 Chez Mademoiselle Bacherot, en CE2
 Chez Monsieur Sutter, en CM1
 Chez Monsieur Bourrec, en CM2
Ce gracieux sourire n’est plus. Jean-Louis Peyrot a fini de souffrir, il nous a quittés ce 3 mars au matin, comme vous l'a annoncé Pierrot.
Nous savons qu’inéluctablement, un jour, l’existence se termine pour chacun d’entre nous.
Nous avons usé nos fonds de culottes et avec son frère François, du CE2 au CM2 à l’école Pierre Combe d’Aïn-Témouchent et sans doute au collège ensuite.
Perdre un camarade de classe, c’est perdre un peu de soi-même.
Je l’ai revu à deux reprises ces toutes dernières années, et garde un bon souvenir, de notre parcours dans les rues de Jarnac, jusqu’à la tombe de Mitterrand.
Il laisse un grand vide, au sein de sa famille, et j’espère voir cette dure épreuve, s’effacer petit à petit. A toute la famille Peyrot, et à François mon ami, Jeannette sa sœur, Marc son autre frère, je tiens à vous témoigner ma compassion, une nouvelle fois, et je partage votre douleur.
Je vous exprime en mon nom, mais aussi, si vous me le permettez, au nom de tous les Témouchentois qui l’ont bien connu, nos sentiments de sympathie attristée et que puisse la chaleur dégagée par ceux qui partagent votre deuil, atténuer ne serait-ce qu’un peu la sensation d’impuissance causée par l’être cher  |