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BENOUARED Algérie |
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sallam blideens et blideenes Em ces temps de chaleur d'ete, beaucoups de blideens qui n'avaient pas la possibilite de se deplacer a fouka ou douaouda ou berrar, preferaient aller a la piscine municipale de blida. je sais que tous les blideens ont frequente cet endroit et chacun de nous a une histoire a raconter. Dommage que cet endroit est clos.... |
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blidacity Danemark |
Posté le: 26/6/2007 20:43 | Sujet du message: RE: souvenirs de la piscine municipale | |
Email: blida@hotmail.com | |
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salam alikoum moi mon histoir et un peut drole kount amchoumi ta3 sah alor jai pas l'argants pour allez a la picine . qaund il fait chaut kouna nalabssou sandale ta3 anilou direction sidi barage sidi de alkbri apret qaund tu rentre chez toi alkabati tastanak assabta mai jai toujour ce beau souvenir . es qand vien les vacance de l'eté kane anda un cabano fi bousmail ----- Message d'origine ----- sallam blideens et blideenes Em ces temps de chaleur d'ete, beaucoups de blideens qui n'avaient pas la possibilite de se deplacer a fouka ou douaouda ou berrar, preferaient aller a la piscine municipale de blida. je sais que tous les blideens ont frequente cet endroit et chacun de nous a une histoire a raconter. Dommage que cet endroit est clos.... |
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Blidi Algérie |
Posté le: 29/6/2007 16:05 | Sujet du message: RE: souvenirs de la piscine municipale | |
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L'endroit n'est pas clos, il est gerance pour je ne sait qui, actuellement c'est un café repaire de trabendos. La piscine sert de lieu de stockage pour les caisses de limonades vides. |
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MOU Algérie |
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Un cabanon à CASTIGLIONE ? Quel bonheur à l’époque. La plage était petite, pleine d’oursins et de rochers Sandilet enilou était de rigueur, si on voulait éviter d’être piqué. Après avoir emprunté les bus Morry qui démarraient à coté de Mesdjed el Badr, on se dirigeait vers Bou Ismail ; Je me rappelle des cabanons qui étaient sur la plage, du boulevard du front de mer, du kiosque du centre ville. Un cabanon : Un privilège hors de la portée de mon père qui était petit employé. Pour nous c’était clair, Il n’y avait que le barrage, au niveau de Nana Aicha. En y allant avec le groupe du quartier on mettait le maillot sur la tête pour frimer. Au retour, idem, même avec un maillot mouillé. Le maillot sur la tête, une façon de montrer aux autres qu’on avait passé un bon moment, que l’on était heureux et libéré du joug de nos parents qui nous défendaient de monter au barrage pour éviter les mauvaises fréquentations. Et surtout il ne fallait pas nous confondre avec les fils à maman. Redjla fini Arrivé, il y avait un monde fou, on utilisait la petite passerelle métallique (voir photo sur http://www.flickr.com/photos/smamou/335665865/ ) pour plonger « tchabaika ». Il y avait régulièrement une compétition improvisée, entre quartier, à qui peut mieux sauter. C’était de la folie. Par moment, avec un dinar, on allait à la piscine, qui était gérée par les militaires, je crois. Tous les jours, le sous officier chargé de la piscine annonçait dans un haut parleur « défense de nager avec les slips blancs » cela signifiait que pour les autres couleurs pas de problème, même si c’est des slips ???? Mais très souvent, c’était ezzedma ; on sautait le mur du coté du stade. A l’intérieur on se confondait avec ceux qui sont rentrés normalement. Les plongeoirs, il y avait deux. On sautait à l’aise du plus court, mais pour le second plus élevé, on a mis du temps. Ceux qui ne savaient pas nager, utilisaient la petite piscine pour enfants. Ceux là, on les regardait avec un air de supériorité, le sourire aux lèvres. C’était des fils à maman qui ne prenaient pas de risques. On verra
----- Message d'origine -----
salam alikoum moi mon histoir et un peut drole kount amchoumi ta3 sah alor jai pas l'argants pour allez a la picine . qaund il fait chaut kouna nalabssou sandale ta3 anilou direction sidi barage sidi de alkbri apret qaund tu rentre chez toi alkabati tastanak assabta mai jai toujour ce beau souvenir . es qand vien les vacance de l'eté kane anda un cabano fi bousmail ----- Message d'origine ----- sallam blideens et blideenes Em ces temps de chaleur d'ete, beaucoups de blideens qui n'avaient pas la possibilite de se deplacer a fouka ou douaouda ou berrar, preferaient aller a la piscine municipale de blida. je sais que tous les blideens ont frequente cet endroit et chacun de nous a une histoire a raconter. Dommage que cet endroit est clos....
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BENOUARED Algérie |
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saalam MOU j'aimerai bien que tu me donnes un peu l'historique de la piscine a savoir sa date de construction. sa gerance. est ce qu'il avait des journees pour les jeunes filles ou non. Ss date d'ouverture et de fermeture en periode estivale? et en quelle annee la mairie a ceder la gerance? Enfin tout ce que tu peux nous eclairer sur cette piscine. sallam allaikoum
----- Message d'origine ----- Un cabanon à CASTIGLIONE ? Quel bonheur à l’époque. La plage était petite, pleine d’oursins et de rochers Sandilet enilou était de rigueur, si on voulait éviter d’être piqué. Après avoir emprunté les bus Morry qui démarraient à coté de Mesdjed el Badr, on se dirigeait vers Bou Ismail ; Je me rappelle des cabanons qui étaient sur la plage, du boulevard du front de mer, du kiosque du centre ville. Un cabanon : Un privilège hors de la portée de mon père qui était petit employé. Pour nous c’était clair, Il n’y avait que le barrage, au niveau de Nana Aicha. En y allant avec le groupe du quartier on mettait le maillot sur la tête pour frimer. Au retour, idem, même avec un maillot mouillé. Le maillot sur la tête, une façon de montrer aux autres qu’on avait passé un bon moment, que l’on était heureux et libéré du joug de nos parents qui nous défendaient de monter au barrage pour éviter les mauvaises fréquentations. Et surtout il ne fallait pas nous confondre avec les fils à maman. Redjla fini Arrivé, il y avait un monde fou, on utilisait la petite passerelle métallique (voir photo sur http://www.flickr.com/photos/smamou/335665865/ ) pour plonger « tchabaika ». Il y avait régulièrement une compétition improvisée, entre quartier, à qui peut mieux sauter. C’était de la folie. Par moment, avec un dinar, on allait à la piscine, qui était gérée par les militaires, je crois. Tous les jours, le sous officier chargé de la piscine annonçait dans un haut parleur « défense de nager avec les slips blancs » cela signifiait que pour les autres couleurs pas de problème, même si c’est des slips ???? Mais très souvent, c’était ezzedma ; on sautait le mur du coté du stade. A l’intérieur on se confondait avec ceux qui sont rentrés normalement. Les plongeoirs, il y avait deux. On sautait à l’aise du plus court, mais pour le second plus élevé, on a mis du temps. Ceux qui ne savaient pas nager, utilisaient la petite piscine pour enfants. Ceux là, on les regardait avec un air de supériorité, le sourire aux lèvres. C’était des fils à maman qui ne prenaient pas de risques. On verra
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salam alikoum moi mon histoir et un peut drole kount amchoumi ta3 sah alor jai pas l'argants pour allez a la picine . qaund il fait chaut kouna nalabssou sandale ta3 anilou direction sidi barage sidi de alkbri apret qaund tu rentre chez toi alkabati tastanak assabta mai jai toujour ce beau souvenir . es qand vien les vacance de l'eté kane anda un cabano fi bousmail ----- Message d'origine ----- sallam blideens et blideenes Em ces temps de chaleur d'ete, beaucoups de blideens qui n'avaient pas la possibilite de se deplacer a fouka ou douaouda ou berrar, preferaient aller a la piscine municipale de blida. je sais que tous les blideens ont frequente cet endroit et chacun de nous a une histoire a raconter. Dommage que cet endroit est clos....
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soumarin Algérie |
Posté le: 9/7/2007 00:54 | Sujet du message: el micht | |
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ya djmaa la picine walat kouri bengarouja taa bab adjazair 1 al micht comment il a eu la picine maandou hata alaka maa la propreté 2 il es de ouazra 3 abna fiha alkavé un restaurant alor le charme taa la picine rahhhhhh
----- Message d'origine -----
L'endroit n'est pas clos, il est gerance pour je ne sait qui, actuellement c'est un café repaire de trabendos. La piscine sert de lieu de stockage pour les caisses de limonades vides. |
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