Fin 60 debut 70,les bananes etaient les fruits les plus courtisés.hellas pas à la portée de n'importe qui si bien que même les femmes en periode de depression prenatale(el whaam) revendiquaient les bananes.
l'habitude etait de s'acheter une seule et,bien chez les ambulants qui se mettaient à l'angle de la rue abdallah donnant au souk,ces revendeurs se souciaient bien de la presentation de cette denrée luxueuse ce qui la rendait encore plus attirante.
Chez les famlles nombreuses et comme toutes les familles etaient nombreuses commes par exemple celle de bouhaloufa(*)le chauffeur de la sntv qui habitaient kouchete el djir avec leurs 18 gosses la bananes etait partagée en 4  .
une fois apres la visite d'un bain maure j'ai choppé la galle(el djreb)allah yastourna.Qui peut supporter ces demangeaisons?ma soeur me proposa un remede infallible,il me fallait à une distance d'un metre à petite pression repandre du(tenez vous bien)flytox,sur tout mon corps.
moi qui voulait me debarasser de ce gêne insuportable ai eu juste l'idée d'en utiliser un peu plus qu'íl n'en fallait.
une heure plus tard je me retrouvait grogi fi sbitare el fabore allongé
et sous infusion pour me repurifier le sang.
il m'etait interdit de manger koikesesoit pendant au moins 12 heures,le lendemain à ma grande satisfaction je voyait mes parents
parmis les premiers visiteurs se hater vers mon lit avec sur les bras,et oui bien-sûr pas un 1/4 ou une mais une quantité de bananes..Elles se vendaientt aussi au devant des hopitaux.Plus tard ma maman allah yarhamha me fesait rappeler qu'il fallait manger...mange mon petit mange tu dois retrouver tes forces.
fi kalbi(interieurement)je pensait...je te le ferait pas dire 2 fois yema.et comme j'étais un peu pâle le lendemain j'eus même droit à un beefteak saignant preparé chez mon oncle qui habitait bhirete el mokhbat c'etait prêt de l'hopitale et etait encore tout chaud.
le jour où je devait quitter l'hôpitale etait plûtot un jour de deuil je pensait avec amertume au regime normal qui m'attendait
du moins pas tout de suite mais juste apres la convalesence  .
(*)Cette famille se fesait appeler comme ca(BOUHALOUFA) en raison du faît qu'ils avaient souvent des jumeaux et même des triplés..
une epoque où on entendait guere d'insemination artificielle,celà se passait tout naturellement.
bien le bonjour.  |
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