Blida

Forum créé le 13/9/2002 05:57 et administré par Djamila Taleb

Obtenez 1000 visiteurs rapidement !
Obtenez 1000 visiteurs rapidement !
Outils webmasters Compteur Chat Forum Sondage Découverte Référeur


M'inscrire M'inscrire Me connecter Me connecter Mot de passe oublié Mot de passe oublié Retour au forum Retour au forum



  Pages: 1
Poster un nouveau message Répondre au message
Auteur Message
   Trier par date décroissante
BARHOUCHA
Danemark
Posté le:
13/5/2007 19:31
Sujet du message:
Merci A.MEKFOULDJI POUR LARTICLE DU JOUR
Répondre            
Site Internet:
hhttp://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=67869
Les rues de Blida suffoquent
Circulation interdite et quartiers malfamés
Un médecin a été sauvé de justesse d’une crise cardiaque à la rue du Bey, aujourd’hui rue Amirouche, pour cause de marché informel à la rue des Martyrs, plus connue sous le nom de la rue d’Alger.

Il avait fallu, mardi dernier, plus d’une demi-heure pour que l’ambulance des sapeurs-pompiers « perce » le rideau de commerces accaparant trottoirs et rue sur 200 m, sans parler du reste de la rue aboutissant à la place du 1er Novembre. Les autorités de la wilaya avaient bien donné l’ordre de réglementer ce commerce envahissant fait d’étalages à même le sol et forçant ainsi le voisinage à accepter à longueur de saison la vente à la criée. La rue faisant partie de l’architecture ancienne avait ses codes, ses règles de conduite, ses pratiques et ses habitudes ; les commerces d’antan étaient tenus par des personnes qui avaient le souci du respect du voisinage, de la clientèle, des espaces même dans le sens de la protection de l’environnement et des règles d’hygiène. L’ouverture de l’économie mondiale et les années de la tragédie nationale avec l’afflux des populations du piémont, des communes et des wilayas limitrophes jusqu’à Tissemsilt ont déréglé les mécanismes. « Nous n’arrivons plus à nous retrouver avec ces crachats, ces ordures partout », dira un commerçant marchand de chaussures. Un autre évoquera le commerce de psychotropes à ciel ouvert, les agressions en groupe face à l’impuissance de tous. « Il n’y a pas de honte à organiser des rondes quotidiennes et permanentes de la police afin d’annihiler toute tentative malveillante », dira un cafetier du coin. « Où sont les senteurs d’antan ? Où se trouvent les marchands de thé ambulants ? Que font les directions de la culture et du tourisme pour mettre en évidence ces rues authentiques ? » L’histoire jugera ces destructions successives de l’âme de la ville ! Des fonctionnaires et des enseignants attablés, non loin du remue-ménage ont évoqué la responsabilité de l’Etat qui continue à percevoir des impôts pour « tout ce qui bouge dans ces rues, exception faite des parasites qui dérangent la quiétude de l’endroit », avouera un quinquagénaire déprimé. « Même les légumes ont fait leur apparition dans cette rue ! », lancera, en maugréant, un autre. Il faut dire que la rue d’Alger se caractérisait jusqu’à une date récente par des commerces spécifiques aux fêtes et aux célébrations d’envergure. La ville s’est ruralisée, expression à la mode à Blida où les règles de la vie citadine ne sont plus respectées. Le mode de vie rural a pris de l’ampleur dans les cités et les quartiers et dans la vieille ville où nombre de familles incertaines, majoritairement sans chef de famille mâle, dans des maisons quasiment clandestines permettent une prostitution, non contrôlée et donc sources de maladies qui seront à la charge de l’Etat. Celui-ci ne prend aucune mesure préventive et toute la population native de la région ou d’adoption, tous les jeunes du service national et tous ceux à la recherche de sensations fortes connaissent les quartiers malfamés de la ville, ceux que l’Etat semble avoir abandonnés. Railleries, moqueries, drague sauvage, agressions, commerce de psychotropes et de drogue... « Tout y est et à toutes les sauces sans que les autorités interviennent », dira un jeune officier voulant garder l’anonymat qui a montré que l’Etat est faible mais possédant cependant sa force d’intervention quand il le veut : « Vous avez remarqué que l’entrée du côté de Bab Dzaïer a été dégagée mais au détriment des ruelles adjacentes. » Pis, à l’approche des élections législatives, les espaces se trouvant près de la salle Benomar ont été dégagés afin de permettre, bien à l’avance la quiétude de l’endroit pour les officiels le 17 mai.

A. Mekfouldji

http://www.flickr.com/photos/mekfouldji/493702788/
 

ghrib
France
Posté le:
14/5/2007 02:03
Sujet du message:
RE: Merci A.MEKFOULDJI POUR LARTICLE DU JOUR
Répondre            
 
A mon avis les problemes à blida y sont il y'a belle lurette,ce qui me revoltait dejà à l'epoque exemplaire,sont toutes ces casernes ces garnison la base,etc...il n'y avait pas une entrée de blida qui en a echapé l'entrée par la chiffa à droite et à gauche des casernes,tribunaux militaires,l'entrée par oued el eulayeg la base,d'où deferlaient tous ces engagés vers la ville et avait quartier libres d'agir à leur guise,qui pouvait oser critiquer un militaire?en ce qui concerne l'entrée par boufarik c'est la base,donc l'est l'ouest et le nord,s'il avait pût il aurait deplacer les monts de chréa pour implanter une base militaire,pour ainsi dire encercler blida de tout côté...sans ne citer même le jardin bizot(patrice lumunba)que je voulais visiter il y'a 2 ans,mais le vendeur de casse-croute devant m'expliquait que c'etait interdit,dire qu'il s'agit d'un jardin publique.
c'est un miracle qu'il aient quitter la plus importante artere de blida le boulevard qu'il ont occupé des decenies,dans aucun pays à ma connaissance l'armée n'occupe la moitié d'une ville même en temps de guerre.
tous ces espaces de trigue cheffa,et oued el elaeugue,et boufarik aurait en un seul coup resolu le probleme de l'habitat,et oh combien d'espaces verts ne se seraient realisés,et du coup s'abstenir de toucher au centre ville ou des blocs comme celui de bab edzaier(encore une fois realiser pour la gendarmere)qui a jamais empêche la vue de la montagne,
je me rapelle ces moments de quietude,mais les scenes de la p.m qui ne respecte ni jeune ni vieux..donc blida fût toujour le theatre de sabotage directe ou indirecte,et surtout de manque de considération de la part des autorités,les militaires,aussi bien engagés qu'appeles n'ont pût venir à bout de la fiérté de ces habitants,alors autre strategie,et tout les moyens sont bons,alors autant envahir blida avec les vas-nus- pieds,l'informel,et bien d'autres mefaits qu'on ne peut citer sur le forum.
en 1967(en 5em)quand on nous a foutu à laporte sans raison valable
j'avais compris qu'il n'y avait point de place pour nous!
alors depuis lors(67)je ne me suis retrouver que tres rarement à blida,d'où j'ai habité à alger chez ma soeur,2 ans plus tard n'ayant quand même pût supporter le manque,pris le couage dans deux mains et j'ai essayé de reprendre mon destin en main,j'avais crut aussi naif que cela ne paraisse retourner aux source,deux ans d'etudes de comptabilité furent promptement mis à terme a cause du service militaire,et dont les autorités refusait la reconnaissance d'une ecole privée.
pour dire qu'on avait pas de veine le service militaire tant bien que mal accompli,l'idée de chercher un autre horizon ne cessait de hanter les esprits,apres un an de service à la sns(siderugie)1a alger à la direction generale,le titre de congé et,la fiche de paye(requis pour la demande de visa)en main un certificat de maladie(qui m'avait coûter la moitié de mes economies)furent la base d'une constitution de dossier pour la demande de passeport(aussi avec bakchich)et depuis lors on ne cesse de pleurer le manque,et surtout la privation de tant d'années de ceux qui nous ont vu naître à savoir l'oum,l'ebe,l'ikhwa we l'akhawat..
un ami qui fût exclus(du lycé bne rouchd à la même periode 67) et qui vit en france depuis tres longtemps,m'affirme ne jamais leur pardonner la fe dounia wa la fe l'akhira.
lui et moi avion un encouragement et un tableau d'honneur durant la même année..je me rapelle que madame lepair n'y comprenait rien
motif le prof d'arabe wehd elmssender(berim qu'il s'appelait)disait que nos faces ne lui revenait pas,arabisation exige et nous etions trop faible en la matiere,foufa(le proviseur)ne pût qu'accepter son rapport(de berim)de fin d'annees,en fait il etait question de transfert mais pas d'exclusion(pour bien masquer)la combine...mais où aller?eske nos proches etaient des capitalistes pour financer une pension complete à medéa ou boufarik?les seuls lycées où il y'avait encore de la place.
quoiqu'il en soit on s'en ai tiré a bon compte grâce dieu!
mais nvoti?jamiiiiiiiiiiii!!!!SmileSmileSmile qui sait un jour les roses de blida ecloreront de nouveau!un proverbe dit ezmane machi khyele itebaa. Message d'origine -----
Les rues de Blida suffoquent
Circulation interdite et quartiers malfamés
Un médecin a été sauvé de justesse d’une crise cardiaque à la rue du Bey, aujourd’hui rue Amirouche, pour cause de marché informel à la rue des Martyrs, plus connue sous le nom de la rue d’Alger.

Il avait fallu, mardi dernier, plus d’une demi-heure pour que l’ambulance des sapeurs-pompiers « perce » le rideau de commerces accaparant trottoirs et rue sur 200 m, sans parler du reste de la rue aboutissant à la place du 1er Novembre. Les autorités de la wilaya avaient bien donné l’ordre de réglementer ce commerce envahissant fait d’étalages à même le sol et forçant ainsi le voisinage à accepter à longueur de saison la vente à la criée. La rue faisant partie de l’architecture ancienne avait ses codes, ses règles de conduite, ses pratiques et ses habitudes ; les commerces d’antan étaient tenus par des personnes qui avaient le souci du respect du voisinage, de la clientèle, des espaces même dans le sens de la protection de l’environnement et des règles d’hygiène. L’ouverture de l’économie mondiale et les années de la tragédie nationale avec l’afflux des populations du piémont, des communes et des wilayas limitrophes jusqu’à Tissemsilt ont déréglé les mécanismes. « Nous n’arrivons plus à nous retrouver avec ces crachats, ces ordures partout », dira un commerçant marchand de chaussures. Un autre évoquera le commerce de psychotropes à ciel ouvert, les agressions en groupe face à l’impuissance de tous. « Il n’y a pas de honte à organiser des rondes quotidiennes et permanentes de la police afin d’annihiler toute tentative malveillante », dira un cafetier du coin. « Où sont les senteurs d’antan ? Où se trouvent les marchands de thé ambulants ? Que font les directions de la culture et du tourisme pour mettre en évidence ces rues authentiques ? » L’histoire jugera ces destructions successives de l’âme de la ville ! Des fonctionnaires et des enseignants attablés, non loin du remue-ménage ont évoqué la responsabilité de l’Etat qui continue à percevoir des impôts pour « tout ce qui bouge dans ces rues, exception faite des parasites qui dérangent la quiétude de l’endroit », avouera un quinquagénaire déprimé. « Même les légumes ont fait leur apparition dans cette rue ! », lancera, en maugréant, un autre. Il faut dire que la rue d’Alger se caractérisait jusqu’à une date récente par des commerces spécifiques aux fêtes et aux célébrations d’envergure. La ville s’est ruralisée, expression à la mode à Blida où les règles de la vie citadine ne sont plus respectées. Le mode de vie rural a pris de l’ampleur dans les cités et les quartiers et dans la vieille ville où nombre de familles incertaines, majoritairement sans chef de famille mâle, dans des maisons quasiment clandestines permettent une prostitution, non contrôlée et donc sources de maladies qui seront à la charge de l’Etat. Celui-ci ne prend aucune mesure préventive et toute la population native de la région ou d’adoption, tous les jeunes du service national et tous ceux à la recherche de sensations fortes connaissent les quartiers malfamés de la ville, ceux que l’Etat semble avoir abandonnés. Railleries, moqueries, drague sauvage, agressions, commerce de psychotropes et de drogue... « Tout y est et à toutes les sauces sans que les autorités interviennent », dira un jeune officier voulant garder l’anonymat qui a montré que l’Etat est faible mais possédant cependant sa force d’intervention quand il le veut : « Vous avez remarqué que l’entrée du côté de Bab Dzaïer a été dégagée mais au détriment des ruelles adjacentes. » Pis, à l’approche des élections législatives, les espaces se trouvant près de la salle Benomar ont été dégagés afin de permettre, bien à l’avance la quiétude de l’endroit pour les officiels le 17 mai.

A. Mekfouldji

http://www.flickr.com/photos/mekfouldji/493702788/

 

algerose
Autriche
Posté le:
14/5/2007 09:47
Sujet du message:
RE: Merci A.MEKFOULDJI POUR LARTICLE DU JOUR
Répondre            
Email:
algerose19@hotmail.com
 



----- Message d'origine -----
A mon avis les problemes à blida y sont il y'a belle lurette,ce qui me revoltait dejà à l'epoque exemplaire,sont toutes ces casernes ces garnison la base,etc...il n'y avait pas une entrée de blida qui en a echapé l'entrée par la chiffa à droite et à gauche des casernes,tribunaux militaires,l'entrée par oued el eulayeg la base,d'où deferlaient tous ces engagés vers la ville et avait quartier libres d'agir à leur guise,qui pouvait oser critiquer un militaire?en ce qui concerne l'entrée par boufarik c'est la base,donc l'est l'ouest et le nord,s'il avait pût il aurait deplacer les monts de chréa pour implanter une base militaire,pour ainsi dire encercler blida de tout côté...sans ne citer même le jardin bizot(patrice lumunba)que je voulais visiter il y'a 2 ans,mais le vendeur de casse-croute devant m'expliquait que c'etait interdit,dire qu'il s'agit d'un jardin publique.
c'est un miracle qu'il aient quitter la plus importante artere de blida le boulevard qu'il ont occupé des decenies,dans aucun pays à ma connaissance l'armée n'occupe la moitié d'une ville même en temps de guerre.
tous ces espaces de trigue cheffa,et oued el elaeugue,et boufarik aurait en un seul coup resolu le probleme de l'habitat,et oh combien d'espaces verts ne se seraient realisés,et du coup s'abstenir de toucher au centre ville ou des blocs comme celui de bab edzaier(encore une fois realiser pour la gendarmere)qui a jamais empêche la vue de la montagne,
je me rapelle ces moments de quietude,mais les scenes de la p.m qui ne respecte ni jeune ni vieux..donc blida fût toujour le theatre de sabotage directe ou indirecte,et surtout de manque de considération de la part des autorités,les militaires,aussi bien engagés qu'appeles n'ont pût venir à bout de la fiérté de ces habitants,alors autre strategie,et tout les moyens sont bons,alors autant envahir blida avec les vas-nus- pieds,l'informel,et bien d'autres mefaits qu'on ne peut citer sur le forum.
en 1967(en 5em)quand on nous a foutu à laporte sans raison valable
j'avais compris qu'il n'y avait point de place pour nous!
alors depuis lors(67)je ne me suis retrouver que tres rarement à blida,d'où j'ai habité à alger chez ma soeur,2 ans plus tard n'ayant quand même pût supporter le manque,pris le couage dans deux mains et j'ai essayé de reprendre mon destin en main,j'avais crut aussi naif que cela ne paraisse retourner aux source,deux ans d'etudes de comptabilité furent promptement mis à terme a cause du service militaire,et dont les autorités refusait la reconnaissance d'une ecole privée.
pour dire qu'on avait pas de veine le service militaire tant bien que mal accompli,l'idée de chercher un autre horizon ne cessait de hanter les esprits,apres un an de service à la sns(siderugie)1a alger à la direction generale,le titre de congé et,la fiche de paye(requis pour la demande de visa)en main un certificat de maladie(qui m'avait coûter la moitié de mes economies)furent la base d'une constitution de dossier pour la demande de passeport(aussi avec bakchich)et depuis lors on ne cesse de pleurer le manque,et surtout la privation de tant d'années de ceux qui nous ont vu naître à savoir l'oum,l'ebe,l'ikhwa we l'akhawat..
un ami qui fût exclus(du lycé bne rouchd à la même periode 67) et qui vit en france depuis tres longtemps,m'affirme ne jamais leur pardonner la fe dounia wa la fe l'akhira.
lui et moi avion un encouragement et un tableau d'honneur durant la même année..je me rapelle que madame lepair n'y comprenait rien
motif le prof d'arabe wehd elmssender(berim qu'il s'appelait)disait que nos faces ne lui revenait pas,arabisation exige et nous etions trop faible en la matiere,foufa(le proviseur)ne pût qu'accepter son rapport(de berim)de fin d'annees,en fait il etait question de transfert mais pas d'exclusion(pour bien masquer)la combine...mais où aller?eske nos proches etaient des capitalistes pour financer une pension complete à medéa ou boufarik?les seuls lycées où il y'avait encore de la place.
quoiqu'il en soit on s'en ai tiré a bon compte grâce dieu!
mais nvoti?jamiiiiiiiiiiii!!!!SmileSmileSmile qui sait un jour les roses de blida ecloreront de nouveau!un proverbe dit ezmane machi khyele itebaa. Message d'origine -----
Les rues de Blida suffoquent
Circulation interdite et quartiers malfamés
Un médecin a été sauvé de justesse d’une crise cardiaque à la rue du Bey, aujourd’hui rue Amirouche, pour cause de marché informel à la rue des Martyrs, plus connue sous le nom de la rue d’Alger.

Il avait fallu, mardi dernier, plus d’une demi-heure pour que l’ambulance des sapeurs-pompiers « perce » le rideau de commerces accaparant trottoirs et rue sur 200 m, sans parler du reste de la rue aboutissant à la place du 1er Novembre. Les autorités de la wilaya avaient bien donné l’ordre de réglementer ce commerce envahissant fait d’étalages à même le sol et forçant ainsi le voisinage à accepter à longueur de saison la vente à la criée. La rue faisant partie de l’architecture ancienne avait ses codes, ses règles de conduite, ses pratiques et ses habitudes ; les commerces d’antan étaient tenus par des personnes qui avaient le souci du respect du voisinage, de la clientèle, des espaces même dans le sens de la protection de l’environnement et des règles d’hygiène. L’ouverture de l’économie mondiale et les années de la tragédie nationale avec l’afflux des populations du piémont, des communes et des wilayas limitrophes jusqu’à Tissemsilt ont déréglé les mécanismes. « Nous n’arrivons plus à nous retrouver avec ces crachats, ces ordures partout », dira un commerçant marchand de chaussures. Un autre évoquera le commerce de psychotropes à ciel ouvert, les agressions en groupe face à l’impuissance de tous. « Il n’y a pas de honte à organiser des rondes quotidiennes et permanentes de la police afin d’annihiler toute tentative malveillante », dira un cafetier du coin. « Où sont les senteurs d’antan ? Où se trouvent les marchands de thé ambulants ? Que font les directions de la culture et du tourisme pour mettre en évidence ces rues authentiques ? » L’histoire jugera ces destructions successives de l’âme de la ville ! Des fonctionnaires et des enseignants attablés, non loin du remue-ménage ont évoqué la responsabilité de l’Etat qui continue à percevoir des impôts pour « tout ce qui bouge dans ces rues, exception faite des parasites qui dérangent la quiétude de l’endroit », avouera un quinquagénaire déprimé. « Même les légumes ont fait leur apparition dans cette rue ! », lancera, en maugréant, un autre. Il faut dire que la rue d’Alger se caractérisait jusqu’à une date récente par des commerces spécifiques aux fêtes et aux célébrations d’envergure. La ville s’est ruralisée, expression à la mode à Blida où les règles de la vie citadine ne sont plus respectées. Le mode de vie rural a pris de l’ampleur dans les cités et les quartiers et dans la vieille ville où nombre de familles incertaines, majoritairement sans chef de famille mâle, dans des maisons quasiment clandestines permettent une prostitution, non contrôlée et donc sources de maladies qui seront à la charge de l’Etat. Celui-ci ne prend aucune mesure préventive et toute la population native de la région ou d’adoption, tous les jeunes du service national et tous ceux à la recherche de sensations fortes connaissent les quartiers malfamés de la ville, ceux que l’Etat semble avoir abandonnés. Railleries, moqueries, drague sauvage, agressions, commerce de psychotropes et de drogue... « Tout y est et à toutes les sauces sans que les autorités interviennent », dira un jeune officier voulant garder l’anonymat qui a montré que l’Etat est faible mais possédant cependant sa force d’intervention quand il le veut : « Vous avez remarqué que l’entrée du côté de Bab Dzaïer a été dégagée mais au détriment des ruelles adjacentes. » Pis, à l’approche des élections législatives, les espaces se trouvant près de la salle Benomar ont été dégagés afin de permettre, bien à l’avance la quiétude de l’endroit pour les officiels le 17 mai.

A. Mekfouldji

http://www.flickr.com/photos/mekfouldji/493702788/


Ahlan ! merci a Mekfouldji pour lárticle sur la situation du centre de la ville de Blida dans le quotidien el watan . je nést rien a dire plus que grib qui nous laisse rien a dire ... merci a tout les enfants qui sont toujours fidel a leurs ville des roses.

Amicallement

Blidia

 

MENACER
Posté le:
14/5/2007 19:11
Sujet du message:
RE: Merci A.MEKFOULDJI POUR LARTICLE DU JOUR
Répondre            
 

Blida a beaucoup changer mes frere, par la force du temps, apres la decenie noire passe, voila un au tre probleme apparu "probleme sociaux" que je les qualifierai comme les fruits ou la recolte de cette periode.et pour en sortie de ces phenomenes ya du travail a faire avec la participation de tout le monde je veux dire tout le monde..........a suivre


----- Message d'origine -----
Les rues de Blida suffoquent
Circulation interdite et quartiers malfamés
Un médecin a été sauvé de justesse d’une crise cardiaque à la rue du Bey, aujourd’hui rue Amirouche, pour cause de marché informel à la rue des Martyrs, plus connue sous le nom de la rue d’Alger.

Il avait fallu, mardi dernier, plus d’une demi-heure pour que l’ambulance des sapeurs-pompiers « perce » le rideau de commerces accaparant trottoirs et rue sur 200 m, sans parler du reste de la rue aboutissant à la place du 1er Novembre. Les autorités de la wilaya avaient bien donné l’ordre de réglementer ce commerce envahissant fait d’étalages à même le sol et forçant ainsi le voisinage à accepter à longueur de saison la vente à la criée. La rue faisant partie de l’architecture ancienne avait ses codes, ses règles de conduite, ses pratiques et ses habitudes ; les commerces d’antan étaient tenus par des personnes qui avaient le souci du respect du voisinage, de la clientèle, des espaces même dans le sens de la protection de l’environnement et des règles d’hygiène. L’ouverture de l’économie mondiale et les années de la tragédie nationale avec l’afflux des populations du piémont, des communes et des wilayas limitrophes jusqu’à Tissemsilt ont déréglé les mécanismes. « Nous n’arrivons plus à nous retrouver avec ces crachats, ces ordures partout », dira un commerçant marchand de chaussures. Un autre évoquera le commerce de psychotropes à ciel ouvert, les agressions en groupe face à l’impuissance de tous. « Il n’y a pas de honte à organiser des rondes quotidiennes et permanentes de la police afin d’annihiler toute tentative malveillante », dira un cafetier du coin. « Où sont les senteurs d’antan ? Où se trouvent les marchands de thé ambulants ? Que font les directions de la culture et du tourisme pour mettre en évidence ces rues authentiques ? » L’histoire jugera ces destructions successives de l’âme de la ville ! Des fonctionnaires et des enseignants attablés, non loin du remue-ménage ont évoqué la responsabilité de l’Etat qui continue à percevoir des impôts pour « tout ce qui bouge dans ces rues, exception faite des parasites qui dérangent la quiétude de l’endroit », avouera un quinquagénaire déprimé. « Même les légumes ont fait leur apparition dans cette rue ! », lancera, en maugréant, un autre. Il faut dire que la rue d’Alger se caractérisait jusqu’à une date récente par des commerces spécifiques aux fêtes et aux célébrations d’envergure. La ville s’est ruralisée, expression à la mode à Blida où les règles de la vie citadine ne sont plus respectées. Le mode de vie rural a pris de l’ampleur dans les cités et les quartiers et dans la vieille ville où nombre de familles incertaines, majoritairement sans chef de famille mâle, dans des maisons quasiment clandestines permettent une prostitution, non contrôlée et donc sources de maladies qui seront à la charge de l’Etat. Celui-ci ne prend aucune mesure préventive et toute la population native de la région ou d’adoption, tous les jeunes du service national et tous ceux à la recherche de sensations fortes connaissent les quartiers malfamés de la ville, ceux que l’Etat semble avoir abandonnés. Railleries, moqueries, drague sauvage, agressions, commerce de psychotropes et de drogue... « Tout y est et à toutes les sauces sans que les autorités interviennent », dira un jeune officier voulant garder l’anonymat qui a montré que l’Etat est faible mais possédant cependant sa force d’intervention quand il le veut : « Vous avez remarqué que l’entrée du côté de Bab Dzaïer a été dégagée mais au détriment des ruelles adjacentes. » Pis, à l’approche des élections législatives, les espaces se trouvant près de la salle Benomar ont été dégagés afin de permettre, bien à l’avance la quiétude de l’endroit pour les officiels le 17 mai.

A. Mekfouldji

http://www.flickr.com/photos/mekfouldji/493702788/

 

BARHOUCHA
Danemark
Posté le:
15/5/2007 19:06
Sujet du message:
RE: Merci A.MEKFOULDJI POUR LARTICLE DU JOUR
Répondre            
 
khouya ghrib il a raison algerose tu nous a rien laissez baraka lahou fika


----- Message d'origine -----
A mon avis les problemes à blida y sont il y'a belle lurette,ce qui me revoltait dejà à l'epoque exemplaire,sont toutes ces casernes ces garnison la base,etc...il n'y avait pas une entrée de blida qui en a echapé l'entrée par la chiffa à droite et à gauche des casernes,tribunaux militaires,l'entrée par oued el eulayeg la base,d'où deferlaient tous ces engagés vers la ville et avait quartier libres d'agir à leur guise,qui pouvait oser critiquer un militaire?en ce qui concerne l'entrée par boufarik c'est la base,donc l'est l'ouest et le nord,s'il avait pût il aurait deplacer les monts de chréa pour implanter une base militaire,pour ainsi dire encercler blida de tout côté...sans ne citer même le jardin bizot(patrice lumunba)que je voulais visiter il y'a 2 ans,mais le vendeur de casse-croute devant m'expliquait que c'etait interdit,dire qu'il s'agit d'un jardin publique.
c'est un miracle qu'il aient quitter la plus importante artere de blida le boulevard qu'il ont occupé des decenies,dans aucun pays à ma connaissance l'armée n'occupe la moitié d'une ville même en temps de guerre.
tous ces espaces de trigue cheffa,et oued el elaeugue,et boufarik aurait en un seul coup resolu le probleme de l'habitat,et oh combien d'espaces verts ne se seraient realisés,et du coup s'abstenir de toucher au centre ville ou des blocs comme celui de bab edzaier(encore une fois realiser pour la gendarmere)qui a jamais empêche la vue de la montagne,
je me rapelle ces moments de quietude,mais les scenes de la p.m qui ne respecte ni jeune ni vieux..donc blida fût toujour le theatre de sabotage directe ou indirecte,et surtout de manque de considération de la part des autorités,les militaires,aussi bien engagés qu'appeles n'ont pût venir à bout de la fiérté de ces habitants,alors autre strategie,et tout les moyens sont bons,alors autant envahir blida avec les vas-nus- pieds,l'informel,et bien d'autres mefaits qu'on ne peut citer sur le forum.
en 1967(en 5em)quand on nous a foutu à laporte sans raison valable
j'avais compris qu'il n'y avait point de place pour nous!
alors depuis lors(67)je ne me suis retrouver que tres rarement à blida,d'où j'ai habité à alger chez ma soeur,2 ans plus tard n'ayant quand même pût supporter le manque,pris le couage dans deux mains et j'ai essayé de reprendre mon destin en main,j'avais crut aussi naif que cela ne paraisse retourner aux source,deux ans d'etudes de comptabilité furent promptement mis à terme a cause du service militaire,et dont les autorités refusait la reconnaissance d'une ecole privée.
pour dire qu'on avait pas de veine le service militaire tant bien que mal accompli,l'idée de chercher un autre horizon ne cessait de hanter les esprits,apres un an de service à la sns(siderugie)1a alger à la direction generale,le titre de congé et,la fiche de paye(requis pour la demande de visa)en main un certificat de maladie(qui m'avait coûter la moitié de mes economies)furent la base d'une constitution de dossier pour la demande de passeport(aussi avec bakchich)et depuis lors on ne cesse de pleurer le manque,et surtout la privation de tant d'années de ceux qui nous ont vu naître à savoir l'oum,l'ebe,l'ikhwa we l'akhawat..
un ami qui fût exclus(du lycé bne rouchd à la même periode 67) et qui vit en france depuis tres longtemps,m'affirme ne jamais leur pardonner la fe dounia wa la fe l'akhira.
lui et moi avion un encouragement et un tableau d'honneur durant la même année..je me rapelle que madame lepair n'y comprenait rien
motif le prof d'arabe wehd elmssender(berim qu'il s'appelait)disait que nos faces ne lui revenait pas,arabisation exige et nous etions trop faible en la matiere,foufa(le proviseur)ne pût qu'accepter son rapport(de berim)de fin d'annees,en fait il etait question de transfert mais pas d'exclusion(pour bien masquer)la combine...mais où aller?eske nos proches etaient des capitalistes pour financer une pension complete à medéa ou boufarik?les seuls lycées où il y'avait encore de la place.
quoiqu'il en soit on s'en ai tiré a bon compte grâce dieu!
mais nvoti?jamiiiiiiiiiiii!!!!SmileSmileSmile qui sait un jour les roses de blida ecloreront de nouveau!un proverbe dit ezmane machi khyele itebaa. Message d'origine -----
Les rues de Blida suffoquent
Circulation interdite et quartiers malfamés
Un médecin a été sauvé de justesse d’une crise cardiaque à la rue du Bey, aujourd’hui rue Amirouche, pour cause de marché informel à la rue des Martyrs, plus connue sous le nom de la rue d’Alger.

Il avait fallu, mardi dernier, plus d’une demi-heure pour que l’ambulance des sapeurs-pompiers « perce » le rideau de commerces accaparant trottoirs et rue sur 200 m, sans parler du reste de la rue aboutissant à la place du 1er Novembre. Les autorités de la wilaya avaient bien donné l’ordre de réglementer ce commerce envahissant fait d’étalages à même le sol et forçant ainsi le voisinage à accepter à longueur de saison la vente à la criée. La rue faisant partie de l’architecture ancienne avait ses codes, ses règles de conduite, ses pratiques et ses habitudes ; les commerces d’antan étaient tenus par des personnes qui avaient le souci du respect du voisinage, de la clientèle, des espaces même dans le sens de la protection de l’environnement et des règles d’hygiène. L’ouverture de l’économie mondiale et les années de la tragédie nationale avec l’afflux des populations du piémont, des communes et des wilayas limitrophes jusqu’à Tissemsilt ont déréglé les mécanismes. « Nous n’arrivons plus à nous retrouver avec ces crachats, ces ordures partout », dira un commerçant marchand de chaussures. Un autre évoquera le commerce de psychotropes à ciel ouvert, les agressions en groupe face à l’impuissance de tous. « Il n’y a pas de honte à organiser des rondes quotidiennes et permanentes de la police afin d’annihiler toute tentative malveillante », dira un cafetier du coin. « Où sont les senteurs d’antan ? Où se trouvent les marchands de thé ambulants ? Que font les directions de la culture et du tourisme pour mettre en évidence ces rues authentiques ? » L’histoire jugera ces destructions successives de l’âme de la ville ! Des fonctionnaires et des enseignants attablés, non loin du remue-ménage ont évoqué la responsabilité de l’Etat qui continue à percevoir des impôts pour « tout ce qui bouge dans ces rues, exception faite des parasites qui dérangent la quiétude de l’endroit », avouera un quinquagénaire déprimé. « Même les légumes ont fait leur apparition dans cette rue ! », lancera, en maugréant, un autre. Il faut dire que la rue d’Alger se caractérisait jusqu’à une date récente par des commerces spécifiques aux fêtes et aux célébrations d’envergure. La ville s’est ruralisée, expression à la mode à Blida où les règles de la vie citadine ne sont plus respectées. Le mode de vie rural a pris de l’ampleur dans les cités et les quartiers et dans la vieille ville où nombre de familles incertaines, majoritairement sans chef de famille mâle, dans des maisons quasiment clandestines permettent une prostitution, non contrôlée et donc sources de maladies qui seront à la charge de l’Etat. Celui-ci ne prend aucune mesure préventive et toute la population native de la région ou d’adoption, tous les jeunes du service national et tous ceux à la recherche de sensations fortes connaissent les quartiers malfamés de la ville, ceux que l’Etat semble avoir abandonnés. Railleries, moqueries, drague sauvage, agressions, commerce de psychotropes et de drogue... « Tout y est et à toutes les sauces sans que les autorités interviennent », dira un jeune officier voulant garder l’anonymat qui a montré que l’Etat est faible mais possédant cependant sa force d’intervention quand il le veut : « Vous avez remarqué que l’entrée du côté de Bab Dzaïer a été dégagée mais au détriment des ruelles adjacentes. » Pis, à l’approche des élections législatives, les espaces se trouvant près de la salle Benomar ont été dégagés afin de permettre, bien à l’avance la quiétude de l’endroit pour les officiels le 17 mai.

A. Mekfouldji

http://www.flickr.com/photos/mekfouldji/493702788/


 

Poster un nouveau message Répondre au message
  Pages: 1

M'inscrire M'inscrire Me connecter Me connecter Mot de passe oublié Mot de passe oublié Retour au forum Retour au forum