils de ammi Salem propriétaire du resto Le petit palace sur la rue d'Alger. Enfin on l'appelait Mohamed et c'est un gars que j'appréciais beaucoup. Et c'est justement dans ces années là (72 à 75) que je faisais la navette Blida-Alger pour mes études et je commençais à perdre de vue plusieurs blidéens. Ensuite c'était le travail, toujours à Alger où j'ai fini par habiter. Nassr Akli habite mon quartier mais c'est son frère Kamel qui fit la 4ème avec moi, Tayeb Lazar bien-sûr que je le connais ainsi que tous ses frères de Redhouane à Salah Allah yerhmou, la clinique de Allouche est à 20 mètres de notre ancienne maison (où on habitait jusqu'en 1974)où habitent mes neveux maintenant. Le commerce en face de la rue Saadi appartient à mon frère et avant ces années là je le tenais pendant toutes vacances d'été en plus des jeudis et week-ends. Rabah qui travaillait chez Mourad Bengherbia je l'ai perdu de vue, on m'a dit que Abdelkader le disquaire était décédé, je me rappelle l'avoir rencontré à l'hôpital Parnet vers 1986 et il m'avait confié qu'il avait des problêmes cardiaques. Tous ces noms que tu as cité je les connais, mais je n'arrive pas à mettre une image sur chacun.
Fraternelles salutations.
----- Message d'origine -----
Salut Sid-Ali
j'ai fréquenté la rue Saâdi à l'époque ou je travaillais à l'IHB (l'école d'hydrotechnique et de bonification) situé à la place de la caserne Blandan. L'entrée de l'institut se trouvait juste en face de la rue Saâdi. J'y ai ravaillais de 1973 à 1980 avant d'intégrer en 1980 (le lendemain du tremblement de terre)la CASORAL à Zenket-Ennouar (à la clinique Allouche).
En 74/75 lorsque je quittais mon travail je retrouvai souvent un ami Rabah qui travaillait chez Mourad Bengherbia le bijoutier. C'est ainsi que j'ai fini par connaitre et sympatiser avec quasiment tous les habitants de la rue Saâdi.
Au milieu des années 80 je me suis marié dans le quartier ou ma belle famille a encore la maison au n°1.
Mes amis les plus proches du quartier furent Ahcene Saâdi (Allah yarhmou), Nasreddine Tchoutchane, Badrani Ahmed, Mourad, Hellali, L'houari, les frères Cheletta et Sayah Chemseddine entre autre. La liste est très longue. J'ai connu tous les commerçants du quartier évidemment (du marchand de meubles jusqu'à la couturière et Boumaâza (la royale: qui appartenait à mon beau père, Allah yarhmou).
Sid-Ali si tu connais quelques personnes parmi celles que je viens de citer, tu dois certainement me reconnaitre.
Pour ce qui est du lyçée j'étais camarade de classe de Tayeb Lazar en 2°S1 en 70/71. En Seconde S2, il y'avait le fils à Foufa et en Seconde S3 Akli Nasser, si ma mémoire est encore fraîche.
Voila, mon chèr Sid-Ali quelques indications concernant mon vécu à la rue Saâdi.
Reçoit mes sincères salutations.
Djamel
----- Message d'origine -----
Bonjour à tous.
Je connais presque tout le monde à la rue Saadi, mais je ne me rappelle pas d'un Djamel, de quelles années tu veux parler ?
----- Message d'origine -----
Salem ghrib
merci pour la précision. Je vois maintenant qui est ce Yakhlef. Je le connais depuis longtemps. Je l'ai toujours vu avec un petit couffin dans une main et l'autre main dans la poche. Je crois qu'il est hémyplégique. C'est quelqu'un de très jovial et d'extrêmement sympa. Il me semble qu'il a habitait quelques temps la cité Cherry avant de trouver un appart à la cité Wrida.
Si. ça me revient il était voisin des familles Bezekka, Yousfi et Righi.
Pas de problème pour mon e-mail. Il est affiché.
Maâ essalama.
----- Message d'origine -----
Sêlêm kêch E-MAIL khoya djamal?fewethouli autrement je te passerai le mien!yekhlef etait le portier à l'ecole tirman.
A bientôt.
----- Message d'origine -----
Salut Ghrib
Tu parles de Yakhlef el Kaâwane que tu as souvent rencontré à la cité Wrida. Si ça se trouve je dois le connaitre puisque j'ai habité cette cité durant plusieurs décennies. Mais je ne vois pas qui est ce monsieur. Ghrib, on a le même âge, on a le même vécu, les mêmes souvenirs, mais je n'arrive pas à mettre un visage sur ton nom. C'est frustrant! Je sais qu'on a été au lyçée à la même époque. On a eu peut être les mêmes profs (Cheikh el Chorfi Allah yarhmou, Mr Mottet etc...)
C'est pareil pour Sid Ali et Mou, que je dois connaitre aussi, mais dont j'ai du mal à identifier. Je suis natif de Douiret comme vous mais on est descendu à la cité Musulmane en 56 puis à la cité Wrida de 58 à 1997 et enfin à coté du stade Tchaker, ou réside ma famille aujourd'hui. Moi je suis plus connu à la rue Saâdi Bazar-Esserdouk et à Montpensier qu'à Douiret que j'ai quitté très jeune. Beaucoup de famille de Douiret ont habités avec nous à la cité Wrida dans les années 60 et 70 puis sont reparties ailleurs. Merci de m'éclairer Ghrib.
Quelqu'un se demandait ce qu'est devenu "Courkda"? Et bien Allah yarhmou houwa walmoumnine. Il est décédé en 2001. C'était mon oncle maternel. C'était un fils de Douiret ou il est né en 35. Il vivait chez nous jusqu'à sa mort.
Au plaisir de vous lire
Salutations toute Blidéenne de la région Parisienne.
Djamel
----- Message d'origine -----
Un certain moment debut des années 60 à l'ecole tirman,l'ecole avec le plus grand nombre d'abstention y compris l'ecole buisoniere volontaire perpetrée surtout en été,pris une tournure considerable,tres drôle mais juste apres que l'on ai decidé de distribuer du lait chaud le matin.
Ou etais-ce juste apres la recreation?cela se passait juste devant bureau de monsieur tangui,dans le même coin se deroulait la remise de certificat de bonne conduite en fin d'année.
aussi quand les cours n'etaient pas tres amusant,les permissions de:<<Madame ou monsieur est-ce-que je peux aller au cabinet?
j'imagine que la plupart se rappellent de aami yekhlef el kaawane,
le portier,plus tard je le rencontrait assez souvent à la cité wrida,je me demande s'il est encore en vie.
les films la belle et la bête,et sans famille on les a devoré des yeux mais dans une cave?non?ou etais-ce une classe amenagée à cet effet,les scénes sont encore vives mais pas l'emplaçement.
winw raki ya mme blanche!ou wine rahoum el bayate taa el berkouke zouj doro lel bye.
ces revendeuses de divers petits tas de fruit tels que les abricots,les nefles,et les prunes,fi bab errahba s'installaient aussi bien devant les dellalates dont les bras etaient couverts d'or les paumes des mains servaient en guise d'etalage,pour dire que ken kêyene lêmêne,ce qu'on aurait aussi bien pût nommer ''BAB ERAHMA''
salutations d'enfance blidéene!
 |
|
|
ghrib
France |
Posté le:
14/5/2007 14:39 | Sujet du message:
RE: la fin de l'ecole buisoniere | |
| |
|
salam khouya sid ali,sah l'etalage de votre magasin de disques,incitait tellement de passants a marquer un arrêt afin d'admirer les belles couvertures de disques telles que ceux de sylvie vartan,marie laforêt,moustaki,adamo,45 et 33 tours,en tout cas mon desire d'acquerir celui de abdelhalim zayi el hawa(ha!ha!haha!),fût tel que je ne pût resister à la tentation.
Il etait mon unique et seule collection finalement.
sid ali à l'entrée du côté du marche devant ancien bata(magasin de chaussures)deux freres jumeaux qui habitaient à l'enceinte du bazard,et etaient ensembles à bne rouchd,il se mettaient toujours debout ils avaient les cheuveux un tout petit peu crepu un peu court de taille,et leur nom?
completement oublié,comme disait ma mere allah yarhamha nssina achet(diner)el barah!
au fait kelkun sait qui chantait lamento la pluis martele les carreaux j'ai cherché sur google juste par curiosité aucun resultat.
bien le bonjour sid ali et a toute l'equipe.
----- Message d'origine -----
Bonjour Djamel.
La boutique juste au dessus des Rendja c'est quoi ? au dessu il y avait le marchand d'articles ménagers Berkhissa, puis Nicette (Bouamra Allah yerhmou), ensuite il y a Mohamed le tailleur. En face il y avait d'un côté la bijouterie de Ferradj, le coiffeur puis le magasin de Soussen qu'il a cédé aux Boudjakdji, et de l'autre côté le magasin de meubles de amek Mustapha elli kane ihabha. Mais juste en face c'est nous, au début des années 63-65 on vendait des disques, puis depuis 67 on y vend du prêt à porter féminin jusqu'à aujourd'hui.
Les anciens propriétaires de la patisserie que tu cites, c'était le vieux Lordjane à l'époque, je connais bien-sûr AEK Bedjaoui, on a fait une classe ensemble, excellent joueur de foot, Farouk n'avait-il pas un frère Djamel? ou je me trompe?
Je suis désolé pour le frère de Saadi je ne le savais pas, et aussi pour Abdelkader blond que je connaissais bien. Les Benzina ne sont pas vraiment des anciens de la rue, avant 62 ils habitaient Douirette où ils ont débarqué de El-Khemis (sans être méchant), à cette époque El-Hadi était à la même classe que moi (60-61 école Tirman).
Dans la petite impasse il y avait une ancienne cave de vin et la troupe Nedjma s'y exerçait presque chaque soir, je crois que je connais trop bien ce quartier au point d'être angoissé que tout ce beau monde soit parti, Allah yerhamhoum koulhoum.
Salutations du blidéen du boût du monde.
----- Message d'origine -----
Saha khouya Sid-Ali
Je vois qu'on a connu le quartier avec un tout petit décalage. C'est toi qui m'a précédé, il n'y a pas de doute. Tu m'as rectifié en parlant de Mohamed Saâdi Allah yarhmou. C'était aussi un ami à moi presque un proche, mais ce matin, j'ai évoqué son frère Ahcène "le rouquin" allah yarhmou (il était un champion de gymnastique) et c'était mon copain intime. Il est mort en Novembre 81 alors qu'il était en mission en Allemagne pour la Sonatrach. Mohamed, je l'ai vu en 99 pour la dernière fois, il était déjà très amaigri et mal au point. Ami Salem avait transformé en partie le Palace en magasin de chaussures et c'est Kamel leur plus jeune frère qui le gérait. Sid-Ali je ne vois exactement de quel commerce tu parles en face de la rus Saâdi. Il y'avait Rendja et il y est encore me semble t-il un peu plus haut Mohamed El-tailleur mais entre les deux deux je ne sais plus quelle sorte de commerce il y avait. Rabah n'a pas quitté les lieux il au bout de la rue. Il tient un magasin d'articles de Paris et de jouets. Il était une bijoutier dans cette même boutique. Il a comme voisin de droite un tailleur (Brakni de la cité des Palmiers) qui a transformé d'ailleurs sa boutique en pizzeriaet sur sa gauche Âmi Sayah qui un transformé son garage en un local multimédia. Quand à ses voisins d'en face il y a la Royâle, la maison de ma belle famille et kader Bedjaoui que tu dois connaitre le plus dans le quartier, puisqu'il a porté les couleurs de l'USMB. Lui aussi a transformé une partie de son habitation en épicerie fine. Sid-Ali tu dois connaitre Farouk Erraâche (cousin à kader ainsi que son frère Nasreddine (medecin). Il prérarait une spécialité au tout début des années 80. Abdelkader le disquaire est effectivement décédé depuis un moment tout comme Âmi Terki (la kamentch), et Abdelder el blond (Kebaili) et Serradj père et fils (les Dinandiers) et les Tchoutchan Mostapha puis Mohamed le plus jeune et Abdelwahab (l'ainé). Tout comme Morad Bengherbia semble t-il. C'est mon beau-frère qui me l'a annoncé il y a quelques jours. Des anciens de la rue Saâdi il ne reste plus beaucoup de monde. Il y a encore les Benzina les Bayri, Sayah, les Terki et la famille Bedjaoui. De nouveaux venus ont investi la quartier qui a perdu son charme d'antan.
Je m'arrête là, Sid-Ali. J'ai les larmes aux yeux en me souvenant de tous ces amis et proches qui ont disparu ou quitté le quartier et de la transformation de notre ville ou on passe aujourd'hui pour des débarqués ou des inconnus.
Salutation bien fraternelles
Djamel
----- Message d'origine -----
Saha khouya Djamel.
Je connais la plupart des personnes que tu as cité, ainsi que tous les commerçants du quartier. Lorsque tu parles de Saadi je crois que tu veux dire Mohamed Allah yerhmou, le fils de ammi Salem propriétaire du resto Le petit palace sur la rue d'Alger. Enfin on l'appelait Mohamed et c'est un gars que j'appréciais beaucoup. Et c'est justement dans ces années là (72 à 75) que je faisais la navette Blida-Alger pour mes études et je commençais à perdre de vue plusieurs blidéens. Ensuite c'était le travail, toujours à Alger où j'ai fini par habiter. Nassr Akli habite mon quartier mais c'est son frère Kamel qui fit la 4ème avec moi, Tayeb Lazar bien-sûr que je le connais ainsi que tous ses frères de Redhouane à Salah Allah yerhmou, la clinique de Allouche est à 20 mètres de notre ancienne maison (où on habitait jusqu'en 1974)où habitent mes neveux maintenant. Le commerce en face de la rue Saadi appartient à mon frère et avant ces années là je le tenais pendant toutes vacances d'été en plus des jeudis et week-ends. Rabah qui travaillait chez Mourad Bengherbia je l'ai perdu de vue, on m'a dit que Abdelkader le disquaire était décédé, je me rappelle l'avoir rencontré à l'hôpital Parnet vers 1986 et il m'avait confié qu'il avait des problêmes cardiaques. Tous ces noms que tu as cité je les connais, mais je n'arrive pas à mettre une image sur chacun.
Fraternelles salutations.
----- Message d'origine -----
Salut Sid-Ali
j'ai fréquenté la rue Saâdi à l'époque ou je travaillais à l'IHB (l'école d'hydrotechnique et de bonification) situé à la place de la caserne Blandan. L'entrée de l'institut se trouvait juste en face de la rue Saâdi. J'y ai ravaillais de 1973 à 1980 avant d'intégrer en 1980 (le lendemain du tremblement de terre)la CASORAL à Zenket-Ennouar (à la clinique Allouche).
En 74/75 lorsque je quittais mon travail je retrouvai souvent un ami Rabah qui travaillait chez Mourad Bengherbia le bijoutier. C'est ainsi que j'ai fini par connaitre et sympatiser avec quasiment tous les habitants de la rue Saâdi.
Au milieu des années 80 je me suis marié dans le quartier ou ma belle famille a encore la maison au n°1.
Mes amis les plus proches du quartier furent Ahcene Saâdi (Allah yarhmou), Nasreddine Tchoutchane, Badrani Ahmed, Mourad, Hellali, L'houari, les frères Cheletta et Sayah Chemseddine entre autre. La liste est très longue. J'ai connu tous les commerçants du quartier évidemment (du marchand de meubles jusqu'à la couturière et Boumaâza (la royale: qui appartenait à mon beau père, Allah yarhmou).
Sid-Ali si tu connais quelques personnes parmi celles que je viens de citer, tu dois certainement me reconnaitre.
Pour ce qui est du lyçée j'étais camarade de classe de Tayeb Lazar en 2°S1 en 70/71. En Seconde S2, il y'avait le fils à Foufa et en Seconde S3 Akli Nasser, si ma mémoire est encore fraîche.
Voila, mon chèr Sid-Ali quelques indications concernant mon vécu à la rue Saâdi.
Reçoit mes sincères salutations.
Djamel
----- Message d'origine -----
Bonjour à tous.
Je connais presque tout le monde à la rue Saadi, mais je ne me rappelle pas d'un Djamel, de quelles années tu veux parler ?
----- Message d'origine -----
Salem ghrib
merci pour la précision. Je vois maintenant qui est ce Yakhlef. Je le connais depuis longtemps. Je l'ai toujours vu avec un petit couffin dans une main et l'autre main dans la poche. Je crois qu'il est hémyplégique. C'est quelqu'un de très jovial et d'extrêmement sympa. Il me semble qu'il a habitait quelques temps la cité Cherry avant de trouver un appart à la cité Wrida.
Si. ça me revient il était voisin des familles Bezekka, Yousfi et Righi.
Pas de problème pour mon e-mail. Il est affiché.
Maâ essalama.
----- Message d'origine -----
Sêlêm kêch E-MAIL khoya djamal?fewethouli autrement je te passerai le mien!yekhlef etait le portier à l'ecole tirman.
A bientôt.
----- Message d'origine -----
Salut Ghrib
Tu parles de Yakhlef el Kaâwane que tu as souvent rencontré à la cité Wrida. Si ça se trouve je dois le connaitre puisque j'ai habité cette cité durant plusieurs décennies. Mais je ne vois pas qui est ce monsieur. Ghrib, on a le même âge, on a le même vécu, les mêmes souvenirs, mais je n'arrive pas à mettre un visage sur ton nom. C'est frustrant! Je sais qu'on a été au lyçée à la même époque. On a eu peut être les mêmes profs (Cheikh el Chorfi Allah yarhmou, Mr Mottet etc...)
C'est pareil pour Sid Ali et Mou, que je dois connaitre aussi, mais dont j'ai du mal à identifier. Je suis natif de Douiret comme vous mais on est descendu à la cité Musulmane en 56 puis à la cité Wrida de 58 à 1997 et enfin à coté du stade Tchaker, ou réside ma famille aujourd'hui. Moi je suis plus connu à la rue Saâdi Bazar-Esserdouk et à Montpensier qu'à Douiret que j'ai quitté très jeune. Beaucoup de famille de Douiret ont habités avec nous à la cité Wrida dans les années 60 et 70 puis sont reparties ailleurs. Merci de m'éclairer Ghrib.
Quelqu'un se demandait ce qu'est devenu "Courkda"? Et bien Allah yarhmou houwa walmoumnine. Il est décédé en 2001. C'était mon oncle maternel. C'était un fils de Douiret ou il est né en 35. Il vivait chez nous jusqu'à sa mort.
Au plaisir de vous lire
Salutations toute Blidéenne de la région Parisienne.
Djamel
----- Message d'origine -----
Un certain moment debut des années 60 à l'ecole tirman,l'ecole avec le plus grand nombre d'abstention y compris l'ecole buisoniere volontaire perpetrée surtout en été,pris une tournure considerable,tres drôle mais juste apres que l'on ai decidé de distribuer du lait chaud le matin.
Ou etais-ce juste apres la recreation?cela se passait juste devant bureau de monsieur tangui,dans le même coin se deroulait la remise de certificat de bonne conduite en fin d'année.
aussi quand les cours n'etaient pas tres amusant,les permissions de:<<Madame ou monsieur est-ce-que je peux aller au cabinet?
j'imagine que la plupart se rappellent de aami yekhlef el kaawane,
le portier,plus tard je le rencontrait assez souvent à la cité wrida,je me demande s'il est encore en vie.
les films la belle et la bête,et sans famille on les a devoré des yeux mais dans une cave?non?ou etais-ce une classe amenagée à cet effet,les scénes sont encore vives mais pas l'emplaçement.
winw raki ya mme blanche!ou wine rahoum el bayate taa el berkouke zouj doro lel bye.
ces revendeuses de divers petits tas de fruit tels que les abricots,les nefles,et les prunes,fi bab errahba s'installaient aussi bien devant les dellalates dont les bras etaient couverts d'or les paumes des mains servaient en guise d'etalage,pour dire que ken kêyene lêmêne,ce qu'on aurait aussi bien pût nommer ''BAB ERAHMA''
salutations d'enfance blidéene!
 |
|
|
Djamel
France |
Posté le:
14/5/2007 11:33 | Sujet du message:
RE: la fin de l'ecole buisoniere | |
Email:
dymestas@hotmail.fr | |
|
Salut Sid-Ali
Votre magasin face a Âmi Mustapha et à la rue Saâdi faisait du prêt à porter. Je m'en souviens très bien. L'ancien propriétaire de "la Royale" n'est autre que mon beau-père dcd en 80 Allah yarhmou.
Tu as raison de citer Djamel un autre frère à Farouk et un quatrième qui était consul en France à la fin des années 70.
Pour les Benzina, c'est vrai qu'ils ne sont pas très ancien dans le quartier, parceque entre 59 et 62 ils ont habité la cité cherry et El-Hadi a été en classe avec moi à la cité musulmane ou Perriquet en 59/60 ou 61/62 si ma mémoire est bonne. Je ne suis pas très sur de ces dates mais il est certain qu'ils sont passés par mon quartier avant de monter en ville. Les benzina tout comme les Chellita et Madame Athmani (la couturière) je les ai connu à l'époque ou ils habitaient la cité Cherry et la cité Wrida.
La troupe Nedjma s'exerce toujours dans cette cave. Son maitre Rachid Tobal était très charismatique et jouissait d'un réputation à la hauteur de son art. Je l'ai vu la dernière fois la veille de son décès. Il avait ouvert une boutique de cadeaux et de petit électroménager. j'étais à Blida pour une semaine. Je me suis arrêté pour discuter un petit peu avec lui, Abdelkader el blond et Brakni. Ils savaient que je vivais en France. Le soir il a animé un mariage à Alger et le lendemain en sortant de la maison je trouve son fils devant la boutique en larme. Je me suis rapproché de lui pour lui demander ce qu'il avait. Et là,il m'annonce la mort de son père dans la nuit, alors qu'il animait une soirée. Cela m'a glacé, car on venait de prendre un maitre du chaâbi et de la musique Andalouse. C'est lui qui a formé une génération de mélomanes dont Nassima, que tu dois connaitre Sid-Ali. Bref. Je rentre rarement en Algèrie et chaque fois j'y vais. J'apprends la disparition d'une figure emblématique de notre très chère ville, qui ne comptait que 50 à 60 mille habitants en 62. On se connaissait presque tous, et on avait presque tous des liens les uns avec les autres. Ce qui n'est malheureusement plus le cas aujourd'hui. Blida est complètement défigurée, lapidée, et martyrisée par ceux qui l'ont envahi et se l'ont approprié. Ses gens n'ont jamais connu les senteurs de l'Yasmine, de Mesk-Ellil et du Soltane el-Ghaba. Pour me réconforter, je fais un plongeon dans mes souvenirs olfactives et je me revois faire une ballade le long des boulevards de Blida en passant de Bab-edzair à bab-errahba par bab-ezzaouia, bab-essebt, sidi-yakoub et jardin bizou puis place-ettout et redescendre le boulevard Abdellah el Aichi.
Ces promenades je l'ai faisais réellement chaque jour avec des potes. C'était un bonheur. Excuses-moi Sid-Ali mais je suis en train de planer. C'est vraiment l'extase.
Au plaisir de te lire.
Salutations à tous les Blidèens du monde qui aime Blida.
A très bientôt
----- Message d'origine -----
Bonjour Djamel.
La boutique juste au dessus des Rendja c'est quoi ? au dessu il y avait le marchand d'articles ménagers Berkhissa, puis Nicette (Bouamra Allah yerhmou), ensuite il y a Mohamed le tailleur. En face il y avait d'un côté la bijouterie de Ferradj, le coiffeur puis le magasin de Soussen qu'il a cédé aux Boudjakdji, et de l'autre côté le magasin de meubles de amek Mustapha elli kane ihabha. Mais juste en face c'est nous, au début des années 63-65 on vendait des disques, puis depuis 67 on y vend du prêt à porter féminin jusqu'à aujourd'hui.
Les anciens propriétaires de la patisserie que tu cites, c'était le vieux Lordjane à l'époque, je connais bien-sûr AEK Bedjaoui, on a fait une classe ensemble, excellent joueur de foot, Farouk n'avait-il pas un frère Djamel? ou je me trompe?
Je suis désolé pour le frère de Saadi je ne le savais pas, et aussi pour Abdelkader blond que je connaissais bien. Les Benzina ne sont pas vraiment des anciens de la rue, avant 62 ils habitaient Douirette où ils ont débarqué de El-Khemis (sans être méchant), à cette époque El-Hadi était à la même classe que moi (60-61 école Tirman).
Dans la petite impasse il y avait une ancienne cave de vin et la troupe Nedjma s'y exerçait presque chaque soir, je crois que je connais trop bien ce quartier au point d'être angoissé que tout ce beau monde soit parti, Allah yerhamhoum koulhoum.
Salutations du blidéen du boût du monde.
----- Message d'origine -----
Saha khouya Sid-Ali
Je vois qu'on a connu le quartier avec un tout petit décalage. C'est toi qui m'a précédé, il n'y a pas de doute. Tu m'as rectifié en parlant de Mohamed Saâdi Allah yarhmou. C'était aussi un ami à moi presque un proche, mais ce matin, j'ai évoqué son frère Ahcène "le rouquin" allah yarhmou (il était un champion de gymnastique) et c'était mon copain intime. Il est mort en Novembre 81 alors qu'il était en mission en Allemagne pour la Sonatrach. Mohamed, je l'ai vu en 99 pour la dernière fois, il était déjà très amaigri et mal au point. Ami Salem avait transformé en partie le Palace en magasin de chaussures et c'est Kamel leur plus jeune frère qui le gérait. Sid-Ali je ne vois exactement de quel commerce tu parles en face de la rus Saâdi. Il y'avait Rendja et il y est encore me semble t-il un peu plus haut Mohamed El-tailleur mais entre les deux deux je ne sais plus quelle sorte de commerce il y avait. Rabah n'a pas quitté les lieux il au bout de la rue. Il tient un magasin d'articles de Paris et de jouets. Il était une bijoutier dans cette même boutique. Il a comme voisin de droite un tailleur (Brakni de la cité des Palmiers) qui a transformé d'ailleurs sa boutique en pizzeriaet sur sa gauche Âmi Sayah qui un transformé son garage en un local multimédia. Quand à ses voisins d'en face il y a la Royâle, la maison de ma belle famille et kader Bedjaoui que tu dois connaitre le plus dans le quartier, puisqu'il a porté les couleurs de l'USMB. Lui aussi a transformé une partie de son habitation en épicerie fine. Sid-Ali tu dois connaitre Farouk Erraâche (cousin à kader ainsi que son frère Nasreddine (medecin). Il prérarait une spécialité au tout début des années 80. Abdelkader le disquaire est effectivement décédé depuis un moment tout comme Âmi Terki (la kamentch), et Abdelder el blond (Kebaili) et Serradj père et fils (les Dinandiers) et les Tchoutchan Mostapha puis Mohamed le plus jeune et Abdelwahab (l'ainé). Tout comme Morad Bengherbia semble t-il. C'est mon beau-frère qui me l'a annoncé il y a quelques jours. Des anciens de la rue Saâdi il ne reste plus beaucoup de monde. Il y a encore les Benzina les Bayri, Sayah, les Terki et la famille Bedjaoui. De nouveaux venus ont investi la quartier qui a perdu son charme d'antan.
Je m'arrête là, Sid-Ali. J'ai les larmes aux yeux en me souvenant de tous ces amis et proches qui ont disparu ou quitté le quartier et de la transformation de notre ville ou on passe aujourd'hui pour des débarqués ou des inconnus.
Salutation bien fraternelles
Djamel
----- Message d'origine -----
Saha khouya Djamel.
Je connais la plupart des personnes que tu as cité, ainsi que tous les commerçants du quartier. Lorsque tu parles de Saadi je crois que tu veux dire Mohamed Allah yerhmou, le fils de ammi Salem propriétaire du resto Le petit palace sur la rue d'Alger. Enfin on l'appelait Mohamed et c'est un gars que j'appréciais beaucoup. Et c'est justement dans ces années là (72 à 75) que je faisais la navette Blida-Alger pour mes études et je commençais à perdre de vue plusieurs blidéens. Ensuite c'était le travail, toujours à Alger où j'ai fini par habiter. Nassr Akli habite mon quartier mais c'est son frère Kamel qui fit la 4ème avec moi, Tayeb Lazar bien-sûr que je le connais ainsi que tous ses frères de Redhouane à Salah Allah yerhmou, la clinique de Allouche est à 20 mètres de notre ancienne maison (où on habitait jusqu'en 1974)où habitent mes neveux maintenant. Le commerce en face de la rue Saadi appartient à mon frère et avant ces années là je le tenais pendant toutes vacances d'été en plus des jeudis et week-ends. Rabah qui travaillait chez Mourad Bengherbia je l'ai perdu de vue, on m'a dit que Abdelkader le disquaire était décédé, je me rappelle l'avoir rencontré à l'hôpital Parnet vers 1986 et il m'avait confié qu'il avait des problêmes cardiaques. Tous ces noms que tu as cité je les connais, mais je n'arrive pas à mettre une image sur chacun.
Fraternelles salutations.
----- Message d'origine -----
Salut Sid-Ali
j'ai fréquenté la rue Saâdi à l'époque ou je travaillais à l'IHB (l'école d'hydrotechnique et de bonification) situé à la place de la caserne Blandan. L'entrée de l'institut se trouvait juste en face de la rue Saâdi. J'y ai ravaillais de 1973 à 1980 avant d'intégrer en 1980 (le lendemain du tremblement de terre)la CASORAL à Zenket-Ennouar (à la clinique Allouche).
En 74/75 lorsque je quittais mon travail je retrouvai souvent un ami Rabah qui travaillait chez Mourad Bengherbia le bijoutier. C'est ainsi que j'ai fini par connaitre et sympatiser avec quasiment tous les habitants de la rue Saâdi.
Au milieu des années 80 je me suis marié dans le quartier ou ma belle famille a encore la maison au n°1.
Mes amis les plus proches du quartier furent Ahcene Saâdi (Allah yarhmou), Nasreddine Tchoutchane, Badrani Ahmed, Mourad, Hellali, L'houari, les frères Cheletta et Sayah Chemseddine entre autre. La liste est très longue. J'ai connu tous les commerçants du quartier évidemment (du marchand de meubles jusqu'à la couturière et Boumaâza (la royale: qui appartenait à mon beau père, Allah yarhmou).
Sid-Ali si tu connais quelques personnes parmi celles que je viens de citer, tu dois certainement me reconnaitre.
Pour ce qui est du lyçée j'étais camarade de classe de Tayeb Lazar en 2°S1 en 70/71. En Seconde S2, il y'avait le fils à Foufa et en Seconde S3 Akli Nasser, si ma mémoire est encore fraîche.
Voila, mon chèr Sid-Ali quelques indications concernant mon vécu à la rue Saâdi.
Reçoit mes sincères salutations.
Djamel
----- Message d'origine -----
Bonjour à tous.
Je connais presque tout le monde à la rue Saadi, mais je ne me rappelle pas d'un Djamel, de quelles années tu veux parler ?
----- Message d'origine -----
Salem ghrib
merci pour la précision. Je vois maintenant qui est ce Yakhlef. Je le connais depuis longtemps. Je l'ai toujours vu avec un petit couffin dans une main et l'autre main dans la poche. Je crois qu'il est hémyplégique. C'est quelqu'un de très jovial et d'extrêmement sympa. Il me semble qu'il a habitait quelques temps la cité Cherry avant de trouver un appart à la cité Wrida.
Si. ça me revient il était voisin des familles Bezekka, Yousfi et Righi.
Pas de problème pour mon e-mail. Il est affiché.
Maâ essalama.
----- Message d'origine -----
Sêlêm kêch E-MAIL khoya djamal?fewethouli autrement je te passerai le mien!yekhlef etait le portier à l'ecole tirman.
A bientôt.
----- Message d'origine -----
Salut Ghrib
Tu parles de Yakhlef el Kaâwane que tu as souvent rencontré à la cité Wrida. Si ça se trouve je dois le connaitre puisque j'ai habité cette cité durant plusieurs décennies. Mais je ne vois pas qui est ce monsieur. Ghrib, on a le même âge, on a le même vécu, les mêmes souvenirs, mais je n'arrive pas à mettre un visage sur ton nom. C'est frustrant! Je sais qu'on a été au lyçée à la même époque. On a eu peut être les mêmes profs (Cheikh el Chorfi Allah yarhmou, Mr Mottet etc...)
C'est pareil pour Sid Ali et Mou, que je dois connaitre aussi, mais dont j'ai du mal à identifier. Je suis natif de Douiret comme vous mais on est descendu à la cité Musulmane en 56 puis à la cité Wrida de 58 à 1997 et enfin à coté du stade Tchaker, ou réside ma famille aujourd'hui. Moi je suis plus connu à la rue Saâdi Bazar-Esserdouk et à Montpensier qu'à Douiret que j'ai quitté très jeune. Beaucoup de famille de Douiret ont habités avec nous à la cité Wrida dans les années 60 et 70 puis sont reparties ailleurs. Merci de m'éclairer Ghrib.
Quelqu'un se demandait ce qu'est devenu "Courkda"? Et bien Allah yarhmou houwa walmoumnine. Il est décédé en 2001. C'était mon oncle maternel. C'était un fils de Douiret ou il est né en 35. Il vivait chez nous jusqu'à sa mort.
Au plaisir de vous lire
Salutations toute Blidéenne de la région Parisienne.
Djamel
----- Message d'origine -----
Un certain moment debut des années 60 à l'ecole tirman,l'ecole avec le plus grand nombre d'abstention y compris l'ecole buisoniere volontaire perpetrée surtout en été,pris une tournure considerable,tres drôle mais juste apres que l'on ai decidé de distribuer du lait chaud le matin.
Ou etais-ce juste apres la recreation?cela se passait juste devant bureau de monsieur tangui,dans le même coin se deroulait la remise de certificat de bonne conduite en fin d'année.
aussi quand les cours n'etaient pas tres amusant,les permissions de:<<Madame ou monsieur est-ce-que je peux aller au cabinet?
j'imagine que la plupart se rappellent de aami yekhlef el kaawane,
le portier,plus tard je le rencontrait assez souvent à la cité wrida,je me demande s'il est encore en vie.
les films la belle et la bête,et sans famille on les a devoré des yeux mais dans une cave?non?ou etais-ce une classe amenagée à cet effet,les scénes sont encore vives mais pas l'emplaçement.
winw raki ya mme blanche!ou wine rahoum el bayate taa el berkouke zouj doro lel bye.
ces revendeuses de divers petits tas de fruit tels que les abricots,les nefles,et les prunes,fi bab errahba s'installaient aussi bien devant les dellalates dont les bras etaient couverts d'or les paumes des mains servaient en guise d'etalage,pour dire que ken kêyene lêmêne,ce qu'on aurait aussi bien pût nommer ''BAB ERAHMA''
salutations d'enfance blidéene!
|
|
|
Sid-Ali
Canada |
Posté le:
14/5/2007 03:47 | Sujet du message:
RE: la fin de l'ecole buisoniere | |
| |
|
Bonjour Djamel.
La boutique juste au dessus des Rendja c'est quoi ? au dessu il y avait le marchand d'articles ménagers Berkhissa, puis Nicette (Bouamra Allah yerhmou), ensuite il y a Mohamed le tailleur. En face il y avait d'un côté la bijouterie de Ferradj, le coiffeur puis le magasin de Soussen qu'il a cédé aux Boudjakdji, et de l'autre côté le magasin de meubles de amek Mustapha elli kane ihabha. Mais juste en face c'est nous, au début des années 63-65 on vendait des disques, puis depuis 67 on y vend du prêt à porter féminin jusqu'à aujourd'hui.
Les anciens propriétaires de la patisserie que tu cites, c'était le vieux Lordjane à l'époque, je connais bien-sûr AEK Bedjaoui, on a fait une classe ensemble, excellent joueur de foot, Farouk n'avait-il pas un frère Djamel? ou je me trompe?
Je suis désolé pour le frère de Saadi je ne le savais pas, et aussi pour Abdelkader blond que je connaissais bien. Les Benzina ne sont pas vraiment des anciens de la rue, avant 62 ils habitaient Douirette où ils ont débarqué de El-Khemis (sans être méchant), à cette époque El-Hadi était à la même classe que moi (60-61 école Tirman).
Dans la petite impasse il y avait une ancienne cave de vin et la troupe Nedjma s'y exerçait presque chaque soir, je crois que je connais trop bien ce quartier au point d'être angoissé que tout ce beau monde soit parti, Allah yerhamhoum koulhoum.
Salutations du blidéen du boût du monde.
----- Message d'origine -----
Saha khouya Sid-Ali
Je vois qu'on a connu le quartier avec un tout petit décalage. C'est toi qui m'a précédé, il n'y a pas de doute. Tu m'as rectifié en parlant de Mohamed Saâdi Allah yarhmou. C'était aussi un ami à moi presque un proche, mais ce matin, j'ai évoqué son frère Ahcène "le rouquin" allah yarhmou (il était un champion de gymnastique) et c'était mon copain intime. Il est mort en Novembre 81 alors qu'il était en mission en Allemagne pour la Sonatrach. Mohamed, je l'ai vu en 99 pour la dernière fois, il était déjà très amaigri et mal au point. Ami Salem avait transformé en partie le Palace en magasin de chaussures et c'est Kamel leur plus jeune frère qui le gérait. Sid-Ali je ne vois exactement de quel commerce tu parles en face de la rus Saâdi. Il y'avait Rendja et il y est encore me semble t-il un peu plus haut Mohamed El-tailleur mais entre les deux deux je ne sais plus quelle sorte de commerce il y avait. Rabah n'a pas quitté les lieux il au bout de la rue. Il tient un magasin d'articles de Paris et de jouets. Il était une bijoutier dans cette même boutique. Il a comme voisin de droite un tailleur (Brakni de la cité des Palmiers) qui a transformé d'ailleurs sa boutique en pizzeriaet sur sa gauche Âmi Sayah qui un transformé son garage en un local multimédia. Quand à ses voisins d'en face il y a la Royâle, la maison de ma belle famille et kader Bedjaoui que tu dois connaitre le plus dans le quartier, puisqu'il a porté les couleurs de l'USMB. Lui aussi a transformé une partie de son habitation en épicerie fine. Sid-Ali tu dois connaitre Farouk Erraâche (cousin à kader ainsi que son frère Nasreddine (medecin). Il prérarait une spécialité au tout début des années 80. Abdelkader le disquaire est effectivement décédé depuis un moment tout comme Âmi Terki (la kamentch), et Abdelder el blond (Kebaili) et Serradj père et fils (les Dinandiers) et les Tchoutchan Mostapha puis Mohamed le plus jeune et Abdelwahab (l'ainé). Tout comme Morad Bengherbia semble t-il. C'est mon beau-frère qui me l'a annoncé il y a quelques jours. Des anciens de la rue Saâdi il ne reste plus beaucoup de monde. Il y a encore les Benzina les Bayri, Sayah, les Terki et la famille Bedjaoui. De nouveaux venus ont investi la quartier qui a perdu son charme d'antan.
Je m'arrête là, Sid-Ali. J'ai les larmes aux yeux en me souvenant de tous ces amis et proches qui ont disparu ou quitté le quartier et de la transformation de notre ville ou on passe aujourd'hui pour des débarqués ou des inconnus.
Salutation bien fraternelles
Djamel
----- Message d'origine -----
Saha khouya Djamel.
Je connais la plupart des personnes que tu as cité, ainsi que tous les commerçants du quartier. Lorsque tu parles de Saadi je crois que tu veux dire Mohamed Allah yerhmou, le fils de ammi Salem propriétaire du resto Le petit palace sur la rue d'Alger. Enfin on l'appelait Mohamed et c'est un gars que j'appréciais beaucoup. Et c'est justement dans ces années là (72 à 75) que je faisais la navette Blida-Alger pour mes études et je commençais à perdre de vue plusieurs blidéens. Ensuite c'était le travail, toujours à Alger où j'ai fini par habiter. Nassr Akli habite mon quartier mais c'est son frère Kamel qui fit la 4ème avec moi, Tayeb Lazar bien-sûr que je le connais ainsi que tous ses frères de Redhouane à Salah Allah yerhmou, la clinique de Allouche est à 20 mètres de notre ancienne maison (où on habitait jusqu'en 1974)où habitent mes neveux maintenant. Le commerce en face de la rue Saadi appartient à mon frère et avant ces années là je le tenais pendant toutes vacances d'été en plus des jeudis et week-ends. Rabah qui travaillait chez Mourad Bengherbia je l'ai perdu de vue, on m'a dit que Abdelkader le disquaire était décédé, je me rappelle l'avoir rencontré à l'hôpital Parnet vers 1986 et il m'avait confié qu'il avait des problêmes cardiaques. Tous ces noms que tu as cité je les connais, mais je n'arrive pas à mettre une image sur chacun.
Fraternelles salutations.
----- Message d'origine -----
Salut Sid-Ali
j'ai fréquenté la rue Saâdi à l'époque ou je travaillais à l'IHB (l'école d'hydrotechnique et de bonification) situé à la place de la caserne Blandan. L'entrée de l'institut se trouvait juste en face de la rue Saâdi. J'y ai ravaillais de 1973 à 1980 avant d'intégrer en 1980 (le lendemain du tremblement de terre)la CASORAL à Zenket-Ennouar (à la clinique Allouche).
En 74/75 lorsque je quittais mon travail je retrouvai souvent un ami Rabah qui travaillait chez Mourad Bengherbia le bijoutier. C'est ainsi que j'ai fini par connaitre et sympatiser avec quasiment tous les habitants de la rue Saâdi.
Au milieu des années 80 je me suis marié dans le quartier ou ma belle famille a encore la maison au n°1.
Mes amis les plus proches du quartier furent Ahcene Saâdi (Allah yarhmou), Nasreddine Tchoutchane, Badrani Ahmed, Mourad, Hellali, L'houari, les frères Cheletta et Sayah Chemseddine entre autre. La liste est très longue. J'ai connu tous les commerçants du quartier évidemment (du marchand de meubles jusqu'à la couturière et Boumaâza (la royale: qui appartenait à mon beau père, Allah yarhmou).
Sid-Ali si tu connais quelques personnes parmi celles que je viens de citer, tu dois certainement me reconnaitre.
Pour ce qui est du lyçée j'étais camarade de classe de Tayeb Lazar en 2°S1 en 70/71. En Seconde S2, il y'avait le fils à Foufa et en Seconde S3 Akli Nasser, si ma mémoire est encore fraîche.
Voila, mon chèr Sid-Ali quelques indications concernant mon vécu à la rue Saâdi.
Reçoit mes sincères salutations.
Djamel
----- Message d'origine -----
Bonjour à tous.
Je connais presque tout le monde à la rue Saadi, mais je ne me rappelle pas d'un Djamel, de quelles années tu veux parler ?
----- Message d'origine -----
Salem ghrib
merci pour la précision. Je vois maintenant qui est ce Yakhlef. Je le connais depuis longtemps. Je l'ai toujours vu avec un petit couffin dans une main et l'autre main dans la poche. Je crois qu'il est hémyplégique. C'est quelqu'un de très jovial et d'extrêmement sympa. Il me semble qu'il a habitait quelques temps la cité Cherry avant de trouver un appart à la cité Wrida.
Si. ça me revient il était voisin des familles Bezekka, Yousfi et Righi.
Pas de problème pour mon e-mail. Il est affiché.
Maâ essalama.
----- Message d'origine -----
Sêlêm kêch E-MAIL khoya djamal?fewethouli autrement je te passerai le mien!yekhlef etait le portier à l'ecole tirman.
A bientôt.
----- Message d'origine -----
Salut Ghrib
Tu parles de Yakhlef el Kaâwane que tu as souvent rencontré à la cité Wrida. Si ça se trouve je dois le connaitre puisque j'ai habité cette cité durant plusieurs décennies. Mais je ne vois pas qui est ce monsieur. Ghrib, on a le même âge, on a le même vécu, les mêmes souvenirs, mais je n'arrive pas à mettre un visage sur ton nom. C'est frustrant! Je sais qu'on a été au lyçée à la même époque. On a eu peut être les mêmes profs (Cheikh el Chorfi Allah yarhmou, Mr Mottet etc...)
C'est pareil pour Sid Ali et Mou, que je dois connaitre aussi, mais dont j'ai du mal à identifier. Je suis natif de Douiret comme vous mais on est descendu à la cité Musulmane en 56 puis à la cité Wrida de 58 à 1997 et enfin à coté du stade Tchaker, ou réside ma famille aujourd'hui. Moi je suis plus connu à la rue Saâdi Bazar-Esserdouk et à Montpensier qu'à Douiret que j'ai quitté très jeune. Beaucoup de famille de Douiret ont habités avec nous à la cité Wrida dans les années 60 et 70 puis sont reparties ailleurs. Merci de m'éclairer Ghrib.
Quelqu'un se demandait ce qu'est devenu "Courkda"? Et bien Allah yarhmou houwa walmoumnine. Il est décédé en 2001. C'était mon oncle maternel. C'était un fils de Douiret ou il est né en 35. Il vivait chez nous jusqu'à sa mort.
Au plaisir de vous lire
Salutations toute Blidéenne de la région Parisienne.
Djamel
----- Message d'origine -----
Un certain moment debut des années 60 à l'ecole tirman,l'ecole avec le plus grand nombre d'abstention y compris l'ecole buisoniere volontaire perpetrée surtout en été,pris une tournure considerable,tres drôle mais juste apres que l'on ai decidé de distribuer du lait chaud le matin.
Ou etais-ce juste apres la recreation?cela se passait juste devant bureau de monsieur tangui,dans le même coin se deroulait la remise de certificat de bonne conduite en fin d'année.
aussi quand les cours n'etaient pas tres amusant,les permissions de:<<Madame ou monsieur est-ce-que je peux aller au cabinet?
j'imagine que la plupart se rappellent de aami yekhlef el kaawane,
le portier,plus tard je le rencontrait assez souvent à la cité wrida,je me demande s'il est encore en vie.
les films la belle et la bête,et sans famille on les a devoré des yeux mais dans une cave?non?ou etais-ce une classe amenagée à cet effet,les scénes sont encore vives mais pas l'emplaçement.
winw raki ya mme blanche!ou wine rahoum el bayate taa el berkouke zouj doro lel bye.
ces revendeuses de divers petits tas de fruit tels que les abricots,les nefles,et les prunes,fi bab errahba s'installaient aussi bien devant les dellalates dont les bras etaient couverts d'or les paumes des mains servaient en guise d'etalage,pour dire que ken kêyene lêmêne,ce qu'on aurait aussi bien pût nommer ''BAB ERAHMA''
salutations d'enfance blidéene!
|
|
|
Djamel
France |
Posté le:
13/5/2007 18:17 | Sujet du message:
RE: la fin de l'ecole buisoniere | |
Email:
dymestas@hotmail.fr | |
|
Saha khouya Sid-Ali
Je vois qu'on a connu le quartier avec un tout petit décalage. C'est toi qui m'a précédé, il n'y a pas de doute. Tu m'as rectifié en parlant de Mohamed Saâdi Allah yarhmou. C'était aussi un ami à moi presque un proche, mais ce matin, j'ai évoqué son frère Ahcène "le rouquin" allah yarhmou (il était un champion de gymnastique) et c'était mon copain intime. Il est mort en Novembre 81 alors qu'il était en mission en Allemagne pour la Sonatrach. Mohamed, je l'ai vu en 99 pour la dernière fois, il était déjà très amaigri et mal au point. Ami Salem avait transformé en partie le Palace en magasin de chaussures et c'est Kamel leur plus jeune frère qui le gérait. Sid-Ali je ne vois exactement de quel commerce tu parles en face de la rus Saâdi. Il y'avait Rendja et il y est encore me semble t-il un peu plus haut Mohamed El-tailleur mais entre les deux deux je ne sais plus quelle sorte de commerce il y avait. Rabah n'a pas quitté les lieux il au bout de la rue. Il tient un magasin d'articles de Paris et de jouets. Il était une bijoutier dans cette même boutique. Il a comme voisin de droite un tailleur (Brakni de la cité des Palmiers) qui a transformé d'ailleurs sa boutique en pizzeriaet sur sa gauche Âmi Sayah qui un transformé son garage en un local multimédia. Quand à ses voisins d'en face il y a la Royâle, la maison de ma belle famille et kader Bedjaoui que tu dois connaitre le plus dans le quartier, puisqu'il a porté les couleurs de l'USMB. Lui aussi a transformé une partie de son habitation en épicerie fine. Sid-Ali tu dois connaitre Farouk Erraâche (cousin à kader ainsi que son frère Nasreddine (medecin). Il prérarait une spécialité au tout début des années 80. Abdelkader le disquaire est effectivement décédé depuis un moment tout comme Âmi Terki (la kamentch), et Abdelder el blond (Kebaili) et Serradj père et fils (les Dinandiers) et les Tchoutchan Mostapha puis Mohamed le plus jeune et Abdelwahab (l'ainé). Tout comme Morad Bengherbia semble t-il. C'est mon beau-frère qui me l'a annoncé il y a quelques jours. Des anciens de la rue Saâdi il ne reste plus beaucoup de monde. Il y a encore les Benzina les Bayri, Sayah, les Terki et la famille Bedjaoui. De nouveaux venus ont investi la quartier qui a perdu son charme d'antan.
Je m'arrête là, Sid-Ali. J'ai les larmes aux yeux en me souvenant de tous ces amis et proches qui ont disparu ou quitté le quartier et de la transformation de notre ville ou on passe aujourd'hui pour des débarqués ou des inconnus.
Salutation bien fraternelles
Djamel
----- Message d'origine -----
Saha khouya Djamel.
Je connais la plupart des personnes que tu as cité, ainsi que tous les commerçants du quartier. Lorsque tu parles de Saadi je crois que tu veux dire Mohamed Allah yerhmou, le fils de ammi Salem propriétaire du resto Le petit palace sur la rue d'Alger. Enfin on l'appelait Mohamed et c'est un gars que j'appréciais beaucoup. Et c'est justement dans ces années là (72 à 75) que je faisais la navette Blida-Alger pour mes études et je commençais à perdre de vue plusieurs blidéens. Ensuite c'était le travail, toujours à Alger où j'ai fini par habiter. Nassr Akli habite mon quartier mais c'est son frère Kamel qui fit la 4ème avec moi, Tayeb Lazar bien-sûr que je le connais ainsi que tous ses frères de Redhouane à Salah Allah yerhmou, la clinique de Allouche est à 20 mètres de notre ancienne maison (où on habitait jusqu'en 1974)où habitent mes neveux maintenant. Le commerce en face de la rue Saadi appartient à mon frère et avant ces années là je le tenais pendant toutes vacances d'été en plus des jeudis et week-ends. Rabah qui travaillait chez Mourad Bengherbia je l'ai perdu de vue, on m'a dit que Abdelkader le disquaire était décédé, je me rappelle l'avoir rencontré à l'hôpital Parnet vers 1986 et il m'avait confié qu'il avait des problêmes cardiaques. Tous ces noms que tu as cité je les connais, mais je n'arrive pas à mettre une image sur chacun.
Fraternelles salutations.
----- Message d'origine -----
Salut Sid-Ali
j'ai fréquenté la rue Saâdi à l'époque ou je travaillais à l'IHB (l'école d'hydrotechnique et de bonification) situé à la place de la caserne Blandan. L'entrée de l'institut se trouvait juste en face de la rue Saâdi. J'y ai ravaillais de 1973 à 1980 avant d'intégrer en 1980 (le lendemain du tremblement de terre)la CASORAL à Zenket-Ennouar (à la clinique Allouche).
En 74/75 lorsque je quittais mon travail je retrouvai souvent un ami Rabah qui travaillait chez Mourad Bengherbia le bijoutier. C'est ainsi que j'ai fini par connaitre et sympatiser avec quasiment tous les habitants de la rue Saâdi.
Au milieu des années 80 je me suis marié dans le quartier ou ma belle famille a encore la maison au n°1.
Mes amis les plus proches du quartier furent Ahcene Saâdi (Allah yarhmou), Nasreddine Tchoutchane, Badrani Ahmed, Mourad, Hellali, L'houari, les frères Cheletta et Sayah Chemseddine entre autre. La liste est très longue. J'ai connu tous les commerçants du quartier évidemment (du marchand de meubles jusqu'à la couturière et Boumaâza (la royale: qui appartenait à mon beau père, Allah yarhmou).
Sid-Ali si tu connais quelques personnes parmi celles que je viens de citer, tu dois certainement me reconnaitre.
Pour ce qui est du lyçée j'étais camarade de classe de Tayeb Lazar en 2°S1 en 70/71. En Seconde S2, il y'avait le fils à Foufa et en Seconde S3 Akli Nasser, si ma mémoire est encore fraîche.
Voila, mon chèr Sid-Ali quelques indications concernant mon vécu à la rue Saâdi.
Reçoit mes sincères salutations.
Djamel
----- Message d'origine -----
Bonjour à tous.
Je connais presque tout le monde à la rue Saadi, mais je ne me rappelle pas d'un Djamel, de quelles années tu veux parler ?
----- Message d'origine -----
Salem ghrib
merci pour la précision. Je vois maintenant qui est ce Yakhlef. Je le connais depuis longtemps. Je l'ai toujours vu avec un petit couffin dans une main et l'autre main dans la poche. Je crois qu'il est hémyplégique. C'est quelqu'un de très jovial et d'extrêmement sympa. Il me semble qu'il a habitait quelques temps la cité Cherry avant de trouver un appart à la cité Wrida.
Si. ça me revient il était voisin des familles Bezekka, Yousfi et Righi.
Pas de problème pour mon e-mail. Il est affiché.
Maâ essalama.
----- Message d'origine -----
Sêlêm kêch E-MAIL khoya djamal?fewethouli autrement je te passerai le mien!yekhlef etait le portier à l'ecole tirman.
A bientôt.
----- Message d'origine -----
Salut Ghrib
Tu parles de Yakhlef el Kaâwane que tu as souvent rencontré à la cité Wrida. Si ça se trouve je dois le connaitre puisque j'ai habité cette cité durant plusieurs décennies. Mais je ne vois pas qui est ce monsieur. Ghrib, on a le même âge, on a le même vécu, les mêmes souvenirs, mais je n'arrive pas à mettre un visage sur ton nom. C'est frustrant! Je sais qu'on a été au lyçée à la même époque. On a eu peut être les mêmes profs (Cheikh el Chorfi Allah yarhmou, Mr Mottet etc...)
C'est pareil pour Sid Ali et Mou, que je dois connaitre aussi, mais dont j'ai du mal à identifier. Je suis natif de Douiret comme vous mais on est descendu à la cité Musulmane en 56 puis à la cité Wrida de 58 à 1997 et enfin à coté du stade Tchaker, ou réside ma famille aujourd'hui. Moi je suis plus connu à la rue Saâdi Bazar-Esserdouk et à Montpensier qu'à Douiret que j'ai quitté très jeune. Beaucoup de famille de Douiret ont habités avec nous à la cité Wrida dans les années 60 et 70 puis sont reparties ailleurs. Merci de m'éclairer Ghrib.
Quelqu'un se demandait ce qu'est devenu "Courkda"? Et bien Allah yarhmou houwa walmoumnine. Il est décédé en 2001. C'était mon oncle maternel. C'était un fils de Douiret ou il est né en 35. Il vivait chez nous jusqu'à sa mort.
Au plaisir de vous lire
Salutations toute Blidéenne de la région Parisienne.
Djamel
----- Message d'origine -----
Un certain moment debut des années 60 à l'ecole tirman,l'ecole avec le plus grand nombre d'abstention y compris l'ecole buisoniere volontaire perpetrée surtout en été,pris une tournure considerable,tres drôle mais juste apres que l'on ai decidé de distribuer du lait chaud le matin.
Ou etais-ce juste apres la recreation?cela se passait juste devant bureau de monsieur tangui,dans le même coin se deroulait la remise de certificat de bonne conduite en fin d'année.
aussi quand les cours n'etaient pas tres amusant,les permissions de:<<Madame ou monsieur est-ce-que je peux aller au cabinet?
j'imagine que la plupart se rappellent de aami yekhlef el kaawane,
le portier,plus tard je le rencontrait assez souvent à la cité wrida,je me demande s'il est encore en vie.
les films la belle et la bête,et sans famille on les a devoré des yeux mais dans une cave?non?ou etais-ce une classe amenagée à cet effet,les scénes sont encore vives mais pas l'emplaçement.
winw raki ya mme blanche!ou wine rahoum el bayate taa el berkouke zouj doro lel bye.
ces revendeuses de divers petits tas de fruit tels que les abricots,les nefles,et les prunes,fi bab errahba s'installaient aussi bien devant les dellalates dont les bras etaient couverts d'or les paumes des mains servaient en guise d'etalage,pour dire que ken kêyene lêmêne,ce qu'on aurait aussi bien pût nommer ''BAB ERAHMA''
salutations d'enfance blidéene!
|
|
|
Sid-Ali
Canada |
Posté le:
13/5/2007 16:15 | Sujet du message:
RE: la fin de l'ecole buisoniere | |
| |
|
Saha khouya Djamel.
Je connais la plupart des personnes que tu as cité, ainsi que tous les commerçants du quartier. Lorsque tu parles de Saadi je crois que tu veux dire Mohamed Allah yerhmou, le fils de ammi Salem propriétaire du resto Le petit palace sur la rue d'Alger. Enfin on l'appelait Mohamed et c'est un gars que j'appréciais beaucoup. Et c'est justement dans ces années là (72 à 75) que je faisais la navette Blida-Alger pour mes études et je commençais à perdre de vue plusieurs blidéens. Ensuite c'était le travail, toujours à Alger où j'ai fini par habiter. Nassr Akli habite mon quartier mais c'est son frère Kamel qui fit la 4ème avec moi, Tayeb Lazar bien-sûr que je le connais ainsi que tous ses frères de Redhouane à Salah Allah yerhmou, la clinique de Allouche est à 20 mètres de notre ancienne maison (où on habitait jusqu'en 1974)où habitent mes neveux maintenant. Le commerce en face de la rue Saadi appartient à mon frère et avant ces années là je le tenais pendant toutes vacances d'été en plus des jeudis et week-ends. Rabah qui travaillait chez Mourad Bengherbia je l'ai perdu de vue, on m'a dit que Abdelkader le disquaire était décédé, je me rappelle l'avoir rencontré à l'hôpital Parnet vers 1986 et il m'avait confié qu'il avait des problêmes cardiaques. Tous ces noms que tu as cité je les connais, mais je n'arrive pas à mettre une image sur chacun.
Fraternelles salutations.
----- Message d'origine -----
Salut Sid-Ali
j'ai fréquenté la rue Saâdi à l'époque ou je travaillais à l'IHB (l'école d'hydrotechnique et de bonification) situé à la place de la caserne Blandan. L'entrée de l'institut se trouvait juste en face de la rue Saâdi. J'y ai ravaillais de 1973 à 1980 avant d'intégrer en 1980 (le lendemain du tremblement de terre)la CASORAL à Zenket-Ennouar (à la clinique Allouche).
En 74/75 lorsque je quittais mon travail je retrouvai souvent un ami Rabah qui travaillait chez Mourad Bengherbia le bijoutier. C'est ainsi que j'ai fini par connaitre et sympatiser avec quasiment tous les habitants de la rue Saâdi.
Au milieu des années 80 je me suis marié dans le quartier ou ma belle famille a encore la maison au n°1.
Mes amis les plus proches du quartier furent Ahcene Saâdi (Allah yarhmou), Nasreddine Tchoutchane, Badrani Ahmed, Mourad, Hellali, L'houari, les frères Cheletta et Sayah Chemseddine entre autre. La liste est très longue. J'ai connu tous les commerçants du quartier évidemment (du marchand de meubles jusqu'à la couturière et Boumaâza (la royale: qui appartenait à mon beau père, Allah yarhmou).
Sid-Ali si tu connais quelques personnes parmi celles que je viens de citer, tu dois certainement me reconnaitre.
Pour ce qui est du lyçée j'étais camarade de classe de Tayeb Lazar en 2°S1 en 70/71. En Seconde S2, il y'avait le fils à Foufa et en Seconde S3 Akli Nasser, si ma mémoire est encore fraîche.
Voila, mon chèr Sid-Ali quelques indications concernant mon vécu à la rue Saâdi.
Reçoit mes sincères salutations.
Djamel
----- Message d'origine -----
Bonjour à tous.
Je connais presque tout le monde à la rue Saadi, mais je ne me rappelle pas d'un Djamel, de quelles années tu veux parler ?
----- Message d'origine -----
Salem ghrib
merci pour la précision. Je vois maintenant qui est ce Yakhlef. Je le connais depuis longtemps. Je l'ai toujours vu avec un petit couffin dans une main et l'autre main dans la poche. Je crois qu'il est hémyplégique. C'est quelqu'un de très jovial et d'extrêmement sympa. Il me semble qu'il a habitait quelques temps la cité Cherry avant de trouver un appart à la cité Wrida.
Si. ça me revient il était voisin des familles Bezekka, Yousfi et Righi.
Pas de problème pour mon e-mail. Il est affiché.
Maâ essalama.
----- Message d'origine -----
Sêlêm kêch E-MAIL khoya djamal?fewethouli autrement je te passerai le mien!yekhlef etait le portier à l'ecole tirman.
A bientôt.
----- Message d'origine -----
Salut Ghrib
Tu parles de Yakhlef el Kaâwane que tu as souvent rencontré à la cité Wrida. Si ça se trouve je dois le connaitre puisque j'ai habité cette cité durant plusieurs décennies. Mais je ne vois pas qui est ce monsieur. Ghrib, on a le même âge, on a le même vécu, les mêmes souvenirs, mais je n'arrive pas à mettre un visage sur ton nom. C'est frustrant! Je sais qu'on a été au lyçée à la même époque. On a eu peut être les mêmes profs (Cheikh el Chorfi Allah yarhmou, Mr Mottet etc...)
C'est pareil pour Sid Ali et Mou, que je dois connaitre aussi, mais dont j'ai du mal à identifier. Je suis natif de Douiret comme vous mais on est descendu à la cité Musulmane en 56 puis à la cité Wrida de 58 à 1997 et enfin à coté du stade Tchaker, ou réside ma famille aujourd'hui. Moi je suis plus connu à la rue Saâdi Bazar-Esserdouk et à Montpensier qu'à Douiret que j'ai quitté très jeune. Beaucoup de famille de Douiret ont habités avec nous à la cité Wrida dans les années 60 et 70 puis sont reparties ailleurs. Merci de m'éclairer Ghrib.
Quelqu'un se demandait ce qu'est devenu "Courkda"? Et bien Allah yarhmou houwa walmoumnine. Il est décédé en 2001. C'était mon oncle maternel. C'était un fils de Douiret ou il est né en 35. Il vivait chez nous jusqu'à sa mort.
Au plaisir de vous lire
Salutations toute Blidéenne de la région Parisienne.
Djamel
----- Message d'origine -----
Un certain moment debut des années 60 à l'ecole tirman,l'ecole avec le plus grand nombre d'abstention y compris l'ecole buisoniere volontaire perpetrée surtout en été,pris une tournure considerable,tres drôle mais juste apres que l'on ai decidé de distribuer du lait chaud le matin.
Ou etais-ce juste apres la recreation?cela se passait juste devant bureau de monsieur tangui,dans le même coin se deroulait la remise de certificat de bonne conduite en fin d'année.
aussi quand les cours n'etaient pas tres amusant,les permissions de:<<Madame ou monsieur est-ce-que je peux aller au cabinet?
j'imagine que la plupart se rappellent de aami yekhlef el kaawane,
le portier,plus tard je le rencontrait assez souvent à la cité wrida,je me demande s'il est encore en vie.
les films la belle et la bête,et sans famille on les a devoré des yeux mais dans une cave?non?ou etais-ce une classe amenagée à cet effet,les scénes sont encore vives mais pas l'emplaçement.
winw raki ya mme blanche!ou wine rahoum el bayate taa el berkouke zouj doro lel bye.
ces revendeuses de divers petits tas de fruit tels que les abricots,les nefles,et les prunes,fi bab errahba s'installaient aussi bien devant les dellalates dont les bras etaient couverts d'or les paumes des mains servaient en guise d'etalage,pour dire que ken kêyene lêmêne,ce qu'on aurait aussi bien pût nommer ''BAB ERAHMA''
salutations d'enfance blidéene!
|
|
|
Djamel
France |
Posté le:
13/5/2007 10:27 | Sujet du message:
RE: la fin de l'ecole buisoniere | |
Email:
dymestas@hotmail.fr | |
|
Salut Sid-Ali
j'ai fréquenté la rue Saâdi à l'époque ou je travaillais à l'IHB (l'école d'hydrotechnique et de bonification) situé à la place de la caserne Blandan. L'entrée de l'institut se trouvait juste en face de la rue Saâdi. J'y ai ravaillais de 1973 à 1980 avant d'intégrer en 1980 (le lendemain du tremblement de terre)la CASORAL à Zenket-Ennouar (à la clinique Allouche).
En 74/75 lorsque je quittais mon travail je retrouvai souvent un ami Rabah qui travaillait chez Mourad Bengherbia le bijoutier. C'est ainsi que j'ai fini par connaitre et sympatiser avec quasiment tous les habitants de la rue Saâdi.
Au milieu des années 80 je me suis marié dans le quartier ou ma belle famille a encore la maison au n°1.
Mes amis les plus proches du quartier furent Ahcene Saâdi (Allah yarhmou), Nasreddine Tchoutchane, Badrani Ahmed, Mourad, Hellali, L'houari, les frères Cheletta et Sayah Chemseddine entre autre. La liste est très longue. J'ai connu tous les commerçants du quartier évidemment (du marchand de meubles jusqu'à la couturière et Boumaâza (la royale: qui appartenait à mon beau père, Allah yarhmou).
Sid-Ali si tu connais quelques personnes parmi celles que je viens de citer, tu dois certainement me reconnaitre.
Pour ce qui est du lyçée j'étais camarade de classe de Tayeb Lazar en 2°S1 en 70/71. En Seconde S2, il y'avait le fils à Foufa et en Seconde S3 Akli Nasser, si ma mémoire est encore fraîche.
Voila, mon chèr Sid-Ali quelques indications concernant mon vécu à la rue Saâdi.
Reçoit mes sincères salutations.
Djamel
----- Message d'origine -----
Bonjour à tous.
Je connais presque tout le monde à la rue Saadi, mais je ne me rappelle pas d'un Djamel, de quelles années tu veux parler ?
----- Message d'origine -----
Salem ghrib
merci pour la précision. Je vois maintenant qui est ce Yakhlef. Je le connais depuis longtemps. Je l'ai toujours vu avec un petit couffin dans une main et l'autre main dans la poche. Je crois qu'il est hémyplégique. C'est quelqu'un de très jovial et d'extrêmement sympa. Il me semble qu'il a habitait quelques temps la cité Cherry avant de trouver un appart à la cité Wrida.
Si. ça me revient il était voisin des familles Bezekka, Yousfi et Righi.
Pas de problème pour mon e-mail. Il est affiché.
Maâ essalama.
----- Message d'origine -----
Sêlêm kêch E-MAIL khoya djamal?fewethouli autrement je te passerai le mien!yekhlef etait le portier à l'ecole tirman.
A bientôt.
----- Message d'origine -----
Salut Ghrib
Tu parles de Yakhlef el Kaâwane que tu as souvent rencontré à la cité Wrida. Si ça se trouve je dois le connaitre puisque j'ai habité cette cité durant plusieurs décennies. Mais je ne vois pas qui est ce monsieur. Ghrib, on a le même âge, on a le même vécu, les mêmes souvenirs, mais je n'arrive pas à mettre un visage sur ton nom. C'est frustrant! Je sais qu'on a été au lyçée à la même époque. On a eu peut être les mêmes profs (Cheikh el Chorfi Allah yarhmou, Mr Mottet etc...)
C'est pareil pour Sid Ali et Mou, que je dois connaitre aussi, mais dont j'ai du mal à identifier. Je suis natif de Douiret comme vous mais on est descendu à la cité Musulmane en 56 puis à la cité Wrida de 58 à 1997 et enfin à coté du stade Tchaker, ou réside ma famille aujourd'hui. Moi je suis plus connu à la rue Saâdi Bazar-Esserdouk et à Montpensier qu'à Douiret que j'ai quitté très jeune. Beaucoup de famille de Douiret ont habités avec nous à la cité Wrida dans les années 60 et 70 puis sont reparties ailleurs. Merci de m'éclairer Ghrib.
Quelqu'un se demandait ce qu'est devenu "Courkda"? Et bien Allah yarhmou houwa walmoumnine. Il est décédé en 2001. C'était mon oncle maternel. C'était un fils de Douiret ou il est né en 35. Il vivait chez nous jusqu'à sa mort.
Au plaisir de vous lire
Salutations toute Blidéenne de la région Parisienne.
Djamel
----- Message d'origine -----
Un certain moment debut des années 60 à l'ecole tirman,l'ecole avec le plus grand nombre d'abstention y compris l'ecole buisoniere volontaire perpetrée surtout en été,pris une tournure considerable,tres drôle mais juste apres que l'on ai decidé de distribuer du lait chaud le matin.
Ou etais-ce juste apres la recreation?cela se passait juste devant bureau de monsieur tangui,dans le même coin se deroulait la remise de certificat de bonne conduite en fin d'année.
aussi quand les cours n'etaient pas tres amusant,les permissions de:<<Madame ou monsieur est-ce-que je peux aller au cabinet?
j'imagine que la plupart se rappellent de aami yekhlef el kaawane,
le portier,plus tard je le rencontrait assez souvent à la cité wrida,je me demande s'il est encore en vie.
les films la belle et la bête,et sans famille on les a devoré des yeux mais dans une cave?non?ou etais-ce une classe amenagée à cet effet,les scénes sont encore vives mais pas l'emplaçement.
winw raki ya mme blanche!ou wine rahoum el bayate taa el berkouke zouj doro lel bye.
ces revendeuses de divers petits tas de fruit tels que les abricots,les nefles,et les prunes,fi bab errahba s'installaient aussi bien devant les dellalates dont les bras etaient couverts d'or les paumes des mains servaient en guise d'etalage,pour dire que ken kêyene lêmêne,ce qu'on aurait aussi bien pût nommer ''BAB ERAHMA''
salutations d'enfance blidéene!
|
|
|
Sid-Ali
Canada |
Posté le:
13/5/2007 05:24 | Sujet du message:
RE: la fin de l'ecole buisoniere | |
| |
|
Bonjour à tous.
Je connais presque tout le monde à la rue Saadi, mais je ne me rappelle pas d'un Djamel, de quelles années tu veux parler ?
----- Message d'origine -----
Salem ghrib
merci pour la précision. Je vois maintenant qui est ce Yakhlef. Je le connais depuis longtemps. Je l'ai toujours vu avec un petit couffin dans une main et l'autre main dans la poche. Je crois qu'il est hémyplégique. C'est quelqu'un de très jovial et d'extrêmement sympa. Il me semble qu'il a habitait quelques temps la cité Cherry avant de trouver un appart à la cité Wrida.
Si. ça me revient il était voisin des familles Bezekka, Yousfi et Righi.
Pas de problème pour mon e-mail. Il est affiché.
Maâ essalama.
----- Message d'origine -----
Sêlêm kêch E-MAIL khoya djamal?fewethouli autrement je te passerai le mien!yekhlef etait le portier à l'ecole tirman.
A bientôt.
----- Message d'origine -----
Salut Ghrib
Tu parles de Yakhlef el Kaâwane que tu as souvent rencontré à la cité Wrida. Si ça se trouve je dois le connaitre puisque j'ai habité cette cité durant plusieurs décennies. Mais je ne vois pas qui est ce monsieur. Ghrib, on a le même âge, on a le même vécu, les mêmes souvenirs, mais je n'arrive pas à mettre un visage sur ton nom. C'est frustrant! Je sais qu'on a été au lyçée à la même époque. On a eu peut être les mêmes profs (Cheikh el Chorfi Allah yarhmou, Mr Mottet etc...)
C'est pareil pour Sid Ali et Mou, que je dois connaitre aussi, mais dont j'ai du mal à identifier. Je suis natif de Douiret comme vous mais on est descendu à la cité Musulmane en 56 puis à la cité Wrida de 58 à 1997 et enfin à coté du stade Tchaker, ou réside ma famille aujourd'hui. Moi je suis plus connu à la rue Saâdi Bazar-Esserdouk et à Montpensier qu'à Douiret que j'ai quitté très jeune. Beaucoup de famille de Douiret ont habités avec nous à la cité Wrida dans les années 60 et 70 puis sont reparties ailleurs. Merci de m'éclairer Ghrib.
Quelqu'un se demandait ce qu'est devenu "Courkda"? Et bien Allah yarhmou houwa walmoumnine. Il est décédé en 2001. C'était mon oncle maternel. C'était un fils de Douiret ou il est né en 35. Il vivait chez nous jusqu'à sa mort.
Au plaisir de vous lire
Salutations toute Blidéenne de la région Parisienne.
Djamel
----- Message d'origine -----
Un certain moment debut des années 60 à l'ecole tirman,l'ecole avec le plus grand nombre d'abstention y compris l'ecole buisoniere volontaire perpetrée surtout en été,pris une tournure considerable,tres drôle mais juste apres que l'on ai decidé de distribuer du lait chaud le matin.
Ou etais-ce juste apres la recreation?cela se passait juste devant bureau de monsieur tangui,dans le même coin se deroulait la remise de certificat de bonne conduite en fin d'année.
aussi quand les cours n'etaient pas tres amusant,les permissions de:<<Madame ou monsieur est-ce-que je peux aller au cabinet?
j'imagine que la plupart se rappellent de aami yekhlef el kaawane,
le portier,plus tard je le rencontrait assez souvent à la cité wrida,je me demande s'il est encore en vie.
les films la belle et la bête,et sans famille on les a devoré des yeux mais dans une cave?non?ou etais-ce une classe amenagée à cet effet,les scénes sont encore vives mais pas l'emplaçement.
winw raki ya mme blanche!ou wine rahoum el bayate taa el berkouke zouj doro lel bye.
ces revendeuses de divers petits tas de fruit tels que les abricots,les nefles,et les prunes,fi bab errahba s'installaient aussi bien devant les dellalates dont les bras etaient couverts d'or les paumes des mains servaient en guise d'etalage,pour dire que ken kêyene lêmêne,ce qu'on aurait aussi bien pût nommer ''BAB ERAHMA''
salutations d'enfance blidéene!
|
|
|
Djamel
France |
Posté le:
12/5/2007 22:07 | Sujet du message:
RE: la fin de l'ecole buisoniere | |
Email:
dymestas@hotmail.fr | |
|
Salem ghrib
merci pour la précision. Je vois maintenant qui est ce Yakhlef. Je le connais depuis longtemps. Je l'ai toujours vu avec un petit couffin dans une main et l'autre main dans la poche. Je crois qu'il est hémyplégique. C'est quelqu'un de très jovial et d'extrêmement sympa. Il me semble qu'il a habitait quelques temps la cité Cherry avant de trouver un appart à la cité Wrida.
Si. ça me revient il était voisin des familles Bezekka, Yousfi et Righi.
Pas de problème pour mon e-mail. Il est affiché.
Maâ essalama.
----- Message d'origine -----
Sêlêm kêch E-MAIL khoya djamal?fewethouli autrement je te passerai le mien!yekhlef etait le portier à l'ecole tirman.
A bientôt.
----- Message d'origine -----
Salut Ghrib
Tu parles de Yakhlef el Kaâwane que tu as souvent rencontré à la cité Wrida. Si ça se trouve je dois le connaitre puisque j'ai habité cette cité durant plusieurs décennies. Mais je ne vois pas qui est ce monsieur. Ghrib, on a le même âge, on a le même vécu, les mêmes souvenirs, mais je n'arrive pas à mettre un visage sur ton nom. C'est frustrant! Je sais qu'on a été au lyçée à la même époque. On a eu peut être les mêmes profs (Cheikh el Chorfi Allah yarhmou, Mr Mottet etc...)
C'est pareil pour Sid Ali et Mou, que je dois connaitre aussi, mais dont j'ai du mal à identifier. Je suis natif de Douiret comme vous mais on est descendu à la cité Musulmane en 56 puis à la cité Wrida de 58 à 1997 et enfin à coté du stade Tchaker, ou réside ma famille aujourd'hui. Moi je suis plus connu à la rue Saâdi Bazar-Esserdouk et à Montpensier qu'à Douiret que j'ai quitté très jeune. Beaucoup de famille de Douiret ont habités avec nous à la cité Wrida dans les années 60 et 70 puis sont reparties ailleurs. Merci de m'éclairer Ghrib.
Quelqu'un se demandait ce qu'est devenu "Courkda"? Et bien Allah yarhmou houwa walmoumnine. Il est décédé en 2001. C'était mon oncle maternel. C'était un fils de Douiret ou il est né en 35. Il vivait chez nous jusqu'à sa mort.
Au plaisir de vous lire
Salutations toute Blidéenne de la région Parisienne.
Djamel
----- Message d'origine -----
Un certain moment debut des années 60 à l'ecole tirman,l'ecole avec le plus grand nombre d'abstention y compris l'ecole buisoniere volontaire perpetrée surtout en été,pris une tournure considerable,tres drôle mais juste apres que l'on ai decidé de distribuer du lait chaud le matin.
Ou etais-ce juste apres la recreation?cela se passait juste devant bureau de monsieur tangui,dans le même coin se deroulait la remise de certificat de bonne conduite en fin d'année.
aussi quand les cours n'etaient pas tres amusant,les permissions de:<<Madame ou monsieur est-ce-que je peux aller au cabinet?
j'imagine que la plupart se rappellent de aami yekhlef el kaawane,
le portier,plus tard je le rencontrait assez souvent à la cité wrida,je me demande s'il est encore en vie.
les films la belle et la bête,et sans famille on les a devoré des yeux mais dans une cave?non?ou etais-ce une classe amenagée à cet effet,les scénes sont encore vives mais pas l'emplaçement.
winw raki ya mme blanche!ou wine rahoum el bayate taa el berkouke zouj doro lel bye.
ces revendeuses de divers petits tas de fruit tels que les abricots,les nefles,et les prunes,fi bab errahba s'installaient aussi bien devant les dellalates dont les bras etaient couverts d'or les paumes des mains servaient en guise d'etalage,pour dire que ken kêyene lêmêne,ce qu'on aurait aussi bien pût nommer ''BAB ERAHMA''
salutations d'enfance blidéene!
|
|
|
ghrib
France |
Posté le:
12/5/2007 18:34 | Sujet du message:
RE: la fin de l'ecole buisoniere | |
| |
|
Sêlêm kêch E-MAIL khoya djamal?fewethouli autrement je te passerai le mien!yekhlef etait le portier à l'ecole tirman.
A bientôt.
----- Message d'origine -----
Salut Ghrib
Tu parles de Yakhlef el Kaâwane que tu as souvent rencontré à la cité Wrida. Si ça se trouve je dois le connaitre puisque j'ai habité cette cité durant plusieurs décennies. Mais je ne vois pas qui est ce monsieur. Ghrib, on a le même âge, on a le même vécu, les mêmes souvenirs, mais je n'arrive pas à mettre un visage sur ton nom. C'est frustrant! Je sais qu'on a été au lyçée à la même époque. On a eu peut être les mêmes profs (Cheikh el Chorfi Allah yarhmou, Mr Mottet etc...)
C'est pareil pour Sid Ali et Mou, que je dois connaitre aussi, mais dont j'ai du mal à identifier. Je suis natif de Douiret comme vous mais on est descendu à la cité Musulmane en 56 puis à la cité Wrida de 58 à 1997 et enfin à coté du stade Tchaker, ou réside ma famille aujourd'hui. Moi je suis plus connu à la rue Saâdi Bazar-Esserdouk et à Montpensier qu'à Douiret que j'ai quitté très jeune. Beaucoup de famille de Douiret ont habités avec nous à la cité Wrida dans les années 60 et 70 puis sont reparties ailleurs. Merci de m'éclairer Ghrib.
Quelqu'un se demandait ce qu'est devenu "Courkda"? Et bien Allah yarhmou houwa walmoumnine. Il est décédé en 2001. C'était mon oncle maternel. C'était un fils de Douiret ou il est né en 35. Il vivait chez nous jusqu'à sa mort.
Au plaisir de vous lire
Salutations toute Blidéenne de la région Parisienne.
Djamel
----- Message d'origine -----
Un certain moment debut des années 60 à l'ecole tirman,l'ecole avec le plus grand nombre d'abstention y compris l'ecole buisoniere volontaire perpetrée surtout en été,pris une tournure considerable,tres drôle mais juste apres que l'on ai decidé de distribuer du lait chaud le matin.
Ou etais-ce juste apres la recreation?cela se passait juste devant bureau de monsieur tangui,dans le même coin se deroulait la remise de certificat de bonne conduite en fin d'année.
aussi quand les cours n'etaient pas tres amusant,les permissions de:<<Madame ou monsieur est-ce-que je peux aller au cabinet?
j'imagine que la plupart se rappellent de aami yekhlef el kaawane,
le portier,plus tard je le rencontrait assez souvent à la cité wrida,je me demande s'il est encore en vie.
les films la belle et la bête,et sans famille on les a devoré des yeux mais dans une cave?non?ou etais-ce une classe amenagée à cet effet,les scénes sont encore vives mais pas l'emplaçement.
winw raki ya mme blanche!ou wine rahoum el bayate taa el berkouke zouj doro lel bye.
ces revendeuses de divers petits tas de fruit tels que les abricots,les nefles,et les prunes,fi bab errahba s'installaient aussi bien devant les dellalates dont les bras etaient couverts d'or les paumes des mains servaient en guise d'etalage,pour dire que ken kêyene lêmêne,ce qu'on aurait aussi bien pût nommer ''BAB ERAHMA''
salutations d'enfance blidéene!
|
|
|
Djamel
France |
Posté le:
12/5/2007 11:23 | Sujet du message:
RE: la fin de l'ecole buisoniere | |
| |
|
Salut Ghrib
Tu parles de Yakhlef el Kaâwane que tu as souvent rencontré à la cité Wrida. Si ça se trouve je dois le connaitre puisque j'ai habité cette cité durant plusieurs décennies. Mais je ne vois pas qui est ce monsieur. Ghrib, on a le même âge, on a le même vécu, les mêmes souvenirs, mais je n'arrive pas à mettre un visage sur ton nom. C'est frustrant! Je sais qu'on a été au lyçée à la même époque. On a eu peut être les mêmes profs (Cheikh el Chorfi Allah yarhmou, Mr Mottet etc...)
C'est pareil pour Sid Ali et Mou, que je dois connaitre aussi, mais dont j'ai du mal à identifier. Je suis natif de Douiret comme vous mais on est descendu à la cité Musulmane en 56 puis à la cité Wrida de 58 à 1997 et enfin à coté du stade Tchaker, ou réside ma famille aujourd'hui. Moi je suis plus connu à la rue Saâdi Bazar-Esserdouk et à Montpensier qu'à Douiret que j'ai quitté très jeune. Beaucoup de famille de Douiret ont habités avec nous à la cité Wrida dans les années 60 et 70 puis sont reparties ailleurs. Merci de m'éclairer Ghrib.
Quelqu'un se demandait ce qu'est devenu "Courkda"? Et bien Allah yarhmou houwa walmoumnine. Il est décédé en 2001. C'était mon oncle maternel. C'était un fils de Douiret ou il est né en 35. Il vivait chez nous jusqu'à sa mort.
Au plaisir de vous lire
Salutations toute Blidéenne de la région Parisienne.
Djamel
----- Message d'origine -----
Un certain moment debut des années 60 à l'ecole tirman,l'ecole avec le plus grand nombre d'abstention y compris l'ecole buisoniere volontaire perpetrée surtout en été,pris une tournure considerable,tres drôle mais juste apres que l'on ai decidé de distribuer du lait chaud le matin.
Ou etais-ce juste apres la recreation?cela se passait juste devant bureau de monsieur tangui,dans le même coin se deroulait la remise de certificat de bonne conduite en fin d'année.
aussi quand les cours n'etaient pas tres amusant,les permissions de:<<Madame ou monsieur est-ce-que je peux aller au cabinet?
j'imagine que la plupart se rappellent de aami yekhlef el kaawane,
le portier,plus tard je le rencontrait assez souvent à la cité wrida,je me demande s'il est encore en vie.
les films la belle et la bête,et sans famille on les a devoré des yeux mais dans une cave?non?ou etais-ce une classe amenagée à cet effet,les scénes sont encore vives mais pas l'emplaçement.
winw raki ya mme blanche!ou wine rahoum el bayate taa el berkouke zouj doro lel bye.
ces revendeuses de divers petits tas de fruit tels que les abricots,les nefles,et les prunes,fi bab errahba s'installaient aussi bien devant les dellalates dont les bras etaient couverts d'or les paumes des mains servaient en guise d'etalage,pour dire que ken kêyene lêmêne,ce qu'on aurait aussi bien pût nommer ''BAB ERAHMA''
salutations d'enfance blidéene!
 |
|
|
ghrib
France |
Posté le:
12/5/2007 00:46 | Sujet du message:
la fin de l'ecole buisoniere | |
| |
|
Un certain moment debut des années 60 à l'ecole tirman,l'ecole avec le plus grand nombre d'abstention y compris l'ecole buisoniere volontaire perpetrée surtout en été,pris une tournure considerable,tres drôle mais juste apres que l'on ai decidé de distribuer du lait chaud le matin.
Ou etais-ce juste apres la recreation?cela se passait juste devant bureau de monsieur tangui,dans le même coin se deroulait la remise de certificat de bonne conduite en fin d'année.
aussi quand les cours n'etaient pas tres amusant,les permissions de:<<Madame ou monsieur est-ce-que je peux aller au cabinet?
j'imagine que la plupart se rappellent de aami yekhlef el kaawane,
le portier,plus tard je le rencontrait assez souvent à la cité wrida,je me demande s'il est encore en vie.
les films la belle et la bête,et sans famille on les a devoré des yeux mais dans une cave?non?ou etais-ce une classe amenagée à cet effet,les scénes sont encore vives mais pas l'emplaçement.
winw raki ya mme blanche!ou wine rahoum el bayate taa el berkouke zouj doro lel bye.
ces revendeuses de divers petits tas de fruit tels que les abricots,les nefles,et les prunes,fi bab errahba s'installaient aussi bien devant les dellalates dont les bras etaient couverts d'or les paumes des mains servaient en guise d'etalage,pour dire que ken kêyene lêmêne,ce qu'on aurait aussi bien pût nommer ''BAB ERAHMA''
salutations d'enfance blidéene!
|
|
|
M'inscrire 
Me connecter 
Mot de passe oublié 
Retour au forum
