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Livre d'or créé le 17/2/2002 10:27 Administré par
119 messages dans ce livre. Pages: [1]-2-[3]

Neil Tennant (Pet Shop Boys) Vivre la nuit Par : Yves Lafontaine [24-03-2000] Depuis la sortie de leurs premiers albums, à la fin des années quatre-vingts, le groupe britannique Pet Shop Boys a concocté de nombreuses chansons qui nous parlent tout particulièrement, en tant que gais, au niveau des thèmes. Ce dynamique duo nous a donné plusieurs albums assez trippants — dont Disco, Actually, Introspective, Behaviour, Very et Bilingual —, qui tentaient réellement de nouvelles expériences musicales, surtout au niveau des rythmes et du mélange de l'électronique et des échantillonnages de sons réels. Les Pet Shop Boys sont passés maîtres dans l'art de la mélodie légèrement mélancolique intégrée à des pièces très rythmées à l'enrobage riche et texturé. De retour avec Nightlife, leur douzième opus, ils étaient à Montréal pour un concert au Club Métropolis, en novembre dernier et profité de l’occasion pour discuter avec Neil Tennant, le chanteur du groupe et auteur des textes. Nous avons évidemment discuté avec lui de ce nouvel album, mais aussi des chansons et des thèmes qui ont marqué leur carrière. Je me suis fait dire que vous aimez bien faire la fête… (Rires) Qui vous a dit ça? Oui, ça arrive (rires). On ne fait pas un album intitulé Nightlife pour rien… Quel est le concept du nouvel album? Musicalement, l'idée était de mêler la musique électronique avec des cordes et un orchestre, dans l’esprit de la musique cinématographique. Pour la moitié de l'album, nous avons travaillé avec Craig Amstrong qui compose ou produit habituellement des bandes musicales pour le cinéma. On lui doit entre autres la bande sonore du film Romeo & Juliet et plusieurs arrangements pour Massive Attack et Madonna. Nous savions qu'il aimait ce que nous faisions, et vice versa pour nous. Nous avons également travaillé avec David Morales pour New York City Boys et I Don't Know Want You Want But I Can't Give It Anymore. Pour New York City Boys, il nous a composé des arrangements de style disco, à l'ancienne, un peu dans le style des Village People. Il a fait appel à un gars du Montana qui a beaucoup travaillé dans les années soixante-dix et qui a produit pour nous un son de cordes très authentique rappelant le disco de l'époque. Finalement, nous nous sommes adjoint le producteur britannique Rollo pour les autres chansons de l'album. Et pourquoi le titre Nightlife? Nous avons appelé l’album Nightlife parce que toutes les chansons s’y déroulent la nuit. On voulait aborder différents sujets, comme le fait que les perceptions des gens, la nuit, sont différentes, et montrer comment la vie peut sembler irréelle la nuit. Comment, à la fois, on a beaucoup de plaisir la nuit, et comment on se fait exploiter par d’autres...On voulait parler de ce qui pousse les gens à sortir la nuit, à se saoûler, à prendre des drogues. Évidemment, le désir de danser et celui de baiser traversent l'album. Vous faites un duo avec Kylie Minogue sur cet album. In Denial est une chanson sur un père gai et sa fille, si je ne me trompe pas… Cette chanson fait partie d'un musical que nous avons écrit et qui devrait être produit à Londres d'ici la fin de l'an 2000 (In Denial est l’un des thèmes musicaux principaux de ce musical). Dans le spectacle, il y a un gars qui gère une discothèque. Bien qu'il soit gai, il a eu une affaire avec une femme, il y a plusieurs années. Cette dernière est tombée enceinte et a eu un enfant, qu'il ne connaît pas. Dans le spectacle, sa fille, presque adulte, vient le voir dans le club et montre sa désapprobation envers le style de vie de son père. Le duo chanté raconte leur confrontation : d'un côté les reproches de la fille, de l'autre, le père qui se défend. Comme nous aimions beaucoup cette chanson, Chris et moi, et qu'elle se déroulait la nuit, nous avons décidé de l'inclure sur l'album. Le musical comprend 18 chansons dont 3 se retrouvent sur Nightlife. Le garçon évoqué dans New York City Boys, c'est un aspirant comédien? Times Square et ses lumières symbolisent surtout l'émerveillement d'un jeune gars de la banlieue pour ce que représente New York. J'ai voulu me mettre à sa place. En tant qu'Anglais, New York représente quelque chose de très fascinant et de différent. Et souvent, je me dis combien excitant cela doit être pour un adolescent de la banlieue de pouvoir profiter de l'animation de cette ville incroyable en prenant seulement le train. C'est également une chanson sur le moment où prend fin l'adolescence, sur le plaisir de sortir en boîte avec des copains. C'est une chanson innocente sur la fin de l'innocence. C'est une célébration. Il faut dire que New York se prête admirablement à ce genre d'hommage, comme aucune autre ville, sauf peut-être Paris. Il y a tellement de chansons inspirées de New York. Je voulais, avec cette chanson, saisir l'énergie et le sens de la drive qu'on y retrouve surtout la nuit, du crépuscule à l'aube, les quartiers illuminés, tout semble si magique si irréel. Surtout avec l’alcool et la drogue... Une des choses que j'aime faire avec les textes de mes chansons, c'est de partir de quelque chose de très banal et d'aller y chercher un feeling, une impression très réaliste. C'est comme ça pour la chanson Drunk. Qu'est-ce que cela signifie quand quelqu'un vous dit qu'il vous aime lorsqu'il est saoûl? Cela veut-il dire qu'il vous aime vraiment et qu'il le dit parce que ses inhibitions ont disparu? Ou qu'il dit tout simplement n'importe quoi, parce qu'il est saoul? Je ne connais pas la réponse, je pose uniquement des questions. Ça m'est déjà arrivé qu’un gars saoûl me dévoile son intérêt alors que j'aurais bien aimé savoir ce qu’il éprouvait réellement... Est-ce que The Only One est l'être aimé? Oui, c’est l’être aimé... et c'est la seconde chanson à être également tirée du musical... Elle fonctionne cependant isolément et n'a pas besoin de ce cadre pour être comprise et appréciée. Il y est question de confiance, d'avoir des amants, dans le cadre d’une relation ouverte, autrement dit, d'avoir des rapports à l'extérieur du couple… C'est en quelque sorte l'opposé de So Hard? Pas nécessairement… Dans So Hard, quelqu'un apprend que son conjoint ne lui dit pas la vérité… Mais c'est surtout l'histoire d'un couple ouvert qui se dit que l'autre peut aller voir ailleurs sans vraiment le vouloir. Oui, effectivement… Où on dit que la fidélité sexuelle n'est pas essentielle, mais où on espère qu'elle le sera… Dans le cas de The Only One, on est au début d'une relation, pas aussi loin que dans So Hard. Les sentiments pour l'autre ne sont pas érodés et sont encore très purs; la relation y est presque idéalisée. C'est une chanson très douce, sans être mélancolique. La mélancolie est souvent présente dans le texte ou le refrain de vos chansons. Je pense, entre autres à Being Boring. Je me suis fait dire que cette chanson était inspirée par le souvenir d'un ami d'enfance… La chanson parle d'un ami qui est mort du sida, un ami avec qui j'ai grandi à Newcastle, avec qui j'ai fait les 400 coups. Le titre et le refrain font directement référence aux invitations que nous envoyions au début des années soixante-dix pour nos partys. Nous inscrivions sur les cartons : "Nous ne nous ennuyions jamais, parce que nous n'étions jamais ennuyeux". (We Were Never Bored, Because We Were Never Boring). C'était la manière dont nous voulions vivre. Il n'était pas question d'avoir une petite vie rangée et un boulot monotone. Nous voulions accomplir des choses incroyables et vivre pleinement. C'est d'ailleurs ce qu'il a fait jusqu'à sa mort. Il me fallait faire cette chanson. Au moment où je devenais une vedette pop, c'était ma façon, à moi, de lui rendre hommage, d'écrire une élégie en son honneur. Sur Nightlife, on retrouve d'autres chansons très personnelles? Bilingual et Behaviour étaient des albums qui parlaient plus directement de ce que je vivais ou avais vécu, tandis que Nighlife est une œuvre qui fait référence à mon imagination plus qu'à ma propre expérience. Je réécoutais récemment vos précédents albums afin de trouver le moment où votre orientation sexuelle est devenue évidente dans les paroles d'une de vos chansons. Et je me suis arrêté sur Love Comes Quickly, de votre album Please. Voyez-vous cette chanson de cette façon? Non, pour moi, il s'agit plutôt d'une chanson sur le fait de tomber rapidement en amour, que l'on soit gai ou non. C'est une chanson sur l'amour en général, sans connotation hétérosexuelle ni homosexuelle. Alors, quelle chanson serait pour vous la première à exprimer vos sentiments pour un autre homme? Comme ça, je dirais Later Tonight (sur l'album Please). Il y est question d'un homme qui aime un gars qu'il croit inaccessible… Mais je crois que les hétéros peuvent également, dans une certaine mesure, se projeter dans une telle chanson. Vous avez souvent dit que plusieurs de vos chansons peuvent être interprétées aussi bien comme gaies que comme hétéros… Je crois que toutes les chanson d'amour peuvent normalement s’adresser tant aux hétérosexuels qu’aux gais… Pas lorsque l'on nomme quelqu'un ou lorsque que le sexe de la personne est identifié par des pronoms comme "elle" ou "il"… C'est vrai. C'est sans doute pourquoi je ne le fais pas souvent et ce, de manière à ce que la chanson puisse toucher plus de monde. Avez-vous l'impression d'avoir eu à faire des concessions durant votre carrière pour que les chansons ne soient pas trop gaies? Je n'ai jamais senti de pression de la part des maisons de disques. S'il y a eu censure, c'est de l'auto-censure et c’est inconscient. Je suis très pudique, voilà tout… Quelques-uns de vos vidéoclips sont très homoérotiques, comme Being Boring… La seule scène vraiment homoérotique dans Being Boring est celle de l'homme avec le chien près de la piscine. Mais toutes les séquences où l'on voit des hommes dans ce vidéoclip ont une tension homoérotique, sans doute pas étrangère au regard que porte Bruce Weber, le réalisateur du vidéo, sur les hommes qu'il filme. Effectivement... Le vidéoclip de Domino Dancing a lui aussi un aspect homoérotique évident dans l'affrontement des deux gars, lorsqu'ils luttent sur la plage. Quand on a fait le vidéoclip, notre idée était d'y mettre quelque chose pour tout le monde : une belle fille et de beaux gars, en évoquant pas uniquement une chicane de deux gars amoureux d’une même fille, mais également une tension érotique entre les deux gars. Choisissez-vous vous-mêmes les réalisateurs pour vos vidéos? Oui, nous effectuons toujours le choix des réalisateurs et nous nous impliquons dans le concept. Dans le cas de Domino Dancing, le réalisateur, Eric Watson, nous connaissait déjà très bien. Nous avions travaillé avec lui pour Opportunities, West End Girls, Suburbia et plusieurs autres. Vous avez également travaillé avec le réalisateur Derek Jarman… Il a réalisé les vidéoclips de Rent et de It's A Sin. Il a également conçu notre tournée mondiale il y a dix ans, pour laquelle il avait tourné plusieurs petits films qui étaient rétroprojetés sur des écrans. C'était réellement un plaisir de travailler avec lui. Et à au moins deux reprises, nous avons d'ailleurs donné un spectacle dans le cadre de la sortie d'un de ses films, entre autres pour Edward II. Avec It's A Sin, vouliez-vous faire une chanson morale ou cynique par rapport à une éducation très religieuse? It's a Sin se voulait une farce. Ça ne se voulait pas du tout moral. C'est pourquoi j'ai trouvé curieux que le journal de l'Armée du Salut en Angleterre, War Cry, fasse avec nous la couverture après la sortie de ce simple. Ce qui arrive souvent avec la musique pop, c'est qu'elle peut être interprétée de bien des manières, véhiculer différents sens. Ceci dit, l'idée était de produire une chanson amusante, voire humoristique, sur le sentiment de culpabilité catholique. Nighlife on Tour n'est pas un spectacle théâtral comme l'étaient nos précédents spectacles… Celui-ci a été conçu par Zaha Hadid, une architecte de renommée mondiale qui est considérée par plusieurs comme très radicale. Dans sa simplicité et son minimalisme... Son travail n'est pas vraiment minimaliste. On le qualifie plutôt de déconstructiviste, je crois. Ses plus récents travaux, les édifices qu'elle a signés, sont d'ailleurs considérés comme de véritables œuvres d'art. C'est très futuriste. Lascène entière est une structure modulaire qui se transforme constamment au cours du spectacle. Et les éclairages qui traversent cette structure lui donnent un aspect qui change continuellement, quasi flexible.

- De Pethead le 1/2/2006. Pays: France   Région: Paris

Je suis une inconditionnelle des Pet Shop Boys depuis 1986 et je suis enfin ravie de décrouvrir un site francophone intéressant de ce groupe légendaire,c'est dommage qu'ils ne sont pas trop médiatisés en france et ca malgrés leur grand talent, j'espére avec leur nouvel album en pourra les voir en france !!!!!!!!

- De naouel le 25/1/2006. Pays: Algérie  

La pop expérimentale des Pet Shop Boys 5 février 2000 La démarche techno-astrale des Pet Shop Boys est assimilée, en France, à " l’éloge du niais ". Alors qu’en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis et un peu partout en Europe, leur musique est reconnue comme un concept synthétique original. Produit par Craig Armstrong et David Morales, Nightlife, leur 9e album, s’accommode à nouveau d’un style éminemment léger mariant dance et techno, sur lequel viennent se mêler les voix planantes de Neil Tennant et Chris Lowe, les deux créateurs peroxydés du groupe. Depuis 1981, ils font le bonheur des " nigth-clubbers ", adeptes de la néoculture disco, dont l’univers des Pet Shop Boys s’est toujours inspiré. Une ligne de conduite artistique dont ils n’ont jamais dérogé, manière unique de jeter des ponts entre pop et tempos électroniques remixés. Après Bilingual, précédente production, les cyber-popers, qui, depuis vingt ans, hantent les nuits des dance-floors (pistes de danse) du monde entier, continuent de privilégier les froides atmosphères, recyclant toutes sortes de particules soniques. Le tout sur fond de paroles amoureuses, plutôt mièvres, et de cordes psychédéliques. Ce qui ajoute au charme kitch de ce duo pop-corn qui entend célébrer la superficialité sur un mode désincarné. Attitude très " hype ", qui vaut à ces initiateurs de mode et de mouvement quelques coups de génie Voir le tube New York City Boys, hymne à la gloire de la mégapole américaine. Le son Pet Shop Boys ? " Ravel et Debussy sur un beat techno ! " assurent-ils. On vérifie sur place au Zénith, à l’occasion de leur unique concert parisien. Show expérimental assuré.

- De Victor Hache le 26/12/2005. Pays: France  

"Finalement, un seul mot pourrait définir la carrière entière des Pet Shop Boys : "camp". Car ce sont certainement les artistes les plus "camp" de ces 20 dernières années. Humour vitriolé, sens de la frivolié et du kitsch excessif ou tempérament théâtral tragique et flamboyant, on ne reviendra pas ici sur les tubes immenses de Chris Lowe et Neil Tennant. En attendant leur nouvel album en cours d'enregistrement, voici une sélection de titres choisis pour le compte de la série Back to Mine, après EBTG, New Order ou Death in Vegas. Chris Lowe privilégie l'aspect dansant en dénichant quelques perles discoïdes comme Ti Sento, incroyable hymne italo-disco totalement hystérique sorti en 1986 - que l'on jurerait signé par la main du duo -, littéralement vociféré par Mattia Bazar, Take A Chance de Bill Laswell, alias Mr Flagio, ou Passion de The Flirts composé par Bobby Orlando. Plus convenu, le récent tube Never Be Alone de Justice vs Simian, suivi par...The Show Must Go On de Queen, que l'on aurait préféré ne pas entendre au milieu de ce tracklisting pétillant. Neil Tennant, en revanche, bluffe totalement tout le monde avec un choix intimiste et bouleversant, où une electronica mélancolique ( Fairmont, Biosphere, Tiny, Closer Musik, Lobe ) se fond dans des accords de piano lointains, où des envolées de violons classiques précèdent quelques bonnes pop songs signées Etienne Daho ( La Baie )ou, bien sûr, - et c'est le seul dénominateur commun aux deux disques-, la grande Dusty Springfield. Rien que pour cela, l'on peut laisser tomber à peu près n'importe quel autre disque en faveur de ce joyau ultime." Critique rédigée par Thomas Schwoerer, dans Magic Rpm n°91.

- De JefShopBoy le 1/7/2005. Pays: France  

Le meilleur site pour le meilleur groupe! Ce site est vraiment génial, continue le plus longtemps possible. Les Pet Shop Boys sont les meilleurs, leur musique est merveilleuse, et ce groupe, malgrès ses vingt ans de carrière reste le plus jeune des groupes, et le meilleur. J'aimerai tellement leur dire à quelle point ils sont merveilleux. J'espère qu'ils continueront le plus longtemps possible.

- De Malica le 8/5/2005. Pays: France   Région: Ile de France

Petit article de L.L.du télémoustique du 4/05/05 à propos de "back to mine":Initié par le label anglais DMC, la série de compilations " back to mine" célèbre sa vingtième sortie avec un duo qui fête, lui, son vingtième anniversaire.Le principe est connu. Il s'agit de demander aux artistes de sélectionner des morceaux qui reflètent le mieux leurs influances ou leurs goûts. Neil Tennant et Chris Lowe jouent parfaitement le jeu et confirment sur ce double CD leur complémentarité au sein des Pet Shop Boys.Lowe s'illustre avec des choix portés sur le disco ( ti sento de Matia bazar, Passion de The Flirts)l' électropop ( Take A Chance de Mr flagio) ou des icônes gay ( Freddie Mercury, Dusty Springfield).De son côté, Tennant propose des plages plus atmosphériques( Harold budd, biosphere, Craig Armstrong, Vladimir Martynov) Etienne Daho sera ravi de l'utilisation du magnifique La Baie.(DMC/N.E.W.S.)

- De virginie.be le 4/5/2005. Pays: Belgique   Région: huy-waremme

ça y est depuis ce matin, j'ai tout les further listening,avec livret, c'est génial, j'ai please,actually,introspective,behaviour,very,bilingual place maintenant au version relentless de very et billingual et après faut que je trouve tout plein de cd maxi j'ai commandé un livre anglais sur les pet shop boys il est de 2004 j'ignore le titre qu'elqu'un pourrai t-il me renseigner s'il vous plait merçi d'avance

- De coucke le 17/3/2005. Pays: France   Région: seine maritime 76

This site is so well designed. Wonderful. Merci Beaucoup

- De David le 8/1/2005. Pays: États-Unis  

bonjour tout le monde je suis a la recherche de fan des pet shop boys sur grenoble ou dans le departement de l'isere 38 ou lyon 69pour avoir des photo ou conetre un site ou l'on peux acheter des vetement a leur insigne merci de me contacter

- De napster le 1/1/2005. Pays: France   Région: grenoble

HI, I LOVE THE SITE. I WENT TO THE CONCERT IN BUENOS AIRES ARGENTINA ON NOVEMBER 5, IT WAS GREAT!! I SAW THT SOMEONE SELL THE VIDEO IN VHS OF THIS SHOW ON www.ebay.com THIS WEEK. IM INTERESTED BUT I DONT HAVE AN ACCOUNT ON EBAY. PLEASE, IF SOMEONE BUY IT LET ME KNOW, MERCIE!!! MARTIN

- De MARTIN le 12/11/2004. Pays: Argentine  

PS : à propos, je serai présent sur Trafalgar Square le dimanche 12 septembre. Si certains d'entre vous y seront aussi, n'hésitez pas à me le faire savoir de façon à se rencontrer sur place !!

- De vinylations le 29/8/2004. Pays: Belgique   Région: bruxelles

Salut à tous ! Fanboy des psb depuis 1984, je suis aussi grand collectionneur de tout ce qui touche, de près ou de loin, aux pet shop (musicalement parlant). Je possède actuellement plus de 2.000 mp3 (versions officielles, demos, promos, unreleased, bootlegs, fan mixes, productions, collaborations, etc..). Comme tout collectionneur qui se respecte, je suis toujours à la recherche des morceaux ou versions qui me manquent. Je suis prêt à partager ma collection (via soulseek ou par envoi de cd gravés) avec ceux qui me permettront de compléter ma collection. Amateurs, faites vous connaitre ! A +

- De vinylations le 29/8/2004. Pays: Belgique   Région: bruxelles

Hi , I am selling my whole PSB collection inclusive TOP RARITIES from JAPAN...Please E MAIL for list.... THanks Alex

- De Alex le 11/8/2004. Pays: [-- Autre --]  

Article "télémoustique" par BD: "Les Pet Shop Boys revisitent Eisenstein". Génie pop des années , les Pet Shop Boys ont inventé une musique électronique dansante d'un genre nouveau.Populaire mais haut de gamme,résolument gay mais tout publics,intellectuels et précieux mais toujours accessible, l'ex jounaliste de smash hits Neil Tennant et son comparse Chris Lowe n'ont jamais eu peur du grand écart artistique. Eux qui ont repris jadis go west de village people vont s'attaquer à présent à l'undes plus formidables symboles de l'histoire du cinéma.Ils vont ainsi créer et interpréter une nouvelle bande son pour le chef d'oeuvre de Sergei Eisenstein:Le Cuirassé de Potemkine(1925). Le duo proposera le 12 septembre prochain à londres, dans un concert gratuit à trafalgar square,sa nouvelle B.O.,inédite,du film.Tennant et Lowe seront accompagnés pour l'occasion par les 26 musiciens du Dresden Sinfoniker. Trés enthousiastes, ils ont expliqué qu'il s'agirait d'une nouvelle musique, majoritairement instrumentale mais qu'il y aurait également trois nouvelles chansons. Commissionné par le Institute for Contempory Arts et mis sur pied avec la bénédiction du maire de Londres, l'événement, qui sera également le premier concert gratuit des Pet Shop Boys, s'annonce déjà comme un des temps forts de la rentrée. On se souviendra néanmoins que dans les années 80, Giorgio Moroder s'était attaqué sans gloire au Metropolis de Fritz Lang en prenant le pari d'une musique farouchement électronique.Gageons que les Pet Shop Boys ne répéteront pas cette incongruité.-B.D.( de plus dans cet article ,il y a une très belle Photo des Boys;) )

- De virginie.be le 29/7/2004. Pays: Belgique   Région: Huy-Waremme.

Depuis mon précédent message du 8/2/2003, les choses ont bien changées. J'ai apris qu'un nouvel album sortait en belgique en novembre de cette année. Sans plus de précision. Personne d'entre-vous n'a rien entendu sur le sujet? Je suis d'avis de dire que les PSB ont très réussi le passage de années 90. On a beau critiquer la tenue. Il faut être connaiseur pour admirer ce groupe. J'ai toujours une crainte quand ils sortent un bouvel album, c'est qu'il soit le dernier. Une carrière comme celle des PSB avec des succès à ne plus compter, c'est exeptionel.Ravi de savoir que ce site existe toujours car en Belgique...hum...pas de commentaire. Je regrette que les radios ne suivent de plus près les PSB. Chaque fois que je les entends à la radio, c'est le titre it's a sin. D'accord, j'adore mais il n'y a pas que celui là. Il ne reste plus qu'à les encourager encore et patienter pour leur nouvel album. Merci de poursuivre.

- De RINALDO RUDI le 24/5/2004. Pays: Belgique   Région: ENGIS-Prov.Liège

C’est Haut et fort que je dis : Night Life est vraiment un excellent album qui avait conquit de nouveaux fans mais l’erreur de release est d’avoir complètement changé de style. Quand j’entend « for you own good” ou “closer to heaven” je me régale, c’est génial mais je me dis que les pet shop boys sont des imbéciles . En France Night Life a très bien marché et en grande partie grâce à « new york city boys » comme dans le monde d’ailleurs, de nouvelles personnes ont adorés cet album et attendaient la suite , mais la suite, c’est release . pour des fans de longues date et habitués aux changements radicaux de PSB c’est passable mais pour les nouveaux c’est zéro. Si je dis cela, c’est par ce qu’en France il n’y a pas grand chose autour des PSB et si il y avait plus de fan il y aurait plus d’activiter. « I don’t know what you want… » est très bon aussi. Ce matin je met ce CD sur ma platine et je me régale et je me dis merde !c'est formidable! Aussi il n’y a aucune continuité entre chaque album, c’est bien que se soit différent mais là c’est trop de difference etre deux albums! impossible de prendre racine, le motoculteur passe avant. c'est comme si c’était chaque fois un nouveau groupe qu’il fallait découvrir et apprendre à apprécier. c'est domage car nous aurrions pu être plus en france. Bref je suis en colère contre les PSB même si je suis fan de la première heure. être fan c'est aussi cela.

- De Phil le 21/5/2004. Pays: France   Région: MARSEILLE

quiero decirles que son lo maximo

- De spencer anderson le 29/4/2004. Pays: Pérou   Région: trujillo

PET SHOP BOYS a propos de POPART : Et si, finalement, il fallait prendre au sérieux le titre de cette compilation ? Et si, au fond, Pet Shop Boys était l'une des plus importantes œuvres Pop Art du siècle ? En termes de popularité, la question ne se pose sans doute même pas : les 35 titres que regroupe cette compilation ont tous atteint le sommet des charts et se sont vendus à des milliers d'exemplaires. En termes de thématique, là aussi, les choses semblent assez simples : depuis le faussement cynique Opportunities (Let's make lots of money) de 1985, Neil Tennant et Chris Lowe exposent l'inconscient collectif de nos sociétés modernes, leur consumérisme, leur hédonisme et leur individualisme. En termes de représentation enfin, le DVD de 40 vidéos qui sort en même temps et sous le même titre que la compilation vient opportunément le rappeler, les Pop Shop Boys ont utilisé tous les codes de la culture de masse, jouant sans cesse de leur image, revendiquant la superficialité, la vulgarité et même un certain kitsch. Entre Gilbert & Georges et Madonna, les Pet Shop Boys pourrait donc sans doute passer pour la plus parfaite synthèse de la culture tel que le XXe siècle l'a reconfigurée : l'ultime opium d'un peuple qui préfère rêver sa vie que la changer. Mais cette apparence n'est que le moyen de faire entendre le discours un peu désenchanté de moraliste post-moderne : ultime argument pour considérer Pet Shop Boys comme la quintessence du Pop Art et une œuvre essentielle.

- De POPINGAYS le 27/4/2004. Pays: France  
  http://www.popingays.com/

Pet Shop Boys A propos de Disco 3 [Parlophone / EMI] Attention, chef d’œuvre ! Que les inconditionnels des Pet Shop Boys se le disent, ce disque, fort peu attendu, surtout après "Release", un album de pop anglaise presque acoustique, est la meilleure production du groupe depuis It’s a Sin ou encore Go West. Des tubes au kilomètre, de l’électronique à outrance pour dancefloors enflammés. À la différence des deux premières parties du concept "Disco" (concept consistant à sortir des albums de remixes reprenant quelques hits des deux ou trois albums précédents), le "Disco 3" comporte autant d’inédits que de remixes. Et le résultat est tout simplement impressionnant car il n’y a pas une erreur de parcours. Les nouveaux morceaux, très futuristes dans les instruments employés et les voix retravaillées, sont tous des petites perles : Time On My Hands comme un hommage british à l’art kraftwerkien de la répétition des slogans mécaniques, Positive Role Model (déjà présent en face B de "London", le précédent single) avec un art du sample à vous faire aimer Barry White (si, si, c’est possible...), Try It (I’m Love With a Married Man) ou le génie de faire revivre les grandes heures de Giorgio Moroder, Somebody Else’s Business et ses rythmiques quasi–tribales et If Looks Could Kill comme un concentré de toutes les facettes musicales des Pet Shop Boys : jamais guitare et boîte à rythmes n’auront aussi bien fusionné dans une chanson. Quant aux remixes, qui se marient à merveille aux inédits, ils font oublier à jamais les versions pop présentes à l’origine sur "Release" : London (en deux versions), Here, Sexy Northerner et Home and Dry sont de véritables bombes, entre disco et euro dance, avec un son intemporel, quelque part entre Cerrone et Faithless. À consommer d’urgence ! Stéphane Colombet

- De Stef le 21/4/2004. Pays: France  

salut à tous ! j'aime tellement la musique des psb, de jours en jours ça devient ma drogue ! ç'est tellement frais funny pop que ç'est vraiment difficile de ne pas succomber à leur musique ! j'aimerais tant correspondre avec d'autres fans et surtout trouver des fans dans mon département ! aude (11) ou même la région languedoc roussillon ! difficile de weepygouzylipy avec mes amis des psb sans leur prendre la tête et les rendre chèvres !! j'avais un ami qui aimait bien mais il est mort lan dernier à l'age de 69 ans dans un accident de la route ! je m'en suis jamais remis, pas de la perte de mon ami, mais de ne plus pouvoir parler des psb à quelqu'un d'autre! je ne suis pas spasmophile mais je vais le devenir si je ne trouve pas quelqu'un pour parler de ça !! j'aimerais pouvoir danser comme une folle sur leur musique sans me prendre la tête ! être insouciant et libre comme un oiseau ! la musique des chiens du magasin est régénératrice sans eux je serais déjà vieux et laid ! venez me parlez !

- De Stuckle le 14/4/2004. Pays: France   Région: languedoc roussillon (aude11)

Pet Shop Boys. Voilà un nom qui inspire toutes sortes de réflexions lorsqu'on l'entend. Surtout lorsqu'il est associé à l'anglicisme « Best Of ». Vous avez peur ? Neil Tennant et Chris Lowe, les dits Pet Shop Boys, auraient-ils définitivement basculé du côté obscur de la Force ? Relax. La carrière des PSB a été suffisamment riche (13 albums) et longue (20 ans tout de même) pour donner lieu à une rétrospective. Retour sur un monument de la pop. PopArt est un assemblage des plus complets. Deux CD regroupant la quasi-totalité des singles parus, soient... 35 titres ! De quoi retracer fidèlement la carrière des deux hommes. Aucune référence du groupe n'est oubliée, de quoi nous rappeler que Neil et Chris ne sont pas seulement des producteurs, mais surtout des auteurs-compositeurs. Et c'est dans cette optique que la sortie de PopArt est légitime : rappeler au public que le travail des PSB est consistant, que les deux joyeux lurons ne se sont pas contentés d'apposer leur signature sur des tubes à la chaîne. Un travail tellement impressionnant qu'il a fallu diviser la rétrospective en deux CD aux noms originaux (et surprenants…) : Pop & Art. Le premier se veut dansant alors que l'autre est supposé plus... spirituel. Une sorte de clin d'œil à George Michael, qui avait usé de ce principe pour son propre best of ? Allez savoir... Le clivage est de toute façon moins cartésien, plus subjectif. Ainsi on peut entendre retentir sur Pop les disco « It's a sin », « Always on my mind », l'imposante et kitschissime reprise des Village People « Go west », mais aussi la tristesse minimaliste de « It's alright ». De son côté, Art recèle en son sein des perles de mélodies pop (« West end girls » et consorts). Un vrai labyrinthe musical. Les titres de Pop et Art devront donc être considérés comme des pictogrammes permettant de distinguer un disque de l'autre. Une fois cet obstacle dépassé, on appréhende mieux la disposition des chansons les unes par rapport aux autres. Et donc la globalité du double album. Dans cet opus, peu de choses à jeter, beaucoup à garder. C'est le principe du best of me direz-vous, et bien oui, en théorie. La situation n'est pas rare où l'on achète un best of dont l'intérêt se limite à quelques (4, voire 5) chansons de l'artiste. Et il est fascinant de constater que pour les Pet Shop Boys, ce n'est pas le cas. Certes, pour beaucoup, les titres les plus évocateurs resteront les hits absolus que sont « Go west » et « West end girls ». Lorsque l'on sait que les Pet Shop Boys des années 90 sont passés quasiment inaperçus en France, ça ne surprend pas. Ce qui surprend c'est la facilité avec laquelle ils réussissent à se hisser en haut des charts londoniens de manière quasi-systématique. Pour essayer de reconquérir un public français qui a boudé quelques uns des classiques qui ont jalonné la vie du groupe, la compile propose une version inédite de « New York City Boy » revisitée en « Paris City Boy ». Le résultat n'est pas brillant, à la limite du ridicule. L'adaptation aurait pu être séduisante si la maison de disques ne l'avait pas imposée au groupe dans le seul but de rentrer dans les quotas de chansons françaises. Voilà une bien mauvaise façon de rattraper le temps perdu et de mettre en valeur la musique et le talent des Pet Shop Boys. Un son unique, des paroles laissées libres à l'interprétation de chacun (et un, et deux, et trois degrès !), des mélodies entêtantes, une ironie kitsch maladroitement assumée : tout y est. L'art de faire de la bonne pop. Et cet art de la pop, les PSB le connaissent bien. Un peu trop bien, diront certains. Car même si leur carrière est un exemple en la matière (longévité et qualité), on a toujours reproché aux PSB - en France surtout - de faire des chansons commerciales. Mauvaise foi à part, cette compilation devrait prouver que si la musique de PSB est simple, elle n'en demeure pas moins intelligente. Et c'est encore le cas aujourd'hui. Au travers de ce PopArt Neil et Chris nous présentent deux nouvelles chansons des PSB : « Flamboyant » et « Miracles ». Et quand bien même la simplicité de « Miracles » peut être critiquable, sa beauté ne peut pas être remise en cause. Et finalement, n'est-ce pas là tout ce que l'on demande à la pop : qu'elle soit belle. Remarque : l'édition limitée de ce coffret comporte un troisième CD, intitulé sobrement Mix, contenant des remixes de chansons petshopiennes par divers pointures du mix, dont Moby. Rien d'extraordinaire, le CD s'avère un peu fatiguant, à moins que vous ayez une passion pour la dance ou pour les plats réchauffés. Bref un petit plus qui n'apporte rien si ce n'est le regard de Neil Tennant et de Chris Lowe sur leurs 10 remixes préférés, et bien évidemment un plus joli coffret à un prix encore un peu plus élevé (forcément). 20 janvier 2004 Alexandre Buhler

- De Alexandre Buhler le 16/3/2004. Pays: France  

Je suis ravie d'avoir trouvé votre site. Je suis fan des PET SHOP BOYS depuis mes 15 ans. Le temps passe car j'en ai 31 ! Il est très difficile de trouver leurs albums récents dans les magasins. Ils faut croire qu'ils "boycottent" ce groupe ! Même à la FNAC, mission impossible ! Personnellement, je recherche un album qui comporte le même style de musique que "in the night", très disco.... Merci pour vos renseignements ! Bonne journée à tous !

- De FISCH ANGELE le 27/2/2004. Pays: France   Région: VAR

Des années 80, on a fait table rase. Mis à part les albums de Prince et quelques déhanchements en culotte courte de Kylie Minogue. Avec le recul, il flotte quand même sur cette décennie comme un nuage sucré de pop synthétique, insouciante et désinvolte, celle des fastes années new wave, Top50 et claviers DX7. Pour cinquante groupes tombés dans l"anonymat, et quelques piteuses résurrections (A-Ha...), le tandem Neil Tennant/Chris Lowe demeure comme l"un des rares à avoir su, au-delà d"un succès club constant, cultiver sa manière. Sorte d"autre côté du miroir des renégats Depeche Mode, leur côté garçons coiffeurs, leur musique divertissante et proprette, cette manière de délivrer sans états d"âme un éternel credo clavier-boîte à rythmes niais mais efficace, nourri à la disco de Giorgio Moroder. Nul ne leur reprochera en tout cas d'avoir surfé sur les courants dominants. Pour preuve, cette rétrospective en deux CD d"une étrange continuité, pompeusement (ou ironiquement) intitulée Pop Art. Des hits collégiens des débuts (Suburbia, It's a sin, Allways on my mind) au tout dernier album Release commis avec Johnny Marr des Smiths (Home and Dry, I Get Along), une bonne coupe de champagne au goût british, pour trinquer à la santé de ces soirées-là. Jérôme Boyon - alapage.com

- De JB le 11/2/2004. Pays: France  

Moments critiques de TETU magazine: Pet Shop boys: reines du drame. Les Pet Shop Boys se déclinent façon "pop art".Dérrière cet intitulé, on retrouve un best of (popart the hits), qui rassemble les 45 singles sortis par le groupe entre 1985 et aujourd'hui, assorti de deux inédits (Miracles et Flamboyant), en attendant-cerise sur le gateau-le version Française de New York City Boy, appelée à devenir le nouvel hymne officiel des rugbymen du stade Français. Outre cette rétrospective, qui devrait considérablement simplifier les cadeaux de Noel, on retiendra le DVD Pop Art-The Vidéos, qui compile les 40 vidéos du groupe, futur outil de choix dans tout séminaire queer, genre "travestissement et culture pop", "Hi-NRG et campitude", "Opéra et sampleurs"...Parangon du couple gay, les Pet Shop Boys-sorte de Wham ! revisités par Gilbert et George - n'ont eu de cesse, tout au long de leurs clips, de se mettre eb scène comme dans un cabaret. Ainsi, ils ont incarné moult personnages: des juifs hassidiques (opportunities), des dandys décadents (It's a sin), desyuppies (Single Bilingual), des chauffeurs de limousine (Rent), avec, a chaque fois, des looks plus déments (et ridicules) les uns que les autres : de la coupe de cheveux gélifiée style Laurent Guyot à la parodie de B boy des frisettes semblables à celles que pourrait arborer un boy's band en couverture de Smash Hits à la soucoupe volante sur la tete, façon Devo. Mélancolique, on parcourt le DVD et on redécouvre à quel point les jeunes Latinos de "Domino Dancing" étaient sexy. Mais on constate aussi que la vidéo de "Being boring", réalisée par Bruce Weber, a terriblement vielli. Heuresement, dans ce lot de pulsions costumées et maquillées, d'effets de style et d 'effets spéciaux, de kitcheries et d'audaces, ce sont les chansons elles memes qui troublent le plus, par leur capacité à associer des paroles cruelles et cyniques à des musiques fusionnant Hi-NRG, influances Stock, Aitken et Waterman et eurodance. Une manière flamboyante de pénétrer au coeur de l'essence de la pop: le drame ! Patrick Thévenin. TETU décembre 2003.

- De P A S C A L le 19/12/2003. Pays: France  

bonjour a tout le monde, je m'apelle anthony j'ai 24 ans mon groupe préférer est scooter , et les pet shop boys que je suis depuis 1997! j'ai commander le dvd pop art et je l'attend avec impatience,j'ai le livre pet shop boys A a Z, il est très bien illustré, c'est un livre que je recommande a tous, j'ai tout les albums des psb , j'ai aussi beaviour further listening, c'est vraiment bien qu'il sorte des nouvelle édition de leur ancien album.ce site français est remarquable, tout est complet ,les photo sont très belle. la 1ère video que j'ai acheter est le live somewhere, étant un spasmophile les pet shop boys me détende!et puis j'adorre les son de synthé des année 80's . la voix de neil est nonchalente, pas ennuyeux , il a la voix qui colle bien a leur production. comme quoi on peut aimer comme moi de la techno comme scooter ,du heavy métal comme metallica et aimer les pet shop boys

- De coucke le 19/12/2003. Pays: France   Région: seine - maritime 76

Bonjour à tous! Je suis ravi de redécouvrir enfin l'intégrale des clips de notre groupe fétiche! Le son du DVD et les images sont super. J'espère que le groupe reviendra bientôt en France faire un concert, car je n'ai pas encore eu la chance de les voir... Quand je pense à ces veinards d'Anglais qui ont eu droit à une séance dédicaces dans un magasin de disques.... S'il y a des fans qui veulent correspondre avec moi, no soucy! à bientôt! Stéphane du 91 :-)

- De Stéphane le 6/12/2003. Pays: France   Région: Région Parisienne
  http://membres.lycos.fr/bionicboy

Je cherche des "fans" de ma région pour en apprendre davantage sur mon groupe préfèré. Le dernier album bien qu'il ne soit composé que de tubes est une merveille. Si vous les avez vu en concert, dites moi comment c'est, je rève de les voir mais pour le moment il n'y a pas de concert prévu, à moins que j'aie raté une info. Merci pour vos réponses. ALAIN (alainysl)

- De alainysl le 29/11/2003. Pays: France   Région: belfort (franche comté)

PopArt dans "Illico" : Les Pet Shop Boys sont vraiment trop trendy !! Depuis dix neuf ans, les Pet Shop Boys naviguent entre pop et art, entre hits consensuels et collaborations plus pointues avec des artistes de l'avant garde comme Derek Jarman ou le photographe Wolgang Tillmans. Récemment, ils ont remixé pour Gigolo records un titre d'ATOMIZER, le duo hyper braché des soirées NAG NAG NAG, référence du clubbing hype en ce moment a Londres ! PopArt était donc le titre idéal pour cette compile qui sort aujour'hui regroupant les 32 hits entrés dans le top 20 anglais, témoignant du talent du duo à aligner des tubes entre joie et nostalgie et a rester en prise avec leur époque. D'apres Neil Tennant, le premire cd "pop", réunit des singles de pop euphorique, alors que le deuxieme "art", contient "des chansons qui sortent de l'ordinaire, impliquant des commentaires plus que des paroles claires et directes", Des titres comme "go west", "always on my mind"n "domino dancing" sont pop tandis que "so hard", "west end girls" ou le sublime "being boring", rélèvent de l'art ! En bonus, ils livrent deux nouveaux titres inspirés, "miracles" et "flanboyant", ou l'on retrouve leur sens indéniable de la mélodie et de la composition. Le pressage Français comporte une nouvelle version tres queer de "New york city boy" qui devient "Paris city boy", tube en puissance. A noter qu'une édition limitée avec un troisieme cd, "mix", regroupe dix des remixes préférés de Chris et Neil et qu'un DVD rassemblant 41 clips et interview sort en meme temps.

- De Cicero le 28/11/2003. Pays: France  

“PopArt”, les tubes ! De la pop élevée au rang d’art… Plutôt que jouer la facilité en se fondant dans le moule d’un genre ou la masse d’un courant, Neil Tennant (originaire de Newcastle) et Chris Lowe (Blackpool) ont choisi d’inventer, dès 1981 un style pop net et précis, en respectant une ligne de conduite artistique et ludique dont ils ont promis de ne jamais se départir. En apparence, leur formule, qui n’a rien d’une recette, est simple : sur un parterre rythmique dance et synthétique concocté par Chris, ils diffusent des séquences d’accords enjouées ou mélancoliques qui deviennent des décors de rêve pour la voix de Neil, véritable flamme fatale qui chante des textes d’une intelligence rare teintés d’ironie british, que même Morrissey leur envie. En apparence seulement, car bien sûr, chez les Pet Shop Boys, princes anglais de l’élégance qui ne cultivent le maniérisme qu’à bon escient, tout est affaire de qualité des ingrédients, de dosage, de temps de cuisson. I Don’t Know What You Want But I Can’t Give It Anymore”, deuxième titre du second CD de “PopArt”, leur nouvelle compilation de tubes (la première depuis “Discography” en 1991), est l’exemple même de ce qu’ils sont seuls à savoir faire. Dès les premières mesures, on entend les Pet Shop Boys et personne d’autre. Ce style altier, cette humeur faussement libertine si policée, la façon dont la mélodie dévale la structure harmonique sont uniques. La voix de Neil Tennant, perchée haut, chargée d’expériences de vie et d’angoisses masquées, surfe sur des couplets montés en neige poudreuse avant d’éclater dans le refrain, sans avoir regardé une seule fois vers le bas. Plus directe, “Go West”, chanson d’ouverture du premier CD de “PopArt”, assume pleinement ses origines discoïdes, persiste sous la boule à facettes et signe à quatre mains un des plus beaux hymnes à la gloire de la pop jamais composés. De manière idéale, ces deux chansons, ces deux extrêmes insolents de caractère et d’efficacité, délimitent l’univers d’un duo résolument post-moderne qui continue d’évoluer, album après album (“Release”, paru en 2002, est déjà leur dixième), tout en mettant un point d’honneur à rester le même. Retracer la carrière des Pet Shop Boys en quelques lignes est impossible tant ces deux oiseaux de nuit, les premiers à avoir réussi à jeter un pont entre la pop et la dance, sont travailleurs et curieux. En guise de repères biographiques, on citera pêle-mêle les noms évocateurs de Bobby Orlando (leur premier producteur), Stephen Hague (arrangeur de “West End Girls” en 1985), Penelope Spheeris (son film “Suburbia” a inspiré aux PSB la chanson du même nom), Derek Jarman (vidéaste de la fameuse “It’s A Sin” de 1987), Dusty Springfield (chanteuse sur “What Have I Done To Deserve This ?” et “Nothing Has Been Proved”, thème principal du film “Scandal”), Sterling Void (artiste house de Chicago compositeur de “It’s Alright”), Trevor Horn (producteur de “Left To My Own Devices” en 1988), Liza Minelli (les PSB lui ont écrit et produit l’album “Results”), Electronic (les deux groupes ont régulièrement collaboré depuis que Neil Tennant a chanté sur “Getting Away With It”), Harold Faltermeyer (producteur du monumental “Behaviour” de 1990), U2 (interloqué par leur reprise disco de “Where The Streets Have No Name”), Boy George (la voix de “The Crying Game”, chanson des PSB écrite pour le film de Neil Jordan), Blur (la chanson “Boys And Girls” a été remixée par les PSB), David Bowie (“Hallo Spaceboy” a été démontée puis reconstruite par les PSB), Tina Turner (les PSB lui ont composé “Confidential” pour son album “Wildest Dreams”), Noel Coward (sur une compilation en forme de tribute, les PSB reprenaient “Sail Away” en 1998) et Gus Van Sant (à la demande du cinéaste, ils ont écrit “Screaming” pour la BO de son remake de “Psycho”). Plus récemment le duo magique a collaboré avec Kylie Minogue (elle a chanté en duo avec Neil Tennant sur “In Denial”, perle de l’album “Nightlife”), l’auteur Jonathan Harvey pour la comédie musicale “Closer To Heaven” montée à Londres en 2001, Peter Rauhofer, le temps du single “Break 4 Love”, ou Yoko Ono pour qui les PSB ont remixé “Walking On Thin Ice”.

- De Cicero le 27/11/2003. Pays: France  

"Comme ça" magazine : Il fallait bien 2 cd pour magnifiquer l'un des plus grands groupes pop de ces dernieres décennies. Airs simples aux orchestrations en prise avec leur époque,paroles d'apparence modeste mais aux interlignes tres riches, ce duo anglais avait tout pour etre fédérateur et fut donc souvent détesté. Mais si certaines sonorités sont un peu démodées, les mélodies de ces 40 titres restent indémodables et retracent avec éfficacité la carriere riches de plaisirs et d'émotions vraies d'un des rares groupes pop qui a su traverser les ages. Historique. CG

- De Cicero le 26/11/2003. Pays: France  
  http://wolverinexperience.free.fr/

Article paru le 24 novembre 03 dans le journal "la meuse"écrit par Sam Christophe à Londre: Ils sont là depuis le début des années 80, c'est dire s'ils peuvent se targuer d'une longue carrière dans la pop-music. Les Pet shop boys, duo londonien, se fendent en cette fin d'année d'un nouveau double best of(35 titres)et d'un copieux dvd ( 41 vidéos et une longue interview). Evidemment,ceux qui ont un temps été surnommés les "Smiths de la musique de danse" ont vieilli. Le chanteur Neil Tennant , le cheveu gris et rare ne frise plus que la cinquantaine. Le clavier Chris Lowe est un peu plus jeune(44 ans)mais continue à camoufler ses traits sous la visière de sa casquette. Après deux décénnies de chansons intelligentes et plusieurs gros succès au hit parade( "west end girls", "heart" ou "it's a sin"), les pet shop boys ont marqué le pas.Ilsle concèdent volontier... "Nos trois derniers albums,reconnaît Neil Tennant,ont eu moins de succès.je ne crois pas que la qualité de nos chansons soit en cause.Nos chansons d'aujourd'hui sont aussi bonnes que celles qui ont cartonnées de 1985 à 1993.Mais comment un public de masse pourrait-il rester accroché à un groupe comme nous sur une aussi longue distance? Si je regarde les exemples autour de moi, je dirais que le secret d'une longévité dans le monde de la pop-music, c'est de vendre du sexe. Mick Jagger,Madonna ou même Kylie Minogue ont toujours injecté un élément sexuel dans leur musique,tout en bénéficiant de l' apport de sang neuf de jeunes collaborateurs conviés à réaliser leurs disques...Ce que nous faisont pas.Mais bon,ce n'est pas un vrai problème.des gens aussi respectables que Bob Dylan vendent eux aussi moins de disques.cela n'empêche pas decontinuer une carrière exemplaire." Du sexe, les pet shop boys n'ont, c'est vrai'jamais fait leur champ de bataille.Pourtant,il y a 7 ans,Neil choisissait avec le morceau "metamorphosis" d'évoquersans le moindre détour son homosexualité,ce qu'il n'avait , jusque là, fait qu'à mots couverts."cela ne veut pas dire pour autant,retourne neil, que nous fassions de la musique spécifique pour les gays. D'ailleurs,à l'heure actuelle, je ne crois qu'il y ait une musique gay.La dernière en date, c'était la house..." Parlant de la compilation qu'ils sortent aujourd'hui?les pet shop boys insistent sur un aspect de leur style qui ,à leur estime,a été toujours caché." Les gens vont pouvoir se rendre compte à quel point, musicalement, nous sommes d'incroyables romantiques.C'est étonnant,parce que c'est plutôt notre sens de l'humour que les gens perçoivent et retiennent. D'autres estiment même que nous sommes un groupe cynique...Bien sûr,dans ce que nous écrivons,il y a toujours une base auto biographique,mais rien n'est jamais tiré à 100%de nos expériences de vie." Seule omission du best of : les collaborations avec lisa minnelli, dusty springfield, david bowie ou blur n'ont pas été incluses."Cela n'aurait pas cadré , dit Neil ,mais travailler avec des stars m'a toujours intéressé,parce que le phénomène est fascinant .Lisa Minnelli,par exemple,reste la dernière d'une génération hollywoodienne incroyable.Dés sa naissance, elle était dans le journal.Là, je l'ai revue récemment.A 70 ans ,elle est toujours superbe.Je me demande si Yoko Ono est aussi bien conservée..."

- De virginie.be le 24/11/2003. Pays: Belgique   Région: huy -waremme

Je recherche des fans de Pet shop boys dans le département du Bas-rhin pour partager passions, alors avis aux amateurs!

- De Thierry le 22/11/2003. Pays: France   Région: Alsace

TRAX a propos de PopArt : La relation entre les Pet Shop Boys et la France est basée sur un malentendu. Alors que les Anglais voient dans le duo des faiseurs de "perfect pop songs" douces-amères, les Français (barrière de la langue oblige) ne perçoivent de Neil Tennant et Chris Lowe que l'image de deux vieux gays amoureux de disco et de dance music cheap. Si on ne peut nier que le fonds de commerce des Pet Shop Boys prend sa source dans la culture homosexuelle british, dans la lignée d'Oscar Wilde, il serait réducteur de ne retenir que des clichés de cette talentueuse paire. Depuis bientot vingt ans, Lowe et Tennant assaisonnent leur pop nonsense à la sauce électronique (house, électro, électroclash) pour des titres qui cartonnent dans les charts du monde entier (sauf en France). La preuve avec PopArt, qui compile leurs 33 singles entrés le top 20 anglais (dont les scies "Go West", "Always on my mind", "It's a sin", "West End Girl"), plus deux inédits ("Flamboyant" et "Miracles", produit et mixé par le junglist Adan F) et 10 remixes signés Danny Tenaglia, David Morales ou Sasha, qui éclairent leur fascination pour la dance, dans ce qu'elle peut parfois avoir de plus racoleur. PopArt ou l'occasion de redécouvrir un plan de la musique populaire anglaise et de réhabilitter un groupe peut-etre trop british pour s'imposer durablement chez nous. (Benoit Carretier).

- De P A S C A L le 19/11/2003. Pays: France   Région: Paris
  http://villagepeopleinparis.free.fr/

salut a tous, je viens d'ecouter le prochain single Miracles sur le site officiel des PSB, super morceau electro, j attends avec impatience les Remix , c est du pur PSB, le retour aux sources et ce qui a fait leur succès , qu en pensez vous ? si ya des fans sur marseille qu'ils se manifestent je me sens seul a+

- De psb31 le 29/9/2003. Pays: France   Région: marseille

cherche correspondent fan psb sur ma region pas email ;mon adresse fabrice berger 40 rue des paquerettes 17440 aytre ;tel 0616566659 merci; fab

- De fabrice berger le 14/9/2003. Pays: France   Région: la rochelle

Pour les fan et autres personne qui recherchent les disques actuellement en vente et qui ne sont pas ou plus dans les grands magasins (fnac, virgin etc.) ou pas non plus sur les sites internet de grande marque (alapage, amazon etc.) voici mon cadeau pour ceux qui ne le savent pas les PSB ont un succès supérieur en angleterre par rapport à la France donc mon idée à était d'allé sur le site anglais d'amazon donc: http://www.amazon.co.uk ici vous en anglettere sur la site amazon et vous allez voir comment sur ce site vous allez être bien aux petits soins !!!! souvent des choses rares ou à 90% indisponible dans les grandes enseignes française des boutiques en ville ou sur le net. Et puis STOP aux vendeurx import qui double ou triple les prix des disques!! ils aussi d'autres chose introuvable que http://www.amazon.co.uk n'a pas pas mais les nouveautées à 30€ le cd alors qu'il ne vaux que 10€ sur http://www.amazon.co.uk non. De plus, c'est aussi sur "http://www.amazon.co.uk" que j'ai trouvé les deux maxi cd MCD1 MCD2 de "yoko ono" "Walking on Thin Ice" cd1 et cd2 . il y à juste des frais d'export en sus mais pas si terrible que ça et en tous cas c'est jamais aussi cher que chez un importateur qui se fourni chez "http://www.amazon.co.uk" bon si vous pensez que ce message vous a fait vous dire que finalement la vie n'est pas si pourrie que sa, vous pouvez allé voir site sur la musique des années 80's. Doucement les commandes quand mêmes car il y a le loyer à la fin du mois :)))) Bien à vous tous.. Mp

- De ZIGO le 26/8/2003. Pays: France   Région: Marseille
  http://www.mp-studio.com

Fan depuis + de 20 ans, j'ai assisté au concert du Zenith le 7 fevrier 2000 et,plus recemment au concert du Grand Rex,en 2002. Effectivement,comme rappelé dans cette rubrique, le début du concert au Zénith a été "soft".Début avec Home and Dry en acoustic, A red letter day(acoustic),etc... C'était évidemment un concert pour fans, venus bien entendu écouter le dernier album, mais aussi des reprises de leurs classiques avec des nouveaux arrangements; Neil,aprés 4-5 titres cool,a mis le turbo en annonçant "some old disco songs",qui ont déclenché une superbe ambiance . Le choix du Grand Rex a été judicieux, car relativement petite, cette salle nous a permis une proximité avec les PSB et une QUALITE d'écoute rare. J'ai bien sur toute la discographie classique ainsi que les remix maxi,mais je suis toujours a l'affut de nouvelles versions, ainsi que d'infos sur leurs participations avec d'autres artistes. Par exemple, j'ai acheté recemment l'album de David Bowie où figure leur arrangement sur Hello Space boy(titre qu'ils avaient interprété lors du concert au Savoy theatre-excellent dvd-). Est ce que quelqu'un sait si le "Live in Rio" est dispo en DVD? Merci d'avance DEPBOY

- De depboy le 23/8/2003. Pays: France   Région: idf

Salut à tous. Déjà, un grand bravo pour ce site Français incontournable sur les Pet Shop Boys. Fans depuis la première heure 1984! le jour ou j'ai entendu "west end girls" j'avais 12ans! aujourd'hui 31 toujours fan. Bien que j'ai des preferences dans les differents lp des PSB, j'aime tout des PSB. J'ai fais découvrir les PSB à beaucoup de gens de mon entourage mais que ne sont pas aussi fan que moi. J'ai toujours eu du mal à rencontrer des fans de PSB et c'est pour cela que j'ai décidé de passer un message sur ce site. je suis donc sur Marseille, dans le 13ème et je recherche donc un ou plusieurs fan des PSB , filles et garçons pour partager cette passion musicale et pour écouter cette musique autrement que seul, c'est presque un S.O.S. :)) bon et bien j'attend des nouvelles de vous bientôt. Amicalement, bien à vous.

- De ZIGO le 10/8/2003. Pays: France   Région: Marseille
  http://www.mp-studio.com

Salut Bob, il est clair que les PSB ont toujours affiché une volonté d'avoir une identité visuelle-en parallèle de leurs productions-propre à leur univers...c'est souvent aussi le cas avec d'autres grands artistes tels que David Bowie( cf période Ziggy Stardust), Peter Gabriel( cf période Genesis où il était déguisé en pâquerette sur scène!), les Depeche Mode ( cf Martin Gore) etc...c'est ce qui d'ailleurs fait réagir le public, dont acte! Daho a aussi évoqué dans la presse ( cf Magic! Revue Pop Moderne) que Neil Tennant lui avait proposé d'autres titres inédits de très bonne facture, mais qui ne coïncidaient pas avec l'ambiance de son prochain album, il ne reste plus qu'a espérer qu'elles seront enregistrées et, pourquoi pas, disponibles en face B des singles...

- De jef le 4/7/2003. Pays: France   Région: LENS

Bon, voyons voir ça: "A AVOIR REUSSI A NEGOCIER LE VIRAGE DES ANNEES 90 SANS TOMBER DANS LE RIDICULE" bwahahahahahahaaaaaaaaaaa! Ils ne sont pas tombé dans le ridicule mais ils ne sont pas passé loin non plus! Avec leurs costumes style "pointer sisters"... no comments

- De Bob le 4/7/2003. Pays: France   Région: Lille

CONTRAIREMENT A CERTAINS GROUPES NES AU DEBUT DES ANNEES 80, LES PET SHOP BOYS SONT UN DES RARES GROUPES A AVOIR REUSSI A NEGOCIER LE VIRAGE DES ANNEES 90 SANS TOMBER DANS LE RIDICULE, EN CONCERVANT DES TEXTES PROFONDS , HUMORISTIQUES, TOUT EN AYANT UN FORMIDABLE SENS DE LA MODERNITE DANS LEURS SONS! JE SUIS PRET A PARIER QUE PAS MAL DE DJ CE SONT INSPIRES DE LEURS PRODUCTIONS...JE ME SUIS LAISSE DIRE DERNIEREMENT QU'ETIENNE DAHO SERAIT SUSCEPTIBLE DE REPRENDRE "YOU CHOOSE" POUR SON PROCHAIN ALBUM, CE SERAIT GENIAL! LET'S WAIT AND SEE...

- De jef le 3/7/2003. Pays: France   Région: LENS

J'ai aimé les PSB étant jeune. En grandissant, je me suis rendu compte que ce qui me donnait de l'urticaire et de l'acné depuis de nombreuses années était le disco! Depuis je n'écoute plus PSB. En fait, je les trouve ringards (oui oui sérieusement) mis à part 2 ou 3 singles (mouais). J'ai même été les voir en concert lors d'un passage à Bruxelles! Ce fut le ocncert le plus insipide de ma vie! C'était l'usine...un chantier en construction! Franchement, c'est à écouter chez vous (si vs aimez) mais pas en concert, par pitié! Bon et bien voilà, j'ai bien critiqué, ça fait du bien de temps en temps. Au fait, ce n'est pas parce que les PSB sont des chochottes que je dis ça...mais peut être que leur problême vient de là après tout. MORT AU DISCO! UNISSONS NOUS CONTRE LE DISCO ! PENDEZ LE DJ, PENDEZ LE DJ!! je suis LMAO bwahaha

- De Bob le 2/7/2003. Pays: France   Région: Lille

je viens de feter mes 35 ans et je suis toujours autant fan des psb Ceci depuis debut 1986,c'est a dire la moitie de ma vie.Je les ai vus en concert en 1991.En 2002 je les ai vus avec le même enthousiasme.....intact.J'espere les revoir avant 2013 que ce soit en France ou ailleurs.Quelqu'un ici disait que ses enfants aimaient les psb,je peut lui dire que son cas n'est pas exclusif

- De jean le 3/6/2003. Pays: France   Région: nord

Hé EUROBOY, veux tu faire le 195 STP

- De CSP2 RAOUL le 26/3/2003. Pays: France   Région: Alsace

Demandez-moi la liste illustrée de PET SHOP BOYS : articles de presse français & internationaux, posters, vinyls, cd...à prix "symboliques" soit par email (fichier ouvrable sous excell) soit par courrier. Bien cordialement. thierry.caille@voila.com

- De thierry le 20/2/2003. Pays: France   Région: seine et marne

Cela fait plusieurs mois que je recerche un site en français sur le meilleur groupe pop de tous les temps. Félicitations pour votre site hyper complet. Les PET SHOP BOYS resteront gravés dans nos mémoires et je peux vous assurer que mes enfants adorent aussi. Comme quoi les PET SHOP BOYS ne sont pas de se faire oublier. Je regrète que leurs succès ne soient pas aussi diffusés en radio que les bref tubes du moment. Il n'y a aucunes comparaisons entre les PET SHOP BOYS et les autre groupe pop. Il sont tout simplement LES MEILLEURS. Leur dernier album "Disco 3" est fantastique. Je ne suis pas prêt de m'en lasser. Je suis en train de réécouter le titre "London (genvine Piano Mix)" avec cette superbe voix que celle de NEIL, c'est tous simplement sans commentaires.

- De RUDI RINALDO le 8/2/2003. Pays: Belgique   Région: Liège

S'il est un groupe pop connu et reconnu dans le monde, il s'agit bien des Pet Shop Boys. Pourtant, en France, les Pet Shop Boys ne sont pas appréciés à leur juste valeur, ainsi que l'on peut le lire dans la critique de Libération ci-dessous. En effet, seuls les passionnés de la première heure ayant suivi de près l'évolution musicale de nos désormais quadragénaires anglais savent et sont convaincus de l'ironie et de la mélancolie qui entoure tout ce qu'entreprennent les Pet Shop Boys. Il est évident qu'ils prennent un malin plaisir à surprendre, à être tantôt pop, tantôt dance, à remixer des tubes d'hier (Where the streets have no name, Go West) en portant des chapeaux oranges et bleus et même à participer à une comédie musicale, tout ça pour tenter de nouvelles expériences. Alors oui, on peut critiquer le son dance ou l'influence Village People de certains albums, mais force est de constater que quelle que soit leur envie du jour, pop ou dance, tout ce que les Pet Shop Boys entreprennent est couronné de succès, qu'il soit mondial ou d'estime, selon les régions du globe. Et l'on ne peut avoir aucun doute sur leur état d'esprit et leur talent d'auteur(s)/compositeur(s) quant on touche du doigt la profonde ironie de textes comme "How can you expect to be taken seriously ?" ou encore "Yesterday when i was mad". Et que dire de la mélancolie teintée de douleur de textes comme "Left to my own devices" ou "It's a sin" ? Je pourrais encore évoquer la voix incroyable et unique de Neil Tennant, que Lisa Minelli tient pour l'une des plus belles au monde, mais il est inutile d'en parler. Mieux vaut fermer les yeux et écouter. NB : si vous le pouvez, téléchargez sur le net un morceau libre de droits qui est un enregistrement d'une émission de TV anglaise avec les PSB et Elton John. Neil Tennant qui chante "I believe in love" (titre original : "Song for a guy" - Elton John), c'est... incroyable.

- De Miko le 13/1/2003. Pays: France   Région: 67
  http://membres.lycos.fr/creativite/

Je regrette amèrement que les Pet Shop Boys n'aient pas le succès qu'ils méritent que ce soit ici ou bien ailleurs avec le succès d'estime de leur dernier album. Pourtant ce sont ceux qui ont permis de faire découvrir au grand public de grands remixeurs, la qualité de leurs textes, leur ironie et leur humilité devrait servir de leçon à beaucoup de gens qui se prétendent chanteurs et/ou auteurs/compositeurs ! Ce sont des artistes rares et nous avons une chance inoui d'en être fans les autres se privent de quelque chose de grandiose ! Ce site est vraiment excellent, sincères félicitations ! Virginie

- De virginie le 15/11/2002. Pays: France   Région: Paris

Une partie des propos ci-dessous ont paru dans le numéro 71 (avril 2002) du magazine Start Up. Chris Lowe : Est-ce qu’on ne s’est pas déjà rencontré auparavant ? Votre visage m’est familier. Neil Tennant : Quand nous venons à Paris, nous avons l’impression de toujours rencontrer les mêmes journalistes. Chris : c’est certainement le cas. Pour beaucoup, Chris est responsable de l’aspect synthétique, disco et dansant des Pet Shop Boys. Or, Release, votre nouvel album, est plutôt dépourvu de ces éléments. Faut-il y voir essentiellement l’emprunte de Neil ? Neil : Quelque part qur Internet, j’ai lu ce commentaire : "j’imagine que Neil et Johnny Marr n’ont même pas laissé Chris entrer dans le studio". Rien n’est plus faux. Chris est l’instigateur du son, de la tonalité de Release. (à Chris Lowe) Il va falloir que tu expliques tout ça. Chris : Aujourd’hui, la dance est partout. Et cette appellation regroupe une telle variété de styles que, si on veut faire un disque de dance, on est presque obligé de le faire pour une niche précise au sein de ce bazar. L’idée nous est venue de partir dans une direction très différente. Et une fois que nous avons décidé non seulement de ne pas faire un album dansant, mais aussi de ne pas utiliser nos instruments habituels — synthétiseurs, boîtes à rythmes —, nous nous sommes rendu compte que cela nous offrait la possibilité de faire des choses que nous n’aurions pas pu essayer dans le cadre d’un album de dance. Comme ralentir le rythme de nos morceaux, par exemple. Ca a été une expérience qui nous a ouvert des perspectives. Il y a quand même, en plein milieu de l’album, ce morceau, "The Samurai In Autumn", qui se démarque franchement du reste… Chris (me coupant) : Oui, bon, Release n’est pas un album de dance, excepté "The Samurai in Autumn" (rires). Et "Here" — qui était initialement prévu pour être le dernier morceau de notre comédie musicale Closer To Heaven (2001), avant que le metteur en scène ne l'écarte. Je n’étais pas très chaud pour les avoir sur l’album. Mais ils sont placés suffisamment loin pour que, quand l’auditeur arrive à ce moment du disque, il est près à se dérouiller les jambes le temps d’un morceau ou deux. Neil : "The Samurai In Autumn" se distingue également des autres car il est pratiquement instrumental. J’ai pensé que, l’album étant tellement dense en paroles, il serait bon d’avoir à un moment un morceau qui permette à tout le monde de respirer un peu. Surtout que "The Samurai In Autumn" précède "Love Is A Catastrophe", un morceau assez sombre, comme le titre le laisse imaginer. "London" parle-t-il de gens originaires de Russie ? Neil : Oui, en effet. Le point de départ de ce morceau est un ami russe, qui a dérobé un carte de crédit. Le morceau est d’ailleurs parti de ça. Il raconte en fait l’histoire de deux jeunes Russes, vingt ans environ, qui désertent alors qu’ils sont en train d’effectuer leur service militaire, et réussissent à prendre un vol pour Londres, où ils espèrent faire fortune, par tous les moyens. En réalité, ils travaillent sur des chantiers, avec des paies minables. Ce qui ne les empêche pas d’essayer d’envoyer de l’argent à leur famille. Faut-il mettre ce morceau en rapport avec votre intérêt, voire votre fascination, pour la Russie et l’Union Soviétique ? Neil : Il y a indéniablement un lien avec "My October Symphony" et tous les autres… Et puis j’avais envie de mentionner des endroits inhabituels. Peu de pop-songs font référence à la Crimée, je pense. Dans les livrets des rééditions de vos précédents albums parues l’an dernier, Chris se plaint à un moment des morceaux évoquant la Russie que Neil compose régulièrement. Comment avez-vous réussi à glisser "London" sur l’album ? Chris : Je ne me plains pas de ça. Neil : Oh si. Vous avez dit qu’ils n’étaient pas assez sexy… Chris : C’est quand le morceau prend la forme d’un cours d’histoire que ça m’ennuie. "London" ne fait pas référence à des événements historiques, mais évoque des gens de tous les jours. Donc ca me convient. Neil : Et puis "London" a quelque chose de sexy. Je savais que je pourrais m’en tirer avec ce morceau parce qu’il était sexy, en quelque sorte. Les protagonistes envisagent de faire des choses répréhensibles. C’est votre définition de ce qui est sexy, donc… Chris : C’est l’une d’elles. Comment les Pet Shop Boys prennent-ils la décision de ne pas faire un album de dance ? Cette idée a-t-elle émané de l’un d’entre-vous — qui a éventuellement dû convaincre l’autre —, ou s’est-il agit d’une idée commune dès le début ? Chris : Ca ne s’est pas déroulé de manière aussi réfléchie. Neil : Oui, parce qu’on ne s’est pas vraiment assis en disant à l’avance : "Ne faisons pas un album de dance ". Et ce d’autant plus que le premier morceau que nous avons composé, "Here", était plutôt dansant. Chris : Un élément déterminant a été l’achat par Neil de trois guitares, à Newcastle. Plutôt que de retourner tout de suite vers nos synthétiseurs, nos arrangements de cordes, il nous a semblé intéressant de voir ce que à quoi nous pouvions aboutir en modifiant les sons que nous utilisions — une vraie basse au lieu d’une basse jouée par un synthétiseur ; une vraie batterie — sans pour autant changer noter manière de travailler. Par la suite, les choses sont venues assez naturellement. Neil : Release a été enregistré dans ma maison, dans le Nord de l’Angleterre. Elle se trouve au milieu de la campagne, dans un coin un peu sauvage. On voit des moutons aux alentours du studio. Non loin se trouvent également de vieux villages miniers, complètement désertés, des villes qui dépendaient totalement de l’industrie de l’acier. Je pense que ceci a déteint sur la façon dont l’album sonne. Il est d’ailleurs probable que nous aurions appelé ce disque A Northern Soul si The Verve n’avaient pas déjà utilisé ce titre pour un de leurs albums. Comment se fait-il que, malgré vos trois guitares, Johnny Marr soit intervenu sur huit des dix titres de Release ? Neil : Notre objectif initial était de jouer de tous les instruments sur cet album. Chris : Pour Nightlife (1999), notre précédent album, nous avions écrit les morceaux, enregistré les démos, puis nous les avions, en quelque sorte, mises à disposition des producteurs avec lesquels nous voulions travailler. Et nous avons passé pas mal de temps à dire : "oui, j’aime pas mal ça... ; non, ceci ne me convient pas". Et ça ne s’est pas révélé aussi amusant à faire que lorsque l’on met la main à la pâte. Il faut voir que, même parmi les gens qui nous connaissent bien, certains pensaient que nous ne jouions pas une note sur nos albums. Il était temps de mettre les choses au point. Neil : Ceci est aussi peut-être dû au fait que nous ne nous sommes jamais explicitement crédités sur nos albums, contrairement aux musiciens que nous invitions. Nous avons donc d’abord décidé de tout jouer nous-mêmes. Et nous avons pratiquement tout enregistré selon ce principe. Mais je me faisais du souci concernant la guitare. Je joue de la guitare depuis que j’ai 12 ans, je connais tous les accords principaux, mais ma technique reste très rudimentaire. Je pensais que, s’il devait y avoir de la guitare, elle devait être irréprochable. C’est pour cela que nous avons fait appel à Johnny Marr, qui a finalement passé quatre jours en studio avec nous pour les prises finales. Chris : Il a remplacé certaines parties que tu avais jouées initialement. Neil : Il a rejoué la plupart d’entre elles (rires)… Mais il en reste quelques-unes des miennes. Chris : Il a également ajouté des éléments. Il avait apporté cette guitare… Comment ça s’appelle déjà ? Un e-bow (petit accessoire permettant, grâce au champ magnétique qu’il produit, de faire vibrer des cordes en métal et d’obtenir un son proche de celui qu'elles auraient si elles étaient frottées avec un archet, ndlr) ? On oublie facilement — j’oublie facilement ! — la variété des sons qui peuvent sortir d’une guitare. Des trucs parfois très abstraits, très éloignés de l’idée que l’on peut se faire du son d’une guitare. Toujours dans les livrets des rééditions, vous signalez souvent — surtout vous, Chris — les morceaux sur lesquels vous avez effectivement joué, comme si c’était une chose exceptionnelle. Chris : Il y a peut-être un malentendu ici. Il ne faut pas comprendre que je ne jouais pas du tout les parties musicales, mais qu’elles n’étaient pas enregistré d’un seul tenant. Je les jouais, puis elles étaient retravaillées avec un ordinateur. J’apprécie particulièrement cette approche parce qu’elle permet de gommer toutes les imperfections, en particulier en ce qui concerne le tempo. Alors que si on vous enregistre directement, il faut reprendre dès que vous faites une faute, ça peut être interminable. De même, sur scène, j’ai pendant longtemps préféré me contenter de lancer à partir de mon clavier des éléments préenregistrés plutôt que les jouer en direct. Mais pour les quelques concerts que nous venons de donner dans des universités anglaises, où nous avons joué dans une formation plus acoustique, je suis revenu vers plus de direct. Et j’ai même été obligé de faire des gammes, très régulièrement, pour retrouver le niveau. Quels instruments avez-vous étudié, ou de quels instruments savez-vous jouer ? Chris : J’ai appris le piano et le trombone — parce que mon grand-père en jouait. Neil : Gamin, j’ai appris la guitare en autodidacte. De là, j’ai appris le piano, toujours en autodidacte. Ce qui fait que je ne sais jouer que des accords. Et quand j’étais à l’école, j’ai appris à jouer du violoncelle. Cela fait presque dix ans que Pete Gleadall travaille pour vous en tant que programmeur. Quel est son rôle exactement ? Chris : Il est l’interface entre nos idées et les machines. Neil : Il est aussi celui qui se tient au courant des évolutions technologiques, et qui nous dit quelles machines, quels instruments nous devrions acheter. Chris : En studio, le plus important pour nous est de voir nos idées mises en pratique le plus rapidement. Il n’y a rien de plus frustrant qu’être avoir des problèmes techniques en studio. C’est un endroit où la seule chose que l’on veuille faire est créer, expérimenter, avancer. Et telle machine ne fonctionne pas, et tel machin doit être ajusté. Il n’est pas rare que, lorsque tous ces problèmes techniques ont été résolus, votre créativité s’est envolée. Pete nous évite le maximum d’anicroches. Neil : nous aimons être en studio, et nous pouvons être assez prolifiques si rien ne se met en travers de notre chemin. Souvent, quand nous sommes en phase de création, les sons que nous choisissons n’ont pas beaucoup d’importance. Nous savons que nous pouvons toujours y revenir après. Mais l’important est de pouvoir disposer d’un premier son dans les plus brefs délais. Par exemple, la trame de Love Is A Catastrophe, sur le nouvel album, a été composée et enregistrée en un jour. En grande partie parce que Pete a su trouver les sonorités que nous cherchions. Chris : L’autre avantage de travailler avec Pete est la confiance qui règne entre nous. A nos débuts, nous avons connu des situations où nous sentions que les gens avec qui nous travaillions méprisaient vraiment notre musique (rires). C’est très perturbant. A côtés des collaborateurs auxquels vous êtes très fidèles — Johnny Marr, Pete Gleadall, la choriste Sylvia Mason-James, le producteur Stephen Hague —, on trouve également sur vos disques des intervenants plus ponctuels. Des gens un peu à la mode. Est-ce un équilibre que vous vous efforcez de conserver ? Neil (il rit) : Quels gens à la mode ? Comme qui ? Craig Armstrong ? Je ne savais pas qu’il était à la mode. Plutôt que à la mode, je dirais que nous travaillons avec les gens dont nous aimons les disques. Ca a été le cas avec Trevor Horn, dans les années 80. Pour Craig Armstrong, qui a participé à Nightlife, nous avons voulu profiter de son habileté à marier cordes et sonorités électroniques, comme il l’avait fait sur son album The Space Between Us (1998). Et aussi à donner un aspect filmique à nos compositions. De même pour Rollo, qui a produit plusieurs morceaux de Nightlife : nous avons fait appel à lui parce que nous apprécions les disques de Faithless. De manière générale, travailler avec des gens nouveaux nous permet également de nous frotter à de nouvelles techniques, de modifier notre approche. Dans les articles que la presse anglaise vous a consacré récemment, j’ai remarqué que, quelque soit leur enthousiasme pour Release, les journalistes signalaient systématiquement que vous étiez "un groupe des années 80", comme si vous n’étiez plus supposés être encore en activité aujourd’hui. Neil : Je crois que cela vient de la manière dont nous nous sommes présentés, de notre manière d’alterner, souvent de manière rapprochée dans le temps, des choses sérieuses et d’autres plus humoristiques, voire outrées. Ainsi, après Behaviour (1990) et les singles qui en ont été extrait, la première chose que nous avons publiée a été notre version disco de "Where The Streets Have No Name/Can’t Take My Eyes Off You", qui a pris les gens par surprise. D’autre part, nous avons très rarement été l’objet de la part de la presse d’une approche dogmatique — les journalistes adorent avoir une ligne du parti à suivre, du genre Madonna et son "incroyable capacité à se réinventer". Je crois que la chose principale est que les gens ne savent pas trop quoi faire de nous. Ne craignez-vous pas pour Release une réception plus froide de la part de vos fans habitués à votre son synthétique et à vos morceaux dansants ? Neil : Beaucoup de nos fans, particulièrement aux Etats-Unis, semblent persuadés que nous défendons les couleurs de la pop synthétique, de l’electronica. Or les Pet Shop Boys n’ont jamais été un groupe purement électronique. Nous travaillons avec des machines parce que nous ne sommes que deux, parce que nous aimons les sons synthétiques, mais notre approche a toujours été orchestrale, basée sur les arrangements. Nous sommes fascinés par les orchestres. Souvenez-vous de "Left to My Own Devices". Nous ne sommes pas comme New Order, ou Depeche Mode, qui restent globablement loyaux à un son qui les définit — encore que Depeche Mode a changé lorsque Martin Gore s’est mis à la guitare. Chris : Nous n’avons jamais été des puristes. Ce sont les morceaux qui importent. Au cours des quelques concerts que nous venons de donner en Angleterre, nous avons interprétés certains de nos morceaux disco sous la forme de ballades, dans des versions totalement débarrassées de ce qui les rendaient outranciers. Et ils y gagnent ! Ca a fait ressortir la beauté originelle des morceaux. Neil : Les Pet Shop Boys sont, avant tout, des songwriters. Propos recueillis par Vincent Laufer http://perso.club-internet.fr/lmdp/petshopboys/psb_fr.html

- De Pascal le 9/11/2002. Pays: France  

"RockandFolk" a propos du concert au Rex : Arrivés sur les lieux tardivement pour cause de tarmac encombré, Neil Tennant et Chris Lowe livrèrent sans balance un show millimétré (un peu froid puis brulant) en dépit du succès mitigé de leur dernier opus chez nous. Peu importe, boostés par de jolies ventes partout en Europe et de retour d'une tournée américaine à couper le souffle, le duo le plus célébre de l'éléctro pop enfila les tubes dans le plus simple appareil (chemise, T-shirt, 3 guitares sur scène) au grand bonheur d'un public de spécialistes conquis d'avance mais difficile à rouler dans la farine. Plus tard des bulles pleins les verres, on expliquait aux Garçons que le tube annoncé, I get along, pourrait bien faire se réveiller les choses ici,tout en se demandant si, après tout, on le souhaite véritablement.

- De P A S C A L le 27/10/2002. Pays: France  

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