Séma mbele....
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| Livre d'or créé le 16/7/2002 13:38 | Administré par |
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J'avais 18 ans, la radio d'abord annonçait ne plus avoir de nouvelles en provenance de Kolwezi. Puis les nouvelles se sont faites de plus en plus inquiétante jusqu'à devenir alarmantes. Les politiciens avec en tête M. SIMONET, ministre des affaires étrangères, ont commencé à se tâter : "Faut-il ou non envoyer des troupes ?". Dans la rue des jeunes gens distribuaient des tracts en criant "PAS DE PARAS POUR LE SHABA ! "...
Puis la Légion a sauté sur Kolwezi; et les Para Cdo belges, aérotransportés à Kamina, ont procédé à l'évacuation des survivants et rescapés.
Et les premiers reportages, avec les premières images chocs sont arrivées sur nos écrans. Et tout le monde a vu l'horreur !
Plus aucun jeune ne criait dans la rue. L'unanimité s'était faite sur la nécessité d'une intervention au Shaba.
Merci pour ce site du souvenir. - De BRUNCLAIR Christian le 19/12/2005. Pays: Belgique Région: Sud Luxembourg |
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more majorum
merci pour ce site
mon pere etait du 2REP je me rappelle le jour ou la jeep willys a klaxonner l'alerte
je suis fier d'eux c'est pour çà que je m'y suis engager aussi
legio patria nostra
français par le sang versé - De yanousch ivanov le 16/12/2005. Pays: France Région: vaucluse |
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Bravo pour votre site, c'est très bien de faire que ces horribles évènements ne tombent jamais dans l'oubli.
J'avais à l'époque 17 ans, j'habitais à Kinshasa. J'étais étudiant à l'école belge de Kinshasa.
J'ai eu l'occasion d'aller quelques fois à Kolwezi, en 1995, tant par la route que par avion, et j'ai pu imaginer la belle ville que cela avait dû être. Les récits de mon ami Daniel Maes, qui habitait encore Kolwezi à l'époque, et qui avait vécu ces jours atroces de 1978, étaient terrifiants.
Quelques mois après ces évènements de 78, j'ai fait connaissance de l'un des vôtres, Christian Lefevre, qui m'avait également raconté son "épopée" affreuse.
Jai vu, en son temps, le film, et lu le livre "la légion saute sur Kolwezi", tout en sachant que l'on y retrouve qu'une partie de la vérité...
Merci au webmaster pour la réalisation de ce site.
Merci aux 2° REP et aux paras belges pour ce qu'ils ont fait.
J'y ai beaucoup pensé, en vivant moi-même les évènements de sep 91 (quand nous étions 350 réfugiés chez le Major Jacobs, près de l'ASK, à Kin, que nous subissions des assauts des militaires et autres pillards), ...jan 93, mai 97 et août 98 à Kinshasa, qui heureusement, n'ont pas dégénéré en un "Kolwezi 78".
Une pensée émue à tous ceux et toutes celles qui ont vécu ces abominables faits.
Michel Zangerle
- De michel zangerle le 2/12/2005. Pays: Belgique Région: Grez-Doiceau (B-W) |
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Bonjour Marc,
Merci pour ton site, merci aussi à tous ceux qui ont fait que aujourd'hui je puisse écrire ces quelque lignes. Si cela t'intéresse, j'ai le plan de d'ensemble de Kolwezi au 1/10.000
Safshaba P2 Avenue Kakieuluwe. - De Pissart René le 9/10/2005. Pays: Belgique Région: Verviers |
 Très cher MARC Saussez,
Français d'origine Congolaise, je commence d'abord par m'incliner pour la mémoire de toute les personnes, Congolaises (Zaïroise), Belges, Françaises, Américains, Grecs et autres qui ont payé de leurs vie lors de cette (ces)guerre(s) du SHABA.
Ensuite, j'ai suivi ces événéments d'une part par la presse locale alors que je venais d'obtenir mon diplôme d'Etat et que je venais de faire mes armes à l'Université Nationale du Zaïre et par le radio trotoire d'autre part. Enfin, depuis l'Europe où je vis depuis 16 ans fuyant l'époque Mobutu qui a hypothéqué notre jeunesse, notre avenir, j'ai lu beaucoup de documentations dont votre site qui me pousse a faire un droit de savoir surtout que j'avais un oncle qui travaillait à la GECAMINES Kolwezi.
Cela étant, félicitations pour ce site mais j'aimerais bien que les témoignages affluent afin q'un procés soit diligenté afin que: plus jamais ça, que les zones d'ombres soient éclairées ( les expatriés ont-ils été froidement abattus afin de sauver le régime en place.
GUY Phuebo
Toulouse
- De Guy- Phuebo le 25/9/2005. Pays: France Région: Toulouse |
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More Majorum
Merci - De un ancien le 23/9/2005. Pays: France Région: Ile de France |
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excellent site... j'avais presque 6 ans... - De Pierre Tollenaers le 25/8/2005. Pays: Belgique Région: Liège |
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Merci Marc pour ce rappel d'un moment de vie et d'histoire! J'y étais! J'habitais le quartier P2 avenue Nkulu Maziba et je travaillais pour la Safshaba. Ces souvenirs ne s'effaceront jamais! Merci aux légionnaires, aux paras belges, aux Kamaniolas et à tous ceux qui ont agis pour nous sortir de ce piège! Toutes les vies sont précieuses, quelques soient les différences. - De FASOUL Christian le 25/8/2005. Pays: France Région: Pas-De-Calais |
 Bonjour à tous!
Un travail de longue haleine et d'excellente qualité!!!
Mille Bravos au webmaster!!!
Que ces tristes évenements restent à tout jamais gravés dans les mémoires...et que cela ne se reproduise plus jamais!!!
Des membres de ma famille dont un bébé de quelques mois ont été mis au sol, un canon de mitraillette pointé dans la nuque..ils ont pu fuir pour aller se cacher dans une usine...la mort a été une très proche voisine pendant plusieurs jours...mais ils sont là aujourd'hui!
Une pensée pour les européens toujours présents là bas malgré ces évènements si douloureux...en espérant une réaction bien plus rapide de nos gouvernements si cela se répetait...
Encore "Bravo" pour ce site- De Legru Frederick le 8/7/2005. Pays: Belgique Région: amay |
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Mon témoignage sera différent de la majorité de ceux de ce livre d'or.
En 78, j’avais 16 ans, De parents divorcés j’étais définitivement rentré en France avec ma mère et mon frère cadet. Mon père résidait à Kolwezi, ou il travaillait pour la Gécamine.
Nous avons donc vécu les évènements de l’extérieur, essentiellement par le biais des médias.
Au fur et à mesure des jours , les informations sont devenues de plus en plus préoccupantes, pour ceux que l’on appelait déjà « les otages Européens".
La nouvelle de l’envoi du 2eme REP fut pour nous un soulagement.
Mon père nous a racontés, plus tard.
Une semaine passée dans le couloir de la maison, les matelas au sol, la baignoire remplie d’eau, la peur des snipers, les détonations, les menaces, la vie sauve grâce à Jérôme, son fils adoptif zaïrois qui a parlementé pied à pied avec les rebelles pour qu’il ne l’inquiète pas.
Je me rappelle son retour en France les mains vides ; son angoisse le soir du 14 juillet suivant à cause des détonations des pétards de la fête nationale.
C’ est la première fois que j’ai vu mon père pleuré.
Il est pourtant reparti, et, bientôt 30 ans plus tard il est toujours là bas, il continu de travailler à Kinshasa malgré son âge avancé…viscéralement attaché à ce pays .
Je connais un vrai congolais, c’est mon père, et il s’appelle Alain GIRARD
- De Philippe GIRARD le 28/5/2005. Pays: France Région: Sucy en Brie Val de Marne France |
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