A lalecture de ce poème, je n'ai pu retenir mes larmes de tristesse. Ici en Métropole chacun de nous a trouvé un havre de paix ou s'installer, mais nos racines sont la-bas de l'autre coté de la Méditerranée et j'y pense tous les jours. Hélas pour nous c'est un pays perdu que nous ne reverrons jamais. Amitiés François et Yvonne Yvanes S l